son retour en Iran
Cours temps réel: 23,16 1,11%| Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Société | Historiques | Vie du titre | Secteur | Forum |
L'embargo sur l'IRAN a été stupide, comme tous les embargos qui, ne sont que manipulation, souvent (toute le temps) orchestré par les USA.
Les populations souffrent, en IRAK, lorsque les USA avaient instauré et imposé l’embargo (car ce sont eux), celui-ci s'appliquait aussi sur les médicaments, mesure injuste et cruelle, Saddam Hussein et ses proches n'ont jamais été indisposés par de telles mesures, son peuple oui.
l'IRAN c'est la même chose, ce pays a décidé de posséder l'arme atomique, et alors ? En fait les USA n'ont jamais accepté de s'être fait viré de l'IRAN.
C'est dans ces moments que nous aurions besoin d'une Europe forte et surtout politique, et qu'il faut réaliser qu'un pays, fusse t'il la France, n'a pas les moyens de s'opposer aux délires étasuniens et maintenant Chinois ou Russes.
Au lieu de cela, l’Europe s'occupe de la taille des courgettes, des élevages d'escargots, de bien d'autres choses parfaitement inutiles. Le coût de l'inefficience européenne est double : d'une part elle coûte cher (très) aux contribuables qui engraissent des bons à rien, d'autre part en ne remplissant pas son rôle politique sur l'échiquier international, elle fait souffrir les industries européennes, fort dépourvues devant la puissance d'autres pays.
Peugeot a donc souffert de l’embargo sur l'IRAN, bien incapable de lutter contre des décisions venues de l'extérieur, décisions souvent opportunistes, menées par des états puissants tels que les USA, aux seules fins de déstabiliser et anéantir la concurrence. L'arme atomique Iranienne, à vrai dire les USA s'en fiche totalement. Et du reste, qu'ont -ils empêché ? rien. Par contre, les sociétés US recommencent à commercer avec l'IRAN à un rythme soutenu.
Le retour de Peugeot en IRAN est une bonne nouvelle, mais, cela reste fragile car rien sur l'échiquier politique n'a changé, au moindre retournement ce sera même cause car mêmes effets.
Il est toujours facile d'accuser le reste du monde, le reste du monde fait ce qu'il doit faire, l'Europe non.
Les populations souffrent, en IRAK, lorsque les USA avaient instauré et imposé l’embargo (car ce sont eux), celui-ci s'appliquait aussi sur les médicaments, mesure injuste et cruelle, Saddam Hussein et ses proches n'ont jamais été indisposés par de telles mesures, son peuple oui.
l'IRAN c'est la même chose, ce pays a décidé de posséder l'arme atomique, et alors ? En fait les USA n'ont jamais accepté de s'être fait viré de l'IRAN.
C'est dans ces moments que nous aurions besoin d'une Europe forte et surtout politique, et qu'il faut réaliser qu'un pays, fusse t'il la France, n'a pas les moyens de s'opposer aux délires étasuniens et maintenant Chinois ou Russes.
Au lieu de cela, l’Europe s'occupe de la taille des courgettes, des élevages d'escargots, de bien d'autres choses parfaitement inutiles. Le coût de l'inefficience européenne est double : d'une part elle coûte cher (très) aux contribuables qui engraissent des bons à rien, d'autre part en ne remplissant pas son rôle politique sur l'échiquier international, elle fait souffrir les industries européennes, fort dépourvues devant la puissance d'autres pays.
Peugeot a donc souffert de l’embargo sur l'IRAN, bien incapable de lutter contre des décisions venues de l'extérieur, décisions souvent opportunistes, menées par des états puissants tels que les USA, aux seules fins de déstabiliser et anéantir la concurrence. L'arme atomique Iranienne, à vrai dire les USA s'en fiche totalement. Et du reste, qu'ont -ils empêché ? rien. Par contre, les sociétés US recommencent à commercer avec l'IRAN à un rythme soutenu.
Le retour de Peugeot en IRAN est une bonne nouvelle, mais, cela reste fragile car rien sur l'échiquier politique n'a changé, au moindre retournement ce sera même cause car mêmes effets.
Il est toujours facile d'accuser le reste du monde, le reste du monde fait ce qu'il doit faire, l'Europe non.
|
Répondre
|
Peugeot veut rétablir la filière iranienne
Constructeur historique en Iran, Peugeot a perdu 450 000 véhicules par an en raison de l'embargo sur le nucléaire. Les liens sont désormais renoués.
Un haut responsable de PSA Peugeot-Citroën a mené une série de négociations à Téhéran avec son partenaire historique local Irankhodro pour entamer de "nouvelles coopérations", a rapporté lundi l'agence officielle Irna. En l'occurrence, il s'agit ni plus ni moins de Maxime Picat, directeur de la marque Peugeot. Avec Hachem Yeke Zare, directeur du groupe Irankhodro, ils ont mené dix heures de discussions pour examiner les contours de nouvelles coopérations communes, a précisé l'Irna.
Les deux responsables ont examiné "l'application des engagements passés de Peugeot, le transfert de technologies, la production commune de nouvelles voitures [...], et les exportations de voitures" construites en Iran par le réseau de distribution du constructeur français.
Visite-surprise de M. Picat
Peugeot a longtemps été un partenaire important d'Irankhodro, avec la production locale des modèles 405 et 206. La société avait une large part du marché automobile iranien. Peugeot, présent en Iran depuis les années 1990, a quitté ce qui était son deuxième marché en volume au printemps 2012, après l'annonce de nouvelles sanctions occidentales contre Téhéran en raison de son programme nucléaire controversé.
La marque au lion avait vendu l'année précédente 458 000 véhicules en Iran, et son retrait avait provoqué un manque à gagner d'une centaine de millions d'euros entre les résultats de 2011 et ceux de 2012. Cette perte a gravement pesé sur les comptes de l'entreprise qui, précisément, a subi les critiques d'une mondialisation insuffisante.
Un marché à deux millions de voitures
L'accord nucléaire intérimaire entre l'Iran et les grandes puissances du groupe 5+1 (Chine, États-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne), entré en application en janvier, lève les sanctions contre le secteur automobile et permet de renouer les contacts. L'Iran, qui compte une population de 77 millions d'habitants, représente un important marché pour le secteur automobile et pour Peugeot en particulier, historiquement un acteur majeur du marché intérieur.
L'objectif de l'Iran est de développer la production locale, tombée de 1,6 million de véhicules en 2011 à environ 800 000 en 2013 en raison des sanctions. Devant des véhicules de plus en plus anciens, le rétablissement de l'activité est stratégique et l'idée est d'atteindre en quelques années les deux millions d'exemplaires.
Constructeur historique en Iran, Peugeot a perdu 450 000 véhicules par an en raison de l'embargo sur le nucléaire. Les liens sont désormais renoués.
Un haut responsable de PSA Peugeot-Citroën a mené une série de négociations à Téhéran avec son partenaire historique local Irankhodro pour entamer de "nouvelles coopérations", a rapporté lundi l'agence officielle Irna. En l'occurrence, il s'agit ni plus ni moins de Maxime Picat, directeur de la marque Peugeot. Avec Hachem Yeke Zare, directeur du groupe Irankhodro, ils ont mené dix heures de discussions pour examiner les contours de nouvelles coopérations communes, a précisé l'Irna.
Les deux responsables ont examiné "l'application des engagements passés de Peugeot, le transfert de technologies, la production commune de nouvelles voitures [...], et les exportations de voitures" construites en Iran par le réseau de distribution du constructeur français.
Visite-surprise de M. Picat
Peugeot a longtemps été un partenaire important d'Irankhodro, avec la production locale des modèles 405 et 206. La société avait une large part du marché automobile iranien. Peugeot, présent en Iran depuis les années 1990, a quitté ce qui était son deuxième marché en volume au printemps 2012, après l'annonce de nouvelles sanctions occidentales contre Téhéran en raison de son programme nucléaire controversé.
La marque au lion avait vendu l'année précédente 458 000 véhicules en Iran, et son retrait avait provoqué un manque à gagner d'une centaine de millions d'euros entre les résultats de 2011 et ceux de 2012. Cette perte a gravement pesé sur les comptes de l'entreprise qui, précisément, a subi les critiques d'une mondialisation insuffisante.
Un marché à deux millions de voitures
L'accord nucléaire intérimaire entre l'Iran et les grandes puissances du groupe 5+1 (Chine, États-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne), entré en application en janvier, lève les sanctions contre le secteur automobile et permet de renouer les contacts. L'Iran, qui compte une population de 77 millions d'habitants, représente un important marché pour le secteur automobile et pour Peugeot en particulier, historiquement un acteur majeur du marché intérieur.
L'objectif de l'Iran est de développer la production locale, tombée de 1,6 million de véhicules en 2011 à environ 800 000 en 2013 en raison des sanctions. Devant des véhicules de plus en plus anciens, le rétablissement de l'activité est stratégique et l'idée est d'atteindre en quelques années les deux millions d'exemplaires.
|
Répondre
|
Un haut responsable du constructeur automobile français PSA Peugeot Citroën a mené une série de négociations à Téhéran avec son partenaire historique local Irankhodro pour entamer de "nouvelles coopérations", a rapporté lundi l'agence officielle Irna.
Hachem Yeke Zare, directeur du groupe Irankhodro, et Maxime Picat, directeur de la marque Peugeot, ont mené dix heures de discussions pour examiner les contours de nouvelles coopérations communes, a précisé Irna.
Les deux responsables ont examiné "l'application des engagements passés de Peugeot, le transfert de technologies, la production commune de nouvelles voitures (...) et les exportations de voitures" construites en Iran par le réseau de distribution du constructeur français.
La visite de M. Picat n'avait pas été annoncée.
Peugeot a longtemps été un partenaire important d'Irankhodro, avec la production locale des modèles 405 et 206. La société avait une large part du marché automobile iranien.
Peugeot, présent en Iran depuis les années 1990, a quitté ce qui était son deuxième marché en volume au printemps 2012, après l'annonce de nouvelles sanctions occidentales contre Téhéran en raison de son programme nucléaire controversé. La marque au lion avait vendu l'année précédente 458.000 véhicules en Iran et son retrait avait provoqué un manque à gagner d'une centaine de millions d'euros entre les résultats de 2011 et ceux de 2012.
L'accord nucléaire intérimaire entre l'Iran et les grandes puissances du groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne), entré en application en janvier, lève les sanctions contre le secteur automobile.
L'Iran, qui compte une population de 77 millions d'habitants, représente un important marché pour le secteur automobile.
L'objectif de l'Iran est de développer la production locale, tombée de 1,6 million de véhicules en 2011 à environ 800.000 en 2013 en raison des sanctions. L'objectif est d'atteindre en quelques années les 2 millions d'exemplaires.
Hachem Yeke Zare, directeur du groupe Irankhodro, et Maxime Picat, directeur de la marque Peugeot, ont mené dix heures de discussions pour examiner les contours de nouvelles coopérations communes, a précisé Irna.
Les deux responsables ont examiné "l'application des engagements passés de Peugeot, le transfert de technologies, la production commune de nouvelles voitures (...) et les exportations de voitures" construites en Iran par le réseau de distribution du constructeur français.
La visite de M. Picat n'avait pas été annoncée.
Peugeot a longtemps été un partenaire important d'Irankhodro, avec la production locale des modèles 405 et 206. La société avait une large part du marché automobile iranien.
Peugeot, présent en Iran depuis les années 1990, a quitté ce qui était son deuxième marché en volume au printemps 2012, après l'annonce de nouvelles sanctions occidentales contre Téhéran en raison de son programme nucléaire controversé. La marque au lion avait vendu l'année précédente 458.000 véhicules en Iran et son retrait avait provoqué un manque à gagner d'une centaine de millions d'euros entre les résultats de 2011 et ceux de 2012.
L'accord nucléaire intérimaire entre l'Iran et les grandes puissances du groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne), entré en application en janvier, lève les sanctions contre le secteur automobile.
L'Iran, qui compte une population de 77 millions d'habitants, représente un important marché pour le secteur automobile.
L'objectif de l'Iran est de développer la production locale, tombée de 1,6 million de véhicules en 2011 à environ 800.000 en 2013 en raison des sanctions. L'objectif est d'atteindre en quelques années les 2 millions d'exemplaires.
|
Répondre
|
L'Iran, qui compte une population de 77 millions d'habitants, représente un important marché pour le secteur automobile. L'objectif de l'Iran est de développer la production locale, tombée de 1,6 million de véhicules en 2011 à environ 800.000 en 2013 en raison des sanctions. L'objectif est d'atteindre en quelques années les 2 millions d'exemplaires.
Dans le secteur automobile aussi, le potentiel est énorme.
Le groupe PSA Peugeot Citroën en sait quelque chose, lui qui y assemblait près de 450.000 véhicules par an jusqu'à l'entrée en vigueur de l'embargo américain.
Un chiffre qui faisait de l'Iran son deuxième marché en volume au printemps 2012.
Dans le secteur automobile aussi, le potentiel est énorme.
Le groupe PSA Peugeot Citroën en sait quelque chose, lui qui y assemblait près de 450.000 véhicules par an jusqu'à l'entrée en vigueur de l'embargo américain.
Un chiffre qui faisait de l'Iran son deuxième marché en volume au printemps 2012.
|
Répondre
|
Vous avez raison concernant la longueur d'onde.
Votre lien ne répond pas à la problématique et aux questions posées, du reste, le chapitre "Je t'aime, moi non plus" dit en substance : " (attention, ces chiffres ne révèlent pas un indice de fiabilité effectif mais la perception de fiabilité qu’ont les clients de la marque de l’auto qu’ils possèdent)".
I rest my case
Votre lien ne répond pas à la problématique et aux questions posées, du reste, le chapitre "Je t'aime, moi non plus" dit en substance : " (attention, ces chiffres ne révèlent pas un indice de fiabilité effectif mais la perception de fiabilité qu’ont les clients de la marque de l’auto qu’ils possèdent)".
I rest my case
|
Répondre
|
Boursi_35
Avez vous des statistiques qui traitent de la durée de vie des marques ? Une seule qui puisse dire que les marques de voitures allemande ont une durée de vie supérieure à celles françaises ?
Tout le monde sait que des Peugeot, Renault, Fiat ont des centaines de kilomètres au compteur sans avoir jamais causé le moindre problème.
la différence tient seulement dans le fait que les allemands ont eu la bonne idée de produire du haut de gamme, qui génère néanmoins des problèmes incroyables (demandez au SAV d'une concession BMW ou Mercedes, quels sont les taux de retour... ce sont les plus élevés du marché !).
Les allemands sont protégés par un phénomène de prestige, un client qui a mit plus de 40 000€ dans une bagnole avouera rarement ne pas être content de son achat. Vous avez le même phénomène avec les vacances, les gens ont payé des fortunes, se sont emmerdés comme des rats et, au retour, disent à qui veut l'entendre, qu'ils ont passé des vacances de rêve.
En fait, les technologies actuelles sont très proches, il est difficile de sortir du lot, seul le créneau haut de gamme est porteur car il tire la totalité de la marque vers le haut, ce qui manque à Peugeot et Renault.
Observez les ventes DACIA, c'est du lowcoast de bonne facture, si ce n'était Renault, personne n'en voudrait.
Même histoire avec SEAT, des caisses à boulons dont personne ne voulait, depuis que Volkswagen est dans l'affaire, c'est devenu une marque représentative.
rappelez vous des problèmes rencontré par BMW et Mercedes dès qu'ils ont voulu produire des voitures meilleurs marché. Ils ont eu les mêmes retour que sur leur haut de gamme, la contre publicité est venue du marché qu'ils avaient touché et qui n'était pas le leur.
Quant à Volkswagen, sans rire, nul ne peut prétendre que cette marque est plus fiable que n'importe quelle autre, ou alors sortez moi les statistiques !
Ne pas confondre les erreurs de positionnement qui sont imputables à Renault et Peugeot avec la qualité intrinsèque des véhicules, cela n'a rien à voir.
Pour parfaire, considérez que développer la moindre entreprise, en France, relève de l'exploit, tant entrepreneuriat est considéré comme une maladie honteuse et les syndicats sont parmi les plus stupides et haineux au monde.
On le voit le résultat des syndicats, eux qui se vantent d'avoir préservé les acquis sociaux des salariés français, alors même qu'ils ont pour affiliés des fonctionnaires. La seule chose qu'ont préservé les syndicats, c'est la manne financière que leur octroi en toute illégalité l'état France, et ce à tous les niveaux.
Avez vous des statistiques qui traitent de la durée de vie des marques ? Une seule qui puisse dire que les marques de voitures allemande ont une durée de vie supérieure à celles françaises ?
Tout le monde sait que des Peugeot, Renault, Fiat ont des centaines de kilomètres au compteur sans avoir jamais causé le moindre problème.
la différence tient seulement dans le fait que les allemands ont eu la bonne idée de produire du haut de gamme, qui génère néanmoins des problèmes incroyables (demandez au SAV d'une concession BMW ou Mercedes, quels sont les taux de retour... ce sont les plus élevés du marché !).
Les allemands sont protégés par un phénomène de prestige, un client qui a mit plus de 40 000€ dans une bagnole avouera rarement ne pas être content de son achat. Vous avez le même phénomène avec les vacances, les gens ont payé des fortunes, se sont emmerdés comme des rats et, au retour, disent à qui veut l'entendre, qu'ils ont passé des vacances de rêve.
En fait, les technologies actuelles sont très proches, il est difficile de sortir du lot, seul le créneau haut de gamme est porteur car il tire la totalité de la marque vers le haut, ce qui manque à Peugeot et Renault.
Observez les ventes DACIA, c'est du lowcoast de bonne facture, si ce n'était Renault, personne n'en voudrait.
Même histoire avec SEAT, des caisses à boulons dont personne ne voulait, depuis que Volkswagen est dans l'affaire, c'est devenu une marque représentative.
rappelez vous des problèmes rencontré par BMW et Mercedes dès qu'ils ont voulu produire des voitures meilleurs marché. Ils ont eu les mêmes retour que sur leur haut de gamme, la contre publicité est venue du marché qu'ils avaient touché et qui n'était pas le leur.
Quant à Volkswagen, sans rire, nul ne peut prétendre que cette marque est plus fiable que n'importe quelle autre, ou alors sortez moi les statistiques !
Ne pas confondre les erreurs de positionnement qui sont imputables à Renault et Peugeot avec la qualité intrinsèque des véhicules, cela n'a rien à voir.
Pour parfaire, considérez que développer la moindre entreprise, en France, relève de l'exploit, tant entrepreneuriat est considéré comme une maladie honteuse et les syndicats sont parmi les plus stupides et haineux au monde.
On le voit le résultat des syndicats, eux qui se vantent d'avoir préservé les acquis sociaux des salariés français, alors même qu'ils ont pour affiliés des fonctionnaires. La seule chose qu'ont préservé les syndicats, c'est la manne financière que leur octroi en toute illégalité l'état France, et ce à tous les niveaux.
|
Répondre
|
BMW : durant la guerre cette société qui appartient en majorité à la famille DIENTZ employait massivement des déportés dans ses usines : taux moyen de mortalite due aux conditiond de travail : 100 MORTS PAR MOIS.
Au bout d'un mois la plus part des déportés , épuisés étaien t inaptes au travail et renvoyés '( ou lutôt échangés contre de la chaire fraîche )avec en final le sort que l'on connaît.
La famille doit en grande partie sa fortune sans avoir en quoi que ce soit était sanctionnée.
MERCEDES : ma génération se souvient des MERCEDES où trônaient des officiers à grosses casquettes , après la guerre nombre de NAZIS et criminels de guerre y ont trouvés refuge soit localement soit dans les annexes comme l'EGYPTE ( normal vu la postion de ce pays en alliance discréte avec hitler
sanction pour les prpriétaires ???
si vous avez de l'estomac roulez avec ces marques , moi elles me donnent envie de vomir.
Au bout d'un mois la plus part des déportés , épuisés étaien t inaptes au travail et renvoyés '( ou lutôt échangés contre de la chaire fraîche )avec en final le sort que l'on connaît.
La famille doit en grande partie sa fortune sans avoir en quoi que ce soit était sanctionnée.
MERCEDES : ma génération se souvient des MERCEDES où trônaient des officiers à grosses casquettes , après la guerre nombre de NAZIS et criminels de guerre y ont trouvés refuge soit localement soit dans les annexes comme l'EGYPTE ( normal vu la postion de ce pays en alliance discréte avec hitler
sanction pour les prpriétaires ???
si vous avez de l'estomac roulez avec ces marques , moi elles me donnent envie de vomir.
|
Répondre
|
Si, l'état Français laisse tranquille cette entreprise, dont il sera rappelé l'incroyable flot d'insultes qu'a subit la famille Peugeot, de la part des syndicats et du gouvernement, alors même que c'était la seule entreprise Française à avoir conservé sa production dans l'hexagone, Peugeot pourra devenir un géant mondial.
On nous rabat les oreilles avec les bagnoles allemande, faut-il ne jamais avoir eu une Volkswagen ou BMW pour comprendre que la technologie Allemande est très loin de l'excellence que tout le monde lui prête, ce sont des caisses à boulons et des tapes-culs.
Peugeot a mille fois le savoir faire pour produire des véhicules de très haut de gamme, il suffit juste que les syndicats et l'état se taisent et arrêtent de saborder cette entreprise, avec les Chinois ce sera déjà plus difficile.
Tout ceci démontre, si besoin était, que l’interventionnisme est nuisible, que nos entreprises, si elles ne peuvent se délocaliser ou ne veulent pas le faire, sont vouées à une mort lente et onéreuse surtout pour les contribuables. Tout cela donnant l'occasion à nos dirigeants successifs de se pavaner en prétendant avoir sauvé l’industrie, alors même qu'il mettent tout en place pour la couler, le tout avec l'argent des contribuables.
On nous rabat les oreilles avec les bagnoles allemande, faut-il ne jamais avoir eu une Volkswagen ou BMW pour comprendre que la technologie Allemande est très loin de l'excellence que tout le monde lui prête, ce sont des caisses à boulons et des tapes-culs.
Peugeot a mille fois le savoir faire pour produire des véhicules de très haut de gamme, il suffit juste que les syndicats et l'état se taisent et arrêtent de saborder cette entreprise, avec les Chinois ce sera déjà plus difficile.
Tout ceci démontre, si besoin était, que l’interventionnisme est nuisible, que nos entreprises, si elles ne peuvent se délocaliser ou ne veulent pas le faire, sont vouées à une mort lente et onéreuse surtout pour les contribuables. Tout cela donnant l'occasion à nos dirigeants successifs de se pavaner en prétendant avoir sauvé l’industrie, alors même qu'il mettent tout en place pour la couler, le tout avec l'argent des contribuables.
|
Répondre
|
son retour en Iran
http://www.autonews.fr/dossiers/industrie/163868-peugeot-retour-iran/
htt p://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/auto-transport/actu/0203478857034-peuge ot-negocie-son-retour-en-iran-668812.php
http://automobile.challenges.fr/actu -auto/20140506.LQA6080/peugeot-negocie-les-termes-de-son-retour-en-iran.html
http://www.caradisiac.com/Peugeot-bientot-de-retour-en-Iran-94358.htm
http://www.autonews.fr/dossiers/industrie/163868-peugeot-retour-iran/
htt p://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/auto-transport/actu/0203478857034-peuge ot-negocie-son-retour-en-iran-668812.php
http://automobile.challenges.fr/actu -auto/20140506.LQA6080/peugeot-negocie-les-termes-de-son-retour-en-iran.html
http://www.caradisiac.com/Peugeot-bientot-de-retour-en-Iran-94358.htm
|
Répondre
|
Forum de discussion Stellantis
201405111105 410034
