(CercleFinance.com) - Après les torrents de mensonges et de 'propagande noire' déversés par les vendeurs à découvert fin 2012 (repris en choeur et les yeux fermés par la quasi totalité des gérants d'OPCVM hurlant avec la meute) pour faire s'effondrer les cours jusque vers 4,60E, voici que la communauté financière entame 'le chant des sirènes'.
Pourtant, le niveau des ventes se dégrade au fil des mois et la reprise du secteur automobile aux Etats Unis ne concerne nullement Peugeot, contrairement à Renault au travers de sa filiale Nissan. Mais Peugeot, c'est devenu l'épicentre de la volatilité haussière et c'est le titre sur lesquels tous les robots se déchaînent, les 'stops' à la hausse se succédant à un rythme effréné. L'ex-plancher historique des 11,5E de décembre 2008 et novembre 2011 ayant été refranchi, c'est graphiquement l'autoroute en direction des 13,8E du 19 mars 2012. En cas de rechute, il reste une incroyable profusion de 'gaps' à combler à 12,17E, 11,26E, 10,78E, 9,81E, 9,14E et 8,07E. Un tel scénario traduit une forme de 'panique à la hausse', preuve que personne ne sait au juste ce que 'vaut' Peugeot mais que son 'prix' déjoue les anticipations d'opérateurs ayant tenté un 'short'.