L'immobilier neuf à la peine sur le 1er trimestre

les plus values taxées sont sur l'investissement, car il n'y en a pas sur la résidence principale.

Et dans le neuf t'as des aides avec des loyers plafonnés : prix plus cher que dans l'ancien, et loyer bas par rapport à l'investissement ....

Répondre

Mais non ! C'est juste que les loyers/prix des nouvelles résidences sont tellement chers parce qu'elles intègrent des services superflus et inutiles (gardien, jardins, fontaines, concierge, etc ...).
Forcément qui aurait envie de payer le même prix au mètre carré que dans Paris hypercentre pour vivre en petite couronne !?

Répondre

FH trouve normal de taxer plus les plus value immobilières, persuadé qu'investir dans l'immobilier n'entre pas dans l'économie.
Donc les travaux faits dans l'immobilier, c'est pas dans l'économie
les revenus tirés non plus

et alors la construction non plus ... car décourage l'investissement.

Bon aller le secteur de la construction va encore baisser grace à ses décisions.

Bravo Flamby !

Message complété le 16/05/2013 16:39:03 par son auteur.

tiens çà vient de déclencher une fusée sur la bourse ......
ben pourquoi ils investissent là ???

Répondre

pas de confiance en l'avenir = pas d'achat
pas de confiance dans le gouvernement = pas de perspective positive

et ils peuvent agiter leurs taux bas, les dispositifs, y a autre chose à faire

Répondre

Attendre la baisse des prix avant d' acheter , ou attendre la baisse des taux et des facilités de prêts des banques ?
Quel choix à faire ,
Vos avis m' intéressent !

Répondre

La fédération des promoteurs immobiliers (FPI) publie des chiffres moroses
pour le premier trimestre 2013.

Sur la période, les ventes de logements
neufs ont baissé de 7 % par rapport au premier trimestre 2012 qui était déjà une
base de référence bien faible. Dans le même temps, les stocks progressent de 12%
et le lancement de nouveaux programmes chute.

La fédération note que le
nouveau dispositif "Duflot" peine à séduire les investisseurs depuis la disparition de
son prédécesseur, le "Scellier".

Ce sont donc essentiellement les ventes
des investisseurs qui sont en chute libre alors que dans l'accession à la
propriété il y a une petite dynamique de croissance positive (+4%).

Le
facteur prix pourrait jouer pour relancer le marché mais malheureusement les
prix ont bien du mal à reculer en raison de nombreux facteurs et notamment les
difficultés bancaires pour faire financer le lancement de nouveaux programmes
mais aussi les coûts de construction qui n'ont cessé de progresser. Au final, en
l'espace d'un an le prix moyen au mètre carré baisse de 1,8 % en province et de
1,3 % en Île-de-France. Insuffisant pour constituer une aubaine aux yeux des
investisseurs en dépit de taux d'intérêt toujours très faibles sur les emprunts
immobiliers.

© www.abcbourse.com

Répondre