CAC40: opte pour la hausse, veut croire que tout ira mieux.
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Enfin un article lucide et non pas un écho de ce que nous servent nos chers politiques. Il n'y a que sa sérénissime altesse, François Normal 1er, qui ose prétendre avoir "dompter la finance" (!!!) et pire que pire " avoir stabilisé le chômage".
Soit ce type est fou, soit... il est fou.
La vérité toute crue est contenu dans ce chapitre :
"Côté Europe, certains optimistes espèrent une initiative de la BCE -visant à faire baisser l'Euro- à l'issue de sa réunion de demain.
Mais Mario Draghi peut-il justifier une 'initiative' sur les taux alors que les marchés obligataires sont pratiquement au plus haut historique et les rendements au plancher ?"
Les marchés sont totalement bullaires, dopés avec l'argent public, bénéficiant des largesses des banques centrales et profitant de taux zéro voire négatifs.
Que la BCE s’amuse à vouloir faire baisser l'euro et ce sera mécaniquement les taux qui grimperont, cornélien en diable, ce qui est toujours le cas lorsqu'on ment ou que l'on triche.
Dans un futur proche, l'Europe va se réveiller avec une sacré gueule de bois, cet amalgame sans queue ni tête, de pays disparates, au bord de l’asphyxie pour la plupart.
Le prochain volet de la crise ? les élections US, nous allons rire, jaune... En attendant préparons nous aux ponctions massives qui s'annoncent sur les comptes bancaires, assurances, retraites.
Soit ce type est fou, soit... il est fou.
La vérité toute crue est contenu dans ce chapitre :
"Côté Europe, certains optimistes espèrent une initiative de la BCE -visant à faire baisser l'Euro- à l'issue de sa réunion de demain.
Mais Mario Draghi peut-il justifier une 'initiative' sur les taux alors que les marchés obligataires sont pratiquement au plus haut historique et les rendements au plancher ?"
Les marchés sont totalement bullaires, dopés avec l'argent public, bénéficiant des largesses des banques centrales et profitant de taux zéro voire négatifs.
Que la BCE s’amuse à vouloir faire baisser l'euro et ce sera mécaniquement les taux qui grimperont, cornélien en diable, ce qui est toujours le cas lorsqu'on ment ou que l'on triche.
Dans un futur proche, l'Europe va se réveiller avec une sacré gueule de bois, cet amalgame sans queue ni tête, de pays disparates, au bord de l’asphyxie pour la plupart.
Le prochain volet de la crise ? les élections US, nous allons rire, jaune... En attendant préparons nous aux ponctions massives qui s'annoncent sur les comptes bancaires, assurances, retraites.
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(CercleFinance.com) - Le CAC40 (+0,41% à 4.446Pts) clôture pratiquement au plus haut du jour alors que les indices US ont presque tous inversé la vapeur après une entame de séance négative (le 'S&P' affiche +0,5% à 1.875Pts, le Dow Jones gagne 100Pts à 16.500Pts, le Nasdaq ne perd plus que -0,75%).
La journée avait mal débuté avec un plongeon de -2,9% de Tokyo mais l'ambiance s'était réchauffée avec rumeur d'une volonté d'encourager des négociations entre Kiev et les régions séparatistes de la part de Vladimir Poutine (la bourse de Moscou a fait un bond de +4% sur la nouvelle)... lequel annonce de surcroît avoir fait reculer ses troupes de la frontière ukrainienne (l'OTAN affirmait n'en observer aucune preuve en début d'après-midi).
Les opérateurs ont joué cette tentative d'apaisement des tensions et cela s'est traduit par une remontée de l'Euro-Stoxx50 de -0,6 à +0,3% au final.
Le Nasdaq reste plombé par 3 titres: Twitter qui plongeait de -17% mardi lâche encore -5% ce mercredi, Whole Foods Market s'effondre de -20%, Yahoo lâche -6% bien que détenant 23% du capital d'Alibaba.
Les opérateurs US hésitent cependant à se mettre vendeurs alors que Janet Yellen s'est appliquée à brosser Wall Street dans le sens du poil lors de son discours devant le Congrès vers 16H en promettant une croissance solide au second trimestre 2014 et une politique très accommodante pour encore très, très longtemps (et pas de réduction de la taille du bilan de la FED à l'horizon).
Côté Europe, certains optimistes espèrent une initiative de la BCE -visant à faire baisser l'Euro- à l'issue de sa réunion de demain.
Mais Mario Draghi peut-il justifier une 'initiative' sur les taux alors que les marchés obligataires sont pratiquement au plus haut historique et les rendements au plancher ?
Abaisser le 'repo' a zéro (comme aux Etats Unis ou au Japon), instaurer un rendement négatif pour les 'prises en pension' pourrait tout simplement exacerber un climat de 'bulle' alors que la situation devient potentiellement explosive.
Le 'chiffre du jour' publié à 14H30 aux Etats Unis n'a pas provoqué de réactions très tranchées malgré une chute d'une ampleur inattendue de la productivité non-agricole.
Le département du Travail annonce un recul de -1,7% en rythme annuel sur le trimestre janvier-mars, après une hausse révisée à +2,3% au 4ème trimestre 2013 alors que les économistes anticipaient une baisse de 1%.
Les intempéries sont une fois de plus accusées de tous les maux mais elles n'expliquent que partiellement le bond de +4,2% des coûts unitaires de la main d'oeuvre, lesquels avaient baissé de 0,4% sur la période octobre-décembre 2013.
Crédit Agricole prend 6,8%, après la publication d'un résultat net en hausse de presque 30% au premier trimestre, à 853 millions d'euros.
Essilor, Accor et surtout Total, avec un gain moyen de +1,9% contribuaient à la remontée du CAC40 au-delà des 4.445Pts.
Au sein du SBF-120, CGG subissait un trou d'air de plus de 10,6%, suite à l'annonce d'une perte nette de 40,4 millions de dollars au 1er trimestre 2014, contre un bénéfice de 79,1 millions un an plus tôt, ce qui a littéralement douché les investisseurs.
Saint-Gobain plie de 3,3%, après que la société de portefeuille Wendel (à l'équilibre) ait placé 4,3% du capital du groupe de matériaux de construction, soit 24 millions d'actions environ.
Veolia cède -2,6% après avoir terminé le premier trimestre de son exercice 2014 sur un résultat opérationnel récurrent en baisse de 7,3%, les performances de Dalkia France, sa filiale de chauffage, ayant subi un hiver exceptionnellement doux.
Société Générale cède 1%, avec la parution d'un résultat net part du groupe en baisse à 315 millions d'euros (contre 364 millions d'euros au premier trimestre 2013) sur fond de dépréciation de l'écart d'acquisition des activités en Russie.
Copyright © 2014 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
La journée avait mal débuté avec un plongeon de -2,9% de Tokyo mais l'ambiance s'était réchauffée avec rumeur d'une volonté d'encourager des négociations entre Kiev et les régions séparatistes de la part de Vladimir Poutine (la bourse de Moscou a fait un bond de +4% sur la nouvelle)... lequel annonce de surcroît avoir fait reculer ses troupes de la frontière ukrainienne (l'OTAN affirmait n'en observer aucune preuve en début d'après-midi).
Les opérateurs ont joué cette tentative d'apaisement des tensions et cela s'est traduit par une remontée de l'Euro-Stoxx50 de -0,6 à +0,3% au final.
Le Nasdaq reste plombé par 3 titres: Twitter qui plongeait de -17% mardi lâche encore -5% ce mercredi, Whole Foods Market s'effondre de -20%, Yahoo lâche -6% bien que détenant 23% du capital d'Alibaba.
Les opérateurs US hésitent cependant à se mettre vendeurs alors que Janet Yellen s'est appliquée à brosser Wall Street dans le sens du poil lors de son discours devant le Congrès vers 16H en promettant une croissance solide au second trimestre 2014 et une politique très accommodante pour encore très, très longtemps (et pas de réduction de la taille du bilan de la FED à l'horizon).
Côté Europe, certains optimistes espèrent une initiative de la BCE -visant à faire baisser l'Euro- à l'issue de sa réunion de demain.
Mais Mario Draghi peut-il justifier une 'initiative' sur les taux alors que les marchés obligataires sont pratiquement au plus haut historique et les rendements au plancher ?
Abaisser le 'repo' a zéro (comme aux Etats Unis ou au Japon), instaurer un rendement négatif pour les 'prises en pension' pourrait tout simplement exacerber un climat de 'bulle' alors que la situation devient potentiellement explosive.
Le 'chiffre du jour' publié à 14H30 aux Etats Unis n'a pas provoqué de réactions très tranchées malgré une chute d'une ampleur inattendue de la productivité non-agricole.
Le département du Travail annonce un recul de -1,7% en rythme annuel sur le trimestre janvier-mars, après une hausse révisée à +2,3% au 4ème trimestre 2013 alors que les économistes anticipaient une baisse de 1%.
Les intempéries sont une fois de plus accusées de tous les maux mais elles n'expliquent que partiellement le bond de +4,2% des coûts unitaires de la main d'oeuvre, lesquels avaient baissé de 0,4% sur la période octobre-décembre 2013.
Crédit Agricole prend 6,8%, après la publication d'un résultat net en hausse de presque 30% au premier trimestre, à 853 millions d'euros.
Essilor, Accor et surtout Total, avec un gain moyen de +1,9% contribuaient à la remontée du CAC40 au-delà des 4.445Pts.
Au sein du SBF-120, CGG subissait un trou d'air de plus de 10,6%, suite à l'annonce d'une perte nette de 40,4 millions de dollars au 1er trimestre 2014, contre un bénéfice de 79,1 millions un an plus tôt, ce qui a littéralement douché les investisseurs.
Saint-Gobain plie de 3,3%, après que la société de portefeuille Wendel (à l'équilibre) ait placé 4,3% du capital du groupe de matériaux de construction, soit 24 millions d'actions environ.
Veolia cède -2,6% après avoir terminé le premier trimestre de son exercice 2014 sur un résultat opérationnel récurrent en baisse de 7,3%, les performances de Dalkia France, sa filiale de chauffage, ayant subi un hiver exceptionnellement doux.
Société Générale cède 1%, avec la parution d'un résultat net part du groupe en baisse à 315 millions d'euros (contre 364 millions d'euros au premier trimestre 2013) sur fond de dépréciation de l'écart d'acquisition des activités en Russie.
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