CAC40: s'envole de 2,2% après les chiffres de l'emploi US.
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L'espoir s'envole surtout...
Les drôles d'oiseaux et le pétrole, ça a jamais fait bon ménage...
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vite oubliés les chiffres de l' emploi !
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Bonsoir,
Je n'ai aucune confiance dans les récentes envolées des cours. Le monde n'a jamais été aussi près du défaut de paiement généralisé et dans le même temps, les cours aux US battent records après records.
Quand on voit que le NASDAQ a plus que triplé en 6 ans, on se doute bien que l'on marche sur la tête. Il y a un dicton disant à peu près ceci : La chandelle brille plus fort juste avant de s'éteindre.
http://www.atlantico.fr/decryptage/prochaine-crise-mondiale-est-annoncee-pour-printemps-2015-atlantico-business-1666869.html
Enfin, il y a aussi la question du trading algo.
A quel moment est-il devenu suffisamment important pour influer significativement sur les cours ?
Sur le long terme, engendre t-il des bulles spéculatives ?
A l'inverse, comment les algo réagiront en cas de crack ? Parcequ'ils suivent des règles strictes, ils n'hésiterons pas à couper rapidement les positions et passer en VAD. La chute pourrait être plus brutale qu'en 2008.
Qu'en pensez-vous ?
Je n'ai aucune confiance dans les récentes envolées des cours. Le monde n'a jamais été aussi près du défaut de paiement généralisé et dans le même temps, les cours aux US battent records après records.
Quand on voit que le NASDAQ a plus que triplé en 6 ans, on se doute bien que l'on marche sur la tête. Il y a un dicton disant à peu près ceci : La chandelle brille plus fort juste avant de s'éteindre.
http://www.atlantico.fr/decryptage/prochaine-crise-mondiale-est-annoncee-pour-printemps-2015-atlantico-business-1666869.html
Enfin, il y a aussi la question du trading algo.
A quel moment est-il devenu suffisamment important pour influer significativement sur les cours ?
Sur le long terme, engendre t-il des bulles spéculatives ?
A l'inverse, comment les algo réagiront en cas de crack ? Parcequ'ils suivent des règles strictes, ils n'hésiterons pas à couper rapidement les positions et passer en VAD. La chute pourrait être plus brutale qu'en 2008.
Qu'en pensez-vous ?
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pour comprendre l'influence des chiffres de l'emploi aux USA sur les bourses regardez leur influence sur le SP 500... négligeable !!
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Si les américains sont burnés ils grimpent les taux en 2015.Alors feu d'artifice et les amerloques rachètent le monde pour une poignée de dollars!A bien entendeur salut!
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(CercleFinance.com) - La Bourse de Paris a effacé ses pertes d'hier et est resté solidement ancrée dans le vert après les chiffres mensuels de l'emploi américain. Le CAC 40 engrange 2,21% à 4.419,48 points, soit un gain hebdomadaire de 0,7%.
Les chiffres mensuels de l'emploi ont littéralement explosé le compteur. 321.000 postes non-agricoles ont ainsi été créés le mois dernier au sein de la première économie mondiale, soit un niveau sans précédent depuis janvier 2012 ! Le chiffre d'octobre a en outre été révisé de 214.000 à 243.000.
Surtout, les économistes tablaient en moyenne sur 'seulement' 225.000 nouveaux emplois.
Alors que le taux de chômage et le taux de participation au marché du travail sont restés stables à respectivement 5,8% de la population active et 62,8%, le déficit commercial a quant à lui légèrement diminué entre septembre et octobre, passant de 43,6 (chiffre révisé de 43 milliards de dollars) à 43,4 milliards de dollars. Le consensus était cependant plus optimiste, misant sur un recul plus marqué autour de 42 milliards de dollars.
Dernière donnée du jour aux Etats-Unis, également décevante, mais insuffisante pour contrarier la marche en avant des marchés occidentaux : les commandes à l'industrie se sont repliées de 0,7% en octobre après, déjà, une diminution de 0,5% le mois précédent (chiffre révisé de -0,6%) et contre +0,2% attendu.
Concernant les indicateurs européens du jour, la hausse de 2,5% en séquentiel des commandes à l'industrie allemande en octobre constitue un catalyseur d'autant plus solide que le consensus anticipait une augmentation nettement plus modeste de l'ordre de 0,5%.
S'agissant des valeurs, Pierre & Vacances (+3,6%) continue de s'illustrer, toujours porté par l'annonce d'un partenariat avec un groupe chinois qui lui ouvre de nouveaux horizons.
Club Méditerranée, dont la cotation était suspendue entre 12h19 et 15h20, prend en fin de séance 2,2% alors qu'Andrea Bonomi a surenchéri, proposant désormais 24 euros par titre.
Les bancaires sont en tête des hausses avec des gains de 4,1% sur BNP Paribas, +3,3% sur Société Générale et +3% sur Crédit Agricole.
Enfin, Saint-Gobain (+3,8%) profite d'une note sectorielle favorable de Morgan Stanley. L'analyste reste à 'pondérer en ligne' sur Saint-Gobain, mais a revu à la hausse son objectif de 36,5 à 37,5 euros.
Crédit Suisse a renouvelé son opinion 'surperformance' sur Total avec un objectif de cours ramené de 52,5 à 49,5 euros. Dans une note sectorielle, le courtier explique avoir revu à la baisse ses prévisions sur le baril de brut après la décision de l'OPEP de maintenir ses quotas de production.
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Les chiffres mensuels de l'emploi ont littéralement explosé le compteur. 321.000 postes non-agricoles ont ainsi été créés le mois dernier au sein de la première économie mondiale, soit un niveau sans précédent depuis janvier 2012 ! Le chiffre d'octobre a en outre été révisé de 214.000 à 243.000.
Surtout, les économistes tablaient en moyenne sur 'seulement' 225.000 nouveaux emplois.
Alors que le taux de chômage et le taux de participation au marché du travail sont restés stables à respectivement 5,8% de la population active et 62,8%, le déficit commercial a quant à lui légèrement diminué entre septembre et octobre, passant de 43,6 (chiffre révisé de 43 milliards de dollars) à 43,4 milliards de dollars. Le consensus était cependant plus optimiste, misant sur un recul plus marqué autour de 42 milliards de dollars.
Dernière donnée du jour aux Etats-Unis, également décevante, mais insuffisante pour contrarier la marche en avant des marchés occidentaux : les commandes à l'industrie se sont repliées de 0,7% en octobre après, déjà, une diminution de 0,5% le mois précédent (chiffre révisé de -0,6%) et contre +0,2% attendu.
Concernant les indicateurs européens du jour, la hausse de 2,5% en séquentiel des commandes à l'industrie allemande en octobre constitue un catalyseur d'autant plus solide que le consensus anticipait une augmentation nettement plus modeste de l'ordre de 0,5%.
S'agissant des valeurs, Pierre & Vacances (+3,6%) continue de s'illustrer, toujours porté par l'annonce d'un partenariat avec un groupe chinois qui lui ouvre de nouveaux horizons.
Club Méditerranée, dont la cotation était suspendue entre 12h19 et 15h20, prend en fin de séance 2,2% alors qu'Andrea Bonomi a surenchéri, proposant désormais 24 euros par titre.
Les bancaires sont en tête des hausses avec des gains de 4,1% sur BNP Paribas, +3,3% sur Société Générale et +3% sur Crédit Agricole.
Enfin, Saint-Gobain (+3,8%) profite d'une note sectorielle favorable de Morgan Stanley. L'analyste reste à 'pondérer en ligne' sur Saint-Gobain, mais a revu à la hausse son objectif de 36,5 à 37,5 euros.
Crédit Suisse a renouvelé son opinion 'surperformance' sur Total avec un objectif de cours ramené de 52,5 à 49,5 euros. Dans une note sectorielle, le courtier explique avoir revu à la baisse ses prévisions sur le baril de brut après la décision de l'OPEP de maintenir ses quotas de production.
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