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CAC 40: en route pour les 7000 points selon SG.

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tirelire19 tirelire19
26/11/2014 17:46:13
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Dormons tranquille , nous sommes devenus des MOUTONS DE PANURGE de la HAUSSE grâce aux fabricants de billets de Monopoly que sont devenus les BANQUES CENTRALES , alors 7000, 10 000 , 50 000 points peu importe entre la réalité boursière et la la réalité économique cela fait deux MONDES .
  
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Libéral Libéral
10/05/2014 19:47:27
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Alléluia ! "La baisse des impôts est une condition nécessaire à la réduction des déficits"

C'est effectivement dans le mille feuilles de l'état qu'il faut trancher, et il faut le faire sans retenue, avec un objectif planifié sur quelques années, qui aboutirait à une diminution de 60%, à minima, des fonctionnaires et élus.
Nous en revenons toujours à une libéralisation de la société qui ne peut être envisagé qu'avec une diminution drastique du périmètre de l'état.

Cette diminution n'ayant pas pour seul effet de réduire le nombre des préposés de l'état, pensé tel quel, cela serait stupide en soit. Il faut surtout prendre en compte le corolaire d'une telle mesure.

Entendons nous bien, il ne s'agit pas que l'état confie ses missions au privé, cela ne rime à rien. Il faut que l'état se désengage réellement partout ou cela est possible.

Comment le faire ?

les grands postes sont notamment liés au social, la santé notamment, chroniquement déficitaire car bâti sur l'idée saugrenue et injuste d'une répartition.
L'ouverture à la concurrence des systèmes de santé serait un grand pas vers le désengagement de l'état et redonnerait au terme démocratie toutes ses lettres de noblesse.
Les implications seraient nombreuses :
- suppression de tous les postes administratifs liés à cette mission (fonctionnaires, cadres, ministres, etc...) + cession des bâtiments occupés
- allègement de la charge de travail des entreprises auxquelles n'incomberaient plus les déclarations sociales, dépénalisation des mêmes entreprises (les redressements URSAFF sont légions et tout y est prétexte), allègement des frais comptables liés à ce poste (rédaction des bulletins de salaires indéchiffrables, etc...)
- responsabilisation de l'individu, seul en charge de sa protection sociale !
- fin des débats sur l'immigration dont le principal inconvénient de notre système actuel est de justement attirer toute la misère du monde qui vient profiter de notre couverture santé façon Ponzi (un étranger veut venir vivre en France ? et bien qu'il s'assure, comme les autres...)
- diminution importante des frais de couverture santé**, avec de facto augmentation du pouvoir d'achat
- diminution importante des prélèvements sociaux
- augmentation des marges des entreprises...

**Amaritz, assurance Anglaise (de mémoire) demande 4000€/an pour une couverture santé 100%, bien entendu attachée à un seul individu, avec un plafond de remboursement de 1.5M€/an. Faites vos calculs. Et il n'est pas interdit de s'assurer pour une couverture moindre (donc cotisation qui diminue d'autant). En fait, en France, la santé est remboursée à 40% pour ce qui l'est, le reste est pris en charge par une mutuelle pour ceux qui peuvent se le permettre, encore une fois, il faut tout additionner et comparer, les économies sont énormes.

Concernant les retraites, mêmes causes, mêmes effets. Au sujet des retraites, le pire est d'entendre des libéraux ou se déclarant comme tel, se féliciter du recul de l'âge de départ. Ceux-là ne perçoivent pas leur contradiction ni l'imbécilité d'une telle mesure.
Tout le monde est d'accord sur le fait qu'augmenter les impôts est une chose stupide, les effets sont terribles sur l'économie, c'est une spoliation de la richesse des individus, c'est surtout une vis sans fin car, par facilité, l'état ne sait qu'augmenter lesdits impôts sans ne jamais se remettre en cause lui même.
Pour la retraite il en va de même. L'état, pas plus que quiconque, ne peut décider de l'âge de départ ni du montant d'une pension.
Il appartient à chacun de cotiser le montant qui lui chante selon les modalités qui lui convienne. Après tout, le gouvernement qui se targue (il ne fait que ça) de vouloir redonner du pouvoir d'achat, tient la une excellente occasion !
Je peux, par exemple, décider de cotiser une somme minimale pour ma retraite et investir une grande partie dans l'achat immobilier qui constituera un double capital : la valeur du bien + sa rentabilité (sans compter le travail donné à des tiers pour construire et entretenir ces bâtiments). Ainsi, percevant des loyers, qu'aurais je à faire d'avoir cotisé des fortunes par ailleurs ? pour une pension plafonnée qui plus est. Sans compter sur le fait que dans cette hypothèse, les biens acquis constitueraient un capital important pour ma descendance.
Les mêmes investissements peuvent s’envisager en rentrant au capital d'entreprises, mêmes effets que pour l'immobilier !
Bien entendu, l'état doit s'interdire le moindre prélèvement sur ces revenus et investissements, et du reste, pour quel usage ?

Des dizaines d'autres mesures sont envisageables, notamment la réduction des strates administratives, il faut non seulement diminuer ce mille feuilles, mais, afin d'éviter qu'il grossisse de nouveau, définir un ratio élu/habitants, le tout gravé dans la constitution.

Pour conclure, je connais les libéraux, ils ont la fâcheuse tendance a rester dans la posture. Pour certains le libéralisme est une vue de la société complètement utopique. Le libéralisme est coincé dans ses propres contradictions. Comment agir sans s'imposer ? ils creusent encore...

Le libéralisme, c'est justement de ne rien imposer à quiconque, il faut néanmoins sortir de l'utopie d'une monde ou le privé aurait remplacé l'état, ce ne serait que déplacer le problème. Ceux qui pensent que le privé est plus vertueux et efficace que l'état, sont d'une part en manque de références historiques, d'autres part ils ne perçoivent pas la fausseté de leur appréciation. En effet, penser de telle façon, c'est faire abstraction du contexte et de l'humain, toujours derrière le système, quel que soit celui-ci et seul responsable de ses dérives. Humain trop humain disait Nietzsche.
  
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alexandre alexandre
10/05/2014 17:16:17
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Nous vivons malheureusement dans un monde d'égoïsme, la marque d'un manque de courage de nos politiques.

La baisse des impôts est une condition nécessaire à la réduction des déficits. En soi, cette mesure n'est pas suffisante. Elle doit s'accompagner de réformes structurelles portant sur le train de vie de tous. Cela passe par la réduction du nombre des fonctionnaires, la réorganisation des services publics, la réduction du nombre de régions, le redécoupage administratif de nos territoires, une autre politique sociale : santé et retraite.

"La révision constitutionnelle du 28 mars 2003 a défini comme « collectivités territoriales de la République » à l'article 72 de la Constitution « les communes, les départements, les régions, les collectivités à statut particulier et les collectivités d’outre-mer régies par l’article 74 ». Actuellement, ces différentes collectivités territoriales sont les communes (au nombre de 36 681 au 1er janvier 20131), les départements (96 en métropole et 5 en outre-mer), les régions (22 en métropole et 5 en outre-mer), les collectivités à statut particulier (la collectivité territoriale de Corse notamment), les collectivités d’outre-mer (Saint-Pierre-et-Miquelon, les îles Wallis-et-Futuna, la Polynésie française, Saint-Martin et Saint-Barthélemy). La Nouvelle-Calédonie est une collectivité sui generis dont le statut est défini aux articles 75 et 76 de la Constitution." Source :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Administration_territoriale_de_la_France

On peut s'interroger sur l'utilité de tous ces échelons, qui pourraient bien être simplifiés.
Cela touche les intérêts locaux, les élus locaux.

Et certains ne manqueront pas d’y voir un intérêt suspect.

A mon humble avis, le millefeuille risque de perdurer encore quelques années. Je connais dans ma petite commune des élus qui, étant socialistes, ne souhaitent pas de changement. Ils sont en place depuis trente ans. Ailleurs, ils ne sont pas seuls dans cette situation.

Avec un Etat, sans volonté réformatrice, les impôts comme les pensions des retraités et les déficits restent des moyens commodes de « boucler » les budgets et transmettre aux générations futures les problèmes actuels.


Message complété le 10/05/2014 17:23:38 par son auteur.

PS:

La baisse des impôts est une condition nécessaire à la réduction des déficits. Lire la baisse des dépenses publiques. et des impôts par la suite.

ci joint la contribution des recettes fiscales au budget de l'Etat français.

  
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Libéral Libéral
10/05/2014 15:51:32
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Votre discours est celui de l'homme sage et équilibré, dans ses propos et décisions, las, la réalité n'est pas la même, nous constatons tous une dérive malsaine des finances publiques, les marchés étant eux anormalement dopés par des plans de relance qui n'ont aucune légitimité, sauf à faire perdurer un système obsolète.

Tout n'est pas négatif... puisque nous en débattons.

Le plan Hollande n'est qu'une fumisterie, il aurait tout autant pu être initié par d'autres socialistes, de droite, que cela ne changerait rien aux problèmes.

Quel est ce plan ? une diminution de la dépense publique ? Faux. puisque l'état n'a de cesse d’accroitre le nombre de fonctionnaires et d'élus tout en s'endettant d'avantage. Il s'agit en fait d'une ponction faite dans les poches des contribuables, un impôt déguisé.

Ne pouvant décemment plus augmenter les impôts pendant quelques temps encore, le gouvernement n'a pas coupé dans ses dépenses (ce qui est réclamé par tous les libéraux), mais, il a gelé le point d'indices des fonctionnaires et verrouillé les retraites, tout en apportant une touche pseudo sociale puisque voulant épargner les retraites modestes (illégitime). De même sont concernés les dépenses dites sociales, celles de santé notamment.

Tout cela est inacceptable. Des fonctionnaires, il en faut (sauf preuve du contraire et cela n'a jamais été le cas, sauf dans la tête de quelques pseudos libéraux, ceux qui se complaisent dans la posture), il est anormal que les fonctionnaires voient leurs salaires bloqués, soit ils sont utiles et il faut les payer correctement, soit ils ne le sont pas et il faut les virer. Au seul sujet des fonctionnaires, la vraie mesure à prendre c'est de réformer leur statut, il faut en faire des salariés lambda, tout comme les élus.

Même débat sur les retraites, la mesure est inacceptable, ce d'autant que l'état nous oblige à cotiser pour lesdites retraites et qu'il nous impose un âge de départ, le reculant sans cesse. Que l'état assume sa part du contrat et qu'il s’abstienne d'en modifier les termes, puisque c'est de ça qu'il s'agit. Mais, oh ! de contrat passé avec l'état et les citoyens il n'y en a pas. Les retraites sont donc illégitimes et toutes ces caisses devraient être ouvertes à la concurrence.

Enfin, lorsque l'état parle de maîtriser les dépenses de santé, il faut entendre "déremboursement des soins", sans que jamais ne soit remit en cause le statut de la sécurité sociale, avec laquelle la aussi, aucun citoyen n'a passé le moindre contrat.

Tout ceci est non seulement illégitime, mais, ne permet nullement une réalocation d'actifs, puisque au contraire : ce qui n'est plus remboursé, les pensions qui diminuent, les salaires gelés, c'est une perte nette de pouvoir d'achat. Ce sont donc des impôts déguisés.

Vous parlez de baisse des impôts ? mais pourquoi avoir matraqué les Français pendant 2 ans alors ? (les prédécesseurs de Hollande n'ont pas fait mieux).

Tout ceci est une vaste fumisterie, les politiques touillent le même chaudron en espérant (pour les + idiots) que la situation s'améliore, que la crise passe, que demain ça ira mieux (seule alternative qui leur permette de perdurer). En fait ça n'ira pas mieux. Considérez que les taux n'ont jamais été aussi bas, que la situation économique n'a jamais été aussi désastreuse, que le nombre de chômeurs est en constante augmentation et que la seule solution des état est d’augmenter sans cesse les prélèvements, asphyxiant chaque jour l'économie et les contribuables.

Rien ne surgira tant que sera conservé notre système actuel, et de changement il n'y en a pas. Une vraie réforme de l'état s'impose, il faut que les dépenses de celui-ci réduisent drastiquement. Pour cela il faut réellement libérer l'économie, en ouvrant notamment les caisses sociales et retraites à la concurrence, en arrêtant radicalement, rapidement et définitivement cette pyramide de Ponzi sociale. (je vous devine sans problème à même d'en mesurer tous les avantages !)

Il est curieux tout de même, que les systèmes collectivistes n'offrent pas de solutions alternatives aux citoyens qui n'en veulent !
  
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alexandre alexandre
10/05/2014 15:31:41
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Pour ceux qui souhaitent approfondir, la lecture de Milton Friedmann, représentant de l'école de Chicago, apporte un point de vue d'actualité.

ilton Friedman est un économiste américain né le 31 juillet 1912 à New York et mort le 16 novembre 2006 à San Francisco, considéré comme l'un des économistes les plus influents du xxe siècle[1]. Titulaire du « prix Nobel d'économie » en 1976 pour ses travaux sur « l'analyse de la consommation, l'histoire monétaire et la démonstration de la complexité des politiques de stabilisation »[2], il a été un ardent défenseur du libéralisme. Il a travaillé sur des domaines de recherche aussi bien théorique qu'appliquée, il fut à l'origine du courant monétariste ainsi que le fondateur de l'École de Chicago. Il est également un commentateur politique et essayiste à succès[3],[4].

Deux de ses œuvres ont particulièrement touché le grand public : d'abord son livre Capitalisme et liberté publié en 1962 puis sa série d'interventions télévisées réalisées en 1980 intitulée Free to Choose (en français La Liberté du choix). Dans Capitalisme et liberté, il explique sa théorie selon laquelle la réduction du rôle de l'État dans une économie de marché est le seul moyen d'atteindre la liberté politique et économique. Plus tard, dans La Liberté du choix, Friedman cherche à démontrer la supériorité du libéralisme économique sur les autres systèmes économiques.

Milton Friedman a inauguré une pensée économique d'inspiration libérale dont les prescriptions s'opposent de front à celle du keynésianisme. En réponse à la fonction de consommation keynésienne, il développa la théorie du revenu permanent. Avec cette théorie et l'introduction du taux de chômage naturel, Friedman remet en cause le bien-fondé des politiques de relance qui, pour lui, ne peuvent que provoquer de l'inflation contre laquelle il faut lutter. À cette fin, il proposa l'instauration d'un taux constant de croissance de la masse monétaire. Enfin, il réalise un apport important au droit de la concurrence moderne, « chaque décision de l'Autorité de la concurrence, des Cours d'appel ou de la Commission européenne mettant indirectement en balance ses idées »[5].

Ses idées se diffusèrent progressivement et devinrent populaires parmi les milieux politiques dans les années 1980, influençant profondément les mouvements conservateurs et libertariens américains. Ses idées économiques sur le monétarisme, la fiscalité, les privatisations et la dérèglementation ont directement ou indirectement inspiré les politiques économiques de nombreux gouvernements à travers le monde, notamment ceux de Ronald Reagan aux États-Unis, de Margaret Thatcher au Royaume-Uni, d'Augusto Pinochet au Chili et de Brian Mulroney au Canada.

Message complété le 10/05/2014 15:40:43 par son auteur.

http://fr.m.wikipedia.org/wiki/Milton_Friedman

La FED applique les idées de Milton Friedman dans le domaine monétaire. Elle s'est toujours souciée d'assurer aux marchés une expansion constante de la masse monétaire notammant par la baisse de son taux directeur, son programme d'achats d'actifs, connu sous le vocable de Quantitative easing.

  
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alexandre alexandre
10/05/2014 15:00:51
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La bourse et l'économie réelle sont deux mondes différents. L'économie réelle a toujours un temps de retard sur la bourse qui est un marché d'anticipations. Les marchés financiers saluent le plan de réduction des déficits publics et les objectifs de retour à un déficit de 3 % du PIB. En économie libèrale, on peut penser que les agents économiques dépenseront mieux que l'Etat les impôts non prélevés. C'est la logique libérale. Le marché et ses agents sont meilleurs que la puissance public pour l'affectation des ressources, que ce soit les ménages ou les entreprises. En redonnant au marché des moyens financiers plus importants par les baisses de charges, d'impôts la consommation, l'investissement et l'emploi retrouveront plus de dynamisme. Il faut aussi que les conditions économiques, la législation accompagent baisse d'impôts, baisse de charges et flexibilité du marché du travail, formation professionnelle .....
Les habituels contempteurs de la France s'accordent à reconnaitre que le plan recemment présenté par les pouvoirs publics pourrait etre amélioré.
Tout n'est pas négatif.
  
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Libéral Libéral
10/05/2014 14:17:58
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7000, -2000, 1 500 000 pts. Peu importe, la question est : en quoi tout cela est corrélé avec l'économie réelle ? En rien, et ça commence à se voir, c'est bien ce qui inquiète nos politiques de tous bords.
La réaction de Hollande qui parcours les médias, outre la médiocrité du bonhomme qui n'a pour obsession que sa petite personne, est symptomatique de la déliquescence de nos sociétés.
Il nous sert des mensonges, il vit dans le déni le plus total, seuls lui font écho, ceux qu'il a mit en place, les derniers fidèles (et encore !), s’accrochant à leurs places comme des arapèdes à leur rocher.
L'Europe est cuite, plus personne sauf ceux qui vivent de l'argent des autres, ne cautionne cette pantomime. Il est venu le temps des réformes en profondeur, celui des discours creux a assez duré.
  
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alexandre alexandre
10/05/2014 12:57:16
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En route vers de nouveaux plus hauts. Je n'irais pas jusqu'à dire que les 7000 points sont à porter. Sur cette route, l'indice a des résistances à franchir notamment la résistance des 4558 points qui date de 2008. Pour ma part, un retour sur la résistance descendante à MT pourrait être envisagé au dessus des 4558 tant que le support des 4137 points ne sera pas cassé.
Sous les 4137 points je commencerai à m'inquiéter.
  
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Libéral Libéral
10/05/2014 03:58:41
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(CercleFinance.com) - L'indice CAC 40, qui a brièvement refranchi hier la barre des 4500 points, est bien parti pour atteindre les 7000 points d'ici à la fin 2016, estiment vendredi les stratèges de Société Générale.

Dans une note de recherche, les analystes de SG évoquent les effets bénéfiques des 'Hollandenomics' et de leur approche orientée vers l'offre.

'La nouvelle politique du gouvernement est basée sur une équation simple, souligne la banque française. Les 30 milliards d'euros d'allègements de charges des entreprises sont censés être financés par 50 milliards d'économies de l'Etat, et cela dans un contexte de réformes structurelles'.

'Parallèlement, les réformes déjà votées doivent favoriser la flexibilité du marché et réduire les dépenses de retraite', ajoute SG.

Les stratèges mettent aussi en évidence un 'meilleur casting' au gouvernement avec la nomination au poste de Premier ministre de Manuel Valls, l'arrivée de sept ministres expérimentés et le départ des Verts.

D'après Société Générale, les performances des actions françaises sont donc appelées à accélérer, avec un indice CAC qui pourrait atteindre les 7000 points d'ici à la fin 2016, voire avant, et ainsi nettement surperformer un DAX allemand pénalisé par le changement de donne induit par l'accord de grande coalition conclu autour d'Angela Merkel.

Selon SG, l'idée de repousser les objectifs budgétaires de Bruxelles en l'échange de réformes structurelles devrait finir par favoriser la croissance, un postulat qui lui fait dire que les 'spreads' de crédit entre la France et l'Allemagne devraient demeurer relativement limités.

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