Marché: la Grèce plombe toujours le moral.
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1 euro = 1 drachme (nouveau), c'est simple.
la dette en euro se remboursera en drachme (nominal de la dette établi dans la nouvelle monnaie le jour du changement de celle-ci)
C'est ce que ne veulent pas les Européens avec leur armada de banquiers.
Donc, soit ils acceptent la demande actuelle des Grecs, soit ils se résoudront à soutenir la nouvelle monnaie.
Les Grecs en sortiront vainqueurs.
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C'est sans compter que la sortie serait plus difficile à réaliser que l'entrée.
Premier point : aucune préparation ? qui frappera la nouvelle unité de compte et dans quel délai? sur quelle parité ? que fait-t-on des euros grecques en circulation ? Quid de toutes les opérations en cours, notamment le tourisme qui renfloue les caisses?
Un peu de sérieux donc, la sortie c'est du flan, ... et d'ailleurs Flamby s'y connait en matière de flan, il fait assez souvent... tout un flan...
Comme la remonté orchestré pour les fonds obligataires, les choses sont déjà prévues... Mais on laisse mariner le jus pour gagner du temps. Il se peut même que ces positions aient été orchestrés en échange de l'histoire des fonds obligataires....
Premier point : aucune préparation ? qui frappera la nouvelle unité de compte et dans quel délai? sur quelle parité ? que fait-t-on des euros grecques en circulation ? Quid de toutes les opérations en cours, notamment le tourisme qui renfloue les caisses?
Un peu de sérieux donc, la sortie c'est du flan, ... et d'ailleurs Flamby s'y connait en matière de flan, il fait assez souvent... tout un flan...
Comme la remonté orchestré pour les fonds obligataires, les choses sont déjà prévues... Mais on laisse mariner le jus pour gagner du temps. Il se peut même que ces positions aient été orchestrés en échange de l'histoire des fonds obligataires....
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Les Grecs s'en sortiront avec l'appui des Russes !
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mais qui va prendre le risque de sa sortie ?
on nous promet le chaos dans ce cas
tiens, on nous avait même prédit qu'avec l'euro on serait protégé sans nous dire de quoi !
alors , qui va vouloir prendre la responsabilité de casser le jouet ?
va falloir que TOUS aient conscience que cela est nécessaire, bref personne dans les opinions publiques.
alors on va ajouter un allonge de plus autour de la table , vous verrez
on nous promet le chaos dans ce cas
tiens, on nous avait même prédit qu'avec l'euro on serait protégé sans nous dire de quoi !
alors , qui va vouloir prendre la responsabilité de casser le jouet ?
va falloir que TOUS aient conscience que cela est nécessaire, bref personne dans les opinions publiques.
alors on va ajouter un allonge de plus autour de la table , vous verrez
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Mais c' est la faute à la zone euro , pas les grecs , ils ont payé le prix fort avec l' austérité , mais qui a fait donc entré les grecs dans la zone euro en maquillant leurs chiffres économiques ?
Les ricains avec goldmann sachs et comme Draghi est issue de GS adressez vous à lui , le fabricant de fausse monnaie !
Les ricains avec goldmann sachs et comme Draghi est issue de GS adressez vous à lui , le fabricant de fausse monnaie !
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mais noooon, la Grèce ne sortira pas l'euro...
ça fait partie du même package de "Pipo" anti-montée du dollar...
Et pendant que l'on parle de çà, on s'occupe pas du pétrole, du dollar et des us...
ça fait partie du même package de "Pipo" anti-montée du dollar...
Et pendant que l'on parle de çà, on s'occupe pas du pétrole, du dollar et des us...
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@ pépécolo,
Les empêcheurs de tourner en rond ne sont pas les Grecs mais les dirigeants de l'UE, de la BCE et du FMI.
A propos du FMI, les Grecs pourraient adopter pour devise "Lagarde meurt mais ne se rend pas" !
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Grèce: le délai pour un accord avec les créanciers expire "le 30 juin"
la grece sortira de l euro pendant les vacances moins de bruit
la grece sortira de l euro pendant les vacances moins de bruit
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Ah, non...
Y z'ont des pleins de tailleurs de costumes sur mesure.
L'incertitude grecque empêche l'euro de descendre et donc le dollar de monter, cherchez donc à qui ça pourrait profiter.
Sachant que la fed ne veut pas d'un $ haut qui plombe les exportations US, donc la croissance et les emplois...
Y z'ont des pleins de tailleurs de costumes sur mesure.
L'incertitude grecque empêche l'euro de descendre et donc le dollar de monter, cherchez donc à qui ça pourrait profiter.
Sachant que la fed ne veut pas d'un $ haut qui plombe les exportations US, donc la croissance et les emplois...
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Font chier ces cons de Grecs !!
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(CercleFinance.com) - En attendant une nouvelle estimation de la croissance américaine en début d'après-midi, la Bourse de Paris continue de dévisser sous le poids des incertitudes qui entourent les négociations entre la Grèce et ses créanciers.
Vers 10h40, le CAC40 abandonne 0,9% à 5091 points et sous-performe le FTSE de Londres (-0,3%), mais plus le DAX de Francfort (-1,2%). La veille à New York, le Dow Jones et le Nasdaq ont reculé d'environ 0,2%, tandis que le S&P500 a cédé plus de 0,1%.
'Alors que les responsables grecs suggèrent qu'un accord sera conclu dans les prochains jours, la présidente du FMI Christine Lagarde a jugé cette hypothèse très improbable et a considéré une sortie de la Grèce de la zone euro comme possible', note Stan Shamu, chez IG.
'On peut s'attendre à ce que de nombreux gros titres à propos de ce dossier amènent à de la volatilité au cours des prochaines semaines, alors que 1,6 milliard d'euros doit être remboursé sous forme de quatre tranches', poursuit le stratège de marchés.
'Les marchés détestent l'incertitude et risquent de laisser passer les premières échéances de remboursement de la Grèce avant de reprendre une tendance plus positive sur le moyen terme qui se situe autour des 5400 / 5500 points', estiment les chartistes de Barclays Bourse.
En attendant, la séance sera dominée par une nouvelle estimation de la croissance américaine au premier trimestre, pour laquelle les économistes anticipent en moyenne une révision à près de -1% en rythme annualisé, contre +0,2% en estimation initiale.
Toujours du côté des statistiques américaines, seront ensuite dévoilés l'indice PMI pour la région de Chicago, puis l'indice de confiance des consommateurs de l'Université du Michigan au titre du mois de mai.
Concernant la France pour le mois d'avril, les opérateurs ont pris connaissance d'une hausse de 0,1% des dépenses de consommation des ménages et d'une contraction de 0,4% des prix à la production industrielle.
Sur le CAC40, Vivendi (-0,3%) figure parmi les quelques valeurs à rester proches de l'équilibre, à la suite de la finalisation de la cession de GVT, sa filiale brésilienne de télécommunications, pour une valeur d'entreprise de 7,5 milliards d'euros.
A l'opposé, Capgemini recule de 1,7% : le titre essuie une correction d'autant plus forte qu'il avait bien résisté la veille (+0,2%) grâce à une réunion investisseurs tenue par le géant informatique à La Défense.
Dans le haut du SBF120, Elior prend 1,1%, le groupe de restauration collective s'étant déclaré confiant dans sa capacité à atteindre ses objectifs annuels à l'occasion de la présentation de ses résultats du premier semestre.
Copyright © 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Vers 10h40, le CAC40 abandonne 0,9% à 5091 points et sous-performe le FTSE de Londres (-0,3%), mais plus le DAX de Francfort (-1,2%). La veille à New York, le Dow Jones et le Nasdaq ont reculé d'environ 0,2%, tandis que le S&P500 a cédé plus de 0,1%.
'Alors que les responsables grecs suggèrent qu'un accord sera conclu dans les prochains jours, la présidente du FMI Christine Lagarde a jugé cette hypothèse très improbable et a considéré une sortie de la Grèce de la zone euro comme possible', note Stan Shamu, chez IG.
'On peut s'attendre à ce que de nombreux gros titres à propos de ce dossier amènent à de la volatilité au cours des prochaines semaines, alors que 1,6 milliard d'euros doit être remboursé sous forme de quatre tranches', poursuit le stratège de marchés.
'Les marchés détestent l'incertitude et risquent de laisser passer les premières échéances de remboursement de la Grèce avant de reprendre une tendance plus positive sur le moyen terme qui se situe autour des 5400 / 5500 points', estiment les chartistes de Barclays Bourse.
En attendant, la séance sera dominée par une nouvelle estimation de la croissance américaine au premier trimestre, pour laquelle les économistes anticipent en moyenne une révision à près de -1% en rythme annualisé, contre +0,2% en estimation initiale.
Toujours du côté des statistiques américaines, seront ensuite dévoilés l'indice PMI pour la région de Chicago, puis l'indice de confiance des consommateurs de l'Université du Michigan au titre du mois de mai.
Concernant la France pour le mois d'avril, les opérateurs ont pris connaissance d'une hausse de 0,1% des dépenses de consommation des ménages et d'une contraction de 0,4% des prix à la production industrielle.
Sur le CAC40, Vivendi (-0,3%) figure parmi les quelques valeurs à rester proches de l'équilibre, à la suite de la finalisation de la cession de GVT, sa filiale brésilienne de télécommunications, pour une valeur d'entreprise de 7,5 milliards d'euros.
A l'opposé, Capgemini recule de 1,7% : le titre essuie une correction d'autant plus forte qu'il avait bien résisté la veille (+0,2%) grâce à une réunion investisseurs tenue par le géant informatique à La Défense.
Dans le haut du SBF120, Elior prend 1,1%, le groupe de restauration collective s'étant déclaré confiant dans sa capacité à atteindre ses objectifs annuels à l'occasion de la présentation de ses résultats du premier semestre.
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