Les mises en chantier au plus bas depuis 1998

En tant que professionnel de ce secteur, je l’ai dit et redit maintes fois. Un projet de construction, que ce soit simplement un pavillon individuel ou un projet locatif, ou un projet industriel, cela demande entre 1 et 3 ans de préparation (étude de faisabilité, demande de permis de construire avec toute la règlementation à l’avenant , les autorisations qui vont avec,( acquisition de terrain, campagne d’étude préhistorique préventive (voire plus)), la virgule de travers sur la norme handicapés, ou sismique, ou incendie(dans le tunnel de glace de l'aiguille du midi -véridique) . Ce qui veut dire que ce secteur ne peut souffrir le moindre trou économique. Qui décale d’autant la mise en chantier. Ce « trou économique » ayant commencé en mai 2012. (Dans ce secteur, la gauche, on connaît ses effets néfastes sur cette activité.)
Pour la relance de ce secteur, c’est pas gagné. …pour demain matin. Un trou d’air sera toujours un trou d’air!

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aux us ont a pas le même niveau de qualité de construction qu'ici

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la baisse va se poursuivre vu les prix exorbitant quand la bulle se dégonfle sa fait mal sa va descendre encore et de beaucoup voir 25% a 35% fini les bien estimé 25f ois leur valeur
retour a la normale

une maison au usa moyenne 85 000 euros en France 380 000 le probleme est la

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Objectif de 500 000 plutôt dans ce cas.

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Les chiffres officiels publiés par le ministère du logement sur la construction neuve en France ne font que confirmer la crise profonde que traverse le secteur.

Au mois de juillet il y a eu seulement 26327 mises en chantier dans l'hexagone. Sur une année glissante les chiffres sont en chute de 10% et on retombe à des niveaux jamais vus depuis 1998 !

Sur 2014 nous dépasseront péniblement les 300000 logements quand le gouvernement s'était fixé un objectif de 50000. Très loin du compte et des priorités qui changent à la tête de l'exécutif qui s'est décidé à lancer un grand plan pour le secteur à la rentrée. Le premier ministre devrait faire des annonce rapidement pour essayer d'enrayer cette spirale infernale.

L'enjeu est important car l'INSEE a estimé que la crise actuelle du secteur coutait environ 0,4 point de PIB à la France. Des points précieux en ces temps de croissance nulle.

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