OK
Accueil > Communauté > Forum Cac 40

La construction neuve est toujours en crise en France

Cours temps réel: 8 014,23  0,71%



tirelire19 tirelire19
06/10/2014 13:50:26
0
Elle tiendra compagnie au commerce de détail en attendant celle de l' immobilier !
  
Répondre
Libéral Libéral
30/04/2014 17:13:09
0
Réducteur ? c'est pourtant la base même du désastre immobilier et le levier préféré de l'état. Le code de l'urbanisme coiffe tout.
I rest my case...
  
Répondre
moicmoi moicmoi
30/04/2014 16:56:01
0
Libéral
++..Qui connaît le code de l'urbanisme, en France ?..++
Un peu réducteur comme commentaire. D’autres codes ont également un impact énorme sur le prix de revient d’un pavillon. Pour ne parler que de ce segment du bâtiment. Dans le tertiaire, ou le locatif, qui répondent à d’autres lois et normes (en plus,) c’est encore pire.
le code du travail !: (je connais, c‘est mon secteur d’activité) impose aux entreprises une montagne d’obligations, de contraintes, à respecter sous peine de sanctions pécuniaires (lourdes) . Pour certaines, c’est tout à fait justifié, (conditions de travail, sécurité, protection de la santé..) , mais pour nombre d’autres……
les normes : de toutes sortes : accessibilité handicapés, incendie, inondations, tremblement de terre, consommation énergétique, environnement , etc … etc… (mais, beaucoup d’etc…) (là encore, c’est mon secteur d’activité)
fourniture par les entreprises de documents administratifs et techniques exigés (plusieurs fois pour un même chantier)
obligation de prendre un architecte (avec bureaux d’étude , etc…) à partir d’un certain montant de travaux, même si le Maître d’Ouvrage (celui qui paye in fine) possède toutes les compétences.
Pour l’anecdote : Il m’est même arrivé d’apprendre qu’un dossier de permis de construire était passé de négatif par la DDE quand le candidat-constructeur (qui avait dessiné ses plans), faisant le demande en nom propre, et positif avec le signe de env. (concernant la hauteur de la construction) et le coup de tampon d’un architecte. (Et le plus drôle de l’histoire, c’est que l’archi a repris le plan à son compte, et l’a revendu des dizaines de fois )
Tout ceci a un coût ! Il faudra que je fasse le calcul un jour, mais dans certains cas , c’est nettement supérieur au coût de la construction en elle-même ( main d’œuvre et matériaux)
Mais comment faisaient-ils dans le temps ? Les bâtisseurs de cathédrales ? Les cheminées tronconiques hautes de plusieurs dizaines de mètres des industries « à fours » ? Toujours debout de nos jours, après des siècles et /ou décennies sans ces normes et obligations administratives ?
Et, côté « clin d’oeil » nombre de ces ouvrages font partie du patrimoine, et sont , de nos jours, protégés en tant que tel.
  
Répondre
Libéral Libéral
30/04/2014 13:47:31
0
L'immobilier, une preuve supplémentaire, si besoin était, que l’interventionnisme ne résout absolument rien. Si l'immobilier va mal ou moins bien, c'est sur, c'est la faute aux agences immobilières, aux enfoirés de propriétaires, au secteur du BTP qui fait exprès de ne pas construire.

Qui connaît le code de l'urbanisme, en France ? Mieux que le code du travail !
  
Répondre
lafontaine lafontaine
30/04/2014 13:34:39
0
Rien d'étonnant ! Le gouvernement lance l'idée de taxer les propriéraires quand le crédit est fini ! (on oublie l'entretient des batiments ).D'autre part les investisseurs ds le locatif ne sont plus légion !!
  
Répondre
aliqujus aliqujus
30/04/2014 12:59:13
0
a COLET ET LXS 78: ok avec vos COMMENTAIRES concernants la modération salariale je rappele que dans les entreprises importante la masse salariale est de l'ordre de 20 % à 25 % du CA ...soit un peu plus que la TVA !!!!

A salaire nul, utopique , les prix baisseraient de 20 % or le différentiel de prélèvement obligatoire entre la FRANCE et l'ALLEMAGNE EST DE :

FRANCE 54 % DU PIB ALLEMAGNE 46 % SOIT 8 POINTS .

Pour être à l'équivalence la Françe doit être 8 / 46 = 17,4 % plus efficace ; vu la vétusté du matériel et des usines liée aux manques de bénéfices qui permettent des investissements , c'est plus que celà.

Un blocage des salaires en sus d'une chute des revenus ne rapporterait pas grand chose au niveau gain de coût et détruirait un équilibre bien précaire ;

Il en est de même pour les 50 milliards sur 3 ans ( 0.8 % du PIB ANNUEL )de VALLS . MAIS C'EST MIEUX QUE RIEN.

Le mal est beaucoup plus profond car structurel.
  
Répondre
colet colet
30/04/2014 11:45:52
0
pour te compléter
je viens de tomber sur cela ...

https://fr.news.yahoo.com/pierre-gattaz-pr%C3%B4ne-deux-ou-trois-ans-mod%C3%A9ration-132133468--business.html

2 3 ans de "modération" , et après on garde les "bonnes habitudes" ou on remonte ?
est-ce pour inverser la tendance ????

il me manque le concept , pfff !
  
Répondre
LWS78 LWS78
30/04/2014 11:42:41
0
Bah quand on sait que le salaire médian a en fait baissé ces dernières années notamment pour les moins de 35 ans qui sont les primo-accédant.
Que la stabilité de l'emploi n'est plus assuré du fait de la part de plus en plus importante de l'emploi "flexible" : Interim, stages, alternances, Pretations...
Que les prix de l'immobilier figurent parmi les plus élevés d'Europe et que la crise n'a pas permit une baisse significative...

Faut pas s'étonner que personne n'achète...
  
Répondre
colet colet
30/04/2014 11:30:46
0
donc dix ans en arrière ?

fin des mesures d'aides
baisse des ventes
baisse des travaux de rénovation
baisse du nombre d'entrepreneurs et artisans

mais alors hausse du chômage,
baisse des rentrées des taxes sur les ventes.

et hausse de l'objectif .

faudrait peut-être se donner les moyens de ses objectifs , non ???
et pas que dans le neuf , car l'ancien est là , générateur de point de croissance (via les travaux de rénovation)

mais on tente d'en construire plus et plus, au risque de créer des friques dans l'ancien, tout en expropriant des agriculteurs sous prétexte parfois d'utilité publique, alors même que dans ces endroits on a des friches dans l'ancien

bref, on marche sur la tête , le marché devient incohérent, tant dans l'ancien que le neuf.

mais çà date pas d'aujourd'hui , sauf qu'aujourd'hui des mesures ont déstabilisées l'équilibre précaire.

attendons ... de voir la suite !

Message complété le 30/04/2014 11:31:33 par son auteur.

lire "au risque de créer des FRICHES..."

Message complété le 30/04/2014 11:35:33 par son auteur.

et puis allez voir le niveau de consommation des français parue aujourd'hui sur le 1er trimestre, pour encore mieux comprendre le niveau de confiance des ménages en l'avenir

  
Répondre
aliqujus aliqujus
30/04/2014 10:59:07
0
DICTON / QUAND LE BÄTIMENT VA TOUT VA !!!

Espérons que l'inflextion certes faible donnée par VALLS , fort courageusement , donnera des fruits positifs et lui permettera de dévelloper d'autres axes pour contibuer à sortir le pays de l'ornière
Anoter toutefois que la FRANCE à fin 2015 aura environ 200 milliards de dettes en plus soit 5 milliards d'agios annuels en plus.
  
Répondre
aliqujus aliqujus
30/04/2014 10:59:07
0

Le secteur de la construction neuve reste en berne dans l'Hexagone et les chiffres publiés pour le premier trimestre 2014 sont toujours bien sombres.

Le nombre de mises en chantier de logements neufs en France a ainsi baissé de 11,4 % sur le premier trimestre et sur une année glissante. On note une petite reprise du côté des logements en résidence services mais qui ne peut compenser la chute libre des logements ordinaires.

Sur 12 mois, le nombre de mises en chantier atteint 322 000 unités, au plus bas depuis 2004 d'après les chiffres du ministère du logement et très loin des objectifs gouvernementaux de 500 000 logements annuels.

L'avenir ne s'annonce par ailleurs pas spécialement radieux à la lecture du chiffre des permis de construire accordés dans le neuf. Cet indicateur avancé de la construction future recule de 25 % de janvier à mars 2014 avec un peu plus de 97 000 permis accordés.

© www.abcbourse.com

  
Répondre

Forum de discussion Cac 40

201410061350 408929

Comparatif des courtiers en ligne

Ma liste