Alstom: l'offre de Mitsubishi Heavy Industries et Siemens.
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Comment pouvait-on croire que GE n'allait pas surenchérir ? GE voulait Alstom, et il est allé jusqu'au bout. Ce n'était pas uniquement une question de liquidités....
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Bonsoir,
C'est confirmé maintenant : Général Electric l'emporte!
Dernières nouvelles :
Le scénario final se précise sur le dossier Alstom et on a appris après la clôture de la bourse que l'État français allait rentrer dans le capital du groupe à hauteur de 20 % en rachetant les deux tiers de la participation de Bouygues.
L'Élysée a fait son choix, c'est l'offre de General Electric (GE) qui est préférée à celle de l'alliance formée entre Siemens et Mitsubishi Heavy Industries. La surenchère de dernière minute avec une rallonge de 1,2 milliard d'euros faite n'a donc pas joué.
D'après les propos d'Arnaud Montebourg, une coentreprise française sera mise en place dans les secteurs du nucléaire et de la vapeur. La répartition du capital se fera à 50 50 avec le géant américain.
L'État français aura donc un droit de regard important dans la nouvelle structure puisqu'il approuvera la moitié des administrateurs du groupe et que l'essentiel des brevets restera dans une société française. En parallèle, il aura un œil sur l'emploi et il prévoit même des pénalités financières si GE ne créait pas les 1000 emplois promis dans l'hexagone.
© www.abcbourse.com
C'est confirmé maintenant : Général Electric l'emporte!
Dernières nouvelles :
Le scénario final se précise sur le dossier Alstom et on a appris après la clôture de la bourse que l'État français allait rentrer dans le capital du groupe à hauteur de 20 % en rachetant les deux tiers de la participation de Bouygues.
L'Élysée a fait son choix, c'est l'offre de General Electric (GE) qui est préférée à celle de l'alliance formée entre Siemens et Mitsubishi Heavy Industries. La surenchère de dernière minute avec une rallonge de 1,2 milliard d'euros faite n'a donc pas joué.
D'après les propos d'Arnaud Montebourg, une coentreprise française sera mise en place dans les secteurs du nucléaire et de la vapeur. La répartition du capital se fera à 50 50 avec le géant américain.
L'État français aura donc un droit de regard important dans la nouvelle structure puisqu'il approuvera la moitié des administrateurs du groupe et que l'essentiel des brevets restera dans une société française. En parallèle, il aura un œil sur l'emploi et il prévoit même des pénalités financières si GE ne créait pas les 1000 emplois promis dans l'hexagone.
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Bonsoir,
GE n' a certainement pas encore dit son dernier mot; ils ne sauraient laisser échapper les activités énergie d'Alstom sans faire une dernière contre-proposition:
(CercleFinance.com) - GE préparerait une nouvelle offre sur le dossier Alstom qu'il devrait dévoiler vendredi, d'après les pages économiques du Figaro, indiquant que Jeff Immelt pourrait anticiper une visite à Paris prévue initialement lundi prochain.
Le journal précise que le conglomérat américain renoncerait à racheter la totalité des activités réseau de transmission d'Alstom, pour ne prendre qu'une participation minoritaire dans cette branche. GE promettrait aussi d'apporter tout ou partie de son activité de signalisation ferroviaire à la branche transports du groupe français.
Selon Le Figaro, les discussions des prochains jours viseraient à offrir des gages à l'Etat français de façon à éviter un véto gouvernemental, qui ouvrirait la voie à une victoire de la proposition présentée lundi par Siemens et Mitsubishi Heavy Motors (MHI).
Pour mémoire, Siemens souhaite racheter 100% des activités de gaz, incluant les contrats de service, pour 3,9 milliards d'euros, tandis que MHI propose trois coentreprises avec Alstom et l'injection de 3,1 milliards d'euros en numéraire.
Copyright © 2014 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
GE n' a certainement pas encore dit son dernier mot; ils ne sauraient laisser échapper les activités énergie d'Alstom sans faire une dernière contre-proposition:
(CercleFinance.com) - GE préparerait une nouvelle offre sur le dossier Alstom qu'il devrait dévoiler vendredi, d'après les pages économiques du Figaro, indiquant que Jeff Immelt pourrait anticiper une visite à Paris prévue initialement lundi prochain.
Le journal précise que le conglomérat américain renoncerait à racheter la totalité des activités réseau de transmission d'Alstom, pour ne prendre qu'une participation minoritaire dans cette branche. GE promettrait aussi d'apporter tout ou partie de son activité de signalisation ferroviaire à la branche transports du groupe français.
Selon Le Figaro, les discussions des prochains jours viseraient à offrir des gages à l'Etat français de façon à éviter un véto gouvernemental, qui ouvrirait la voie à une victoire de la proposition présentée lundi par Siemens et Mitsubishi Heavy Motors (MHI).
Pour mémoire, Siemens souhaite racheter 100% des activités de gaz, incluant les contrats de service, pour 3,9 milliards d'euros, tandis que MHI propose trois coentreprises avec Alstom et l'injection de 3,1 milliards d'euros en numéraire.
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pour les activités GAZ pourquoi ne pas faire appel à TOTAL ou GDF SUEZ si MUTSUBISHI n'est pas intéressé ?
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(CercleFinance.com) - Mitsubishi Heavy Industries (MHI), basé à Tokyo, et Siemens, viennent de déposer une offre commune pour la reprise de certaines activités d'Alstom, décrite comme 'très bénéfique pour l'emploi'.
Mitsubishi Heavy Industries dispose d'un portefeuille d'activité allant de la construction navale aux centrales électriques, en passant par la machinerie industrielle et les systèmes de climatisation.
MHI entend former une alliance industrielle élargie avec Alstom et créer trois coentreprises, à travers l'acquisition de 40% des activités turbines à vapeur et nucléaires, 20% d'Alstom Grid et 20% des activités Hydro. MHI injecterait 3,1 milliards d'euros en numéraire.
Cette alliance pourrait conduire selon MHI à la création de plus de 1000 emplois en France.
De son côté, Siemens entend acquérir 100% des activités gaz, incluant les contrats de service, pour 3,9 milliards d'euros en numéraire.
Le conglomérat allemand propose une garantie d'emploi de trois ans en France et en Allemagne pour les salariés concernés.
Le siège de ces activités serait établi en France.
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Mitsubishi Heavy Industries dispose d'un portefeuille d'activité allant de la construction navale aux centrales électriques, en passant par la machinerie industrielle et les systèmes de climatisation.
MHI entend former une alliance industrielle élargie avec Alstom et créer trois coentreprises, à travers l'acquisition de 40% des activités turbines à vapeur et nucléaires, 20% d'Alstom Grid et 20% des activités Hydro. MHI injecterait 3,1 milliards d'euros en numéraire.
Cette alliance pourrait conduire selon MHI à la création de plus de 1000 emplois en France.
De son côté, Siemens entend acquérir 100% des activités gaz, incluant les contrats de service, pour 3,9 milliards d'euros en numéraire.
Le conglomérat allemand propose une garantie d'emploi de trois ans en France et en Allemagne pour les salariés concernés.
Le siège de ces activités serait établi en France.
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