Marché: vent de panique en provenance d'Asie.
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Syndrome de la crise asiatique de 1997 qui ré apparait !
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La Fed ne relèvera jamais ses taux , elle a commis une lourde erreur de communication , en disant qu' elle le ferait , maintenant elle ne pourra pas le faire , les marchés interprèteront ceci comme la démonstration que la situation économique est plus que mauvaise , la FED s' est proprement fait piéger , elle n' a plus aucun outil pour sauver la face si ce n' est faire un QE4 ce qui signifierait une fois de plus que rien ne marche donc un QE4 enverrait les marchés au tapis , agir sur les taux impossible ils sont à 0.
Les banques centrales ont eu la même politique conduisant à ce que nous connaissons maintenant , sans compter la dette qui a explosé pour tous les pays Chine en tête
Les banques centrales ont eu la même politique conduisant à ce que nous connaissons maintenant , sans compter la dette qui a explosé pour tous les pays Chine en tête
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Vent de panique, oui, mais en provenance de Chine ou plus exactement de la Russie, pays au bord du défaut de paiement ?
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les bourses ont baissé surtout parce que c'était la volonté de la présidente de la FED En menaçant de relever les taux d'intéret US en Septembre ,elle a déclenché les prises de bénéfices et les ordinateurs des traders ont créé la panique Le ralentissement chinois et la baisse de la devise chinoise qui a suivi ne sont pas la cause vèritable
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(CercleFinance.com) - La chute brutale des Bourses asiatiques ce matin, reflétant l'angoisse grandissante à propos du ralentissement de la croissance chinoise, sème un vent de panique sur les marchés actions européens.
Lisbonne abandonne 3,6%, Amsterdam 3,2%, Bruxelles 3%, Londres, Francfort et Milan 2,8%, Madrid 2,7%, Paris et Zurich 2,5%. A New York vendredi, le Dow Jones et le Nasdaq ont dégringolé de 3,1% et de 3,5% respectivement.
'La baisse des marchés actions s'accentue pour le moment, ils restent inquiets quant à l'ampleur du ralentissement du rythme de croissance dans les pays émergents', résume un gérant de Barclays Bourse.
En Asie, la séance a tourné au cauchemar ce lundi : si Tokyo a réussi à 'limiter' son repli à 4,6%, la Bourse de Shanghai - qui concentre toute l'attention des investisseurs actuellement - a fini sur un recul de 8,5%.
'C'est un moment clé pour la Chine', commente Angus Nicholson, analyste chez IG. 'Ses marchés d'actions sont en chute libre, son système bancaire manque de plus en plus de liquidités, les sorties de capitaux se multiplient et l'activité économique ralentit fortement'.
'La correction des marchés domine largement l'actualité et va certainement provoquer des nuits blanches au sein des banques centrales', estime Nour Al-Hammoury, stratège de marchés en chef chez ADS Securities.
'Nous devrions nous attendre à des interventions de leur part dans les tous prochains jours pour essayer de calmer les marchés, mais elles ne pourront réussir que si leurs actions sont coordonnées', prévient ce professionnel basé à Abu Dhabi.
Aucune donnée économique n'est attendue ce lundi en Europe ou aux Etats-Unis, et si elles s'annoncent nombreuses dans les prochains jours, 'elles ne répondront pas directement aux préoccupations directes des investisseurs', selon Aurel BGC.
Du côté des valeurs, celles spécialisées dans les matières premières figurent parmi les plus lourdement impactées par les craintes autour de la situation en Chine, comme BHP Billiton (-6%), Glencore (-5,3%) ou Rio Tinto (-4,3%) à Londres.
Bunzl perd 3,5% et sous-performe aussi le FTSE, après les semestriels du distributeur d'emballages, de produits et de matériels d'hygiène et de sécurité, publication accompagnée d'une série d'acquisitions en Autriche, aux Etats-Unis et en Australie.
A Paris, LafargeHolcim parvient à limiter la casse (-1%), aidé par Credit Suisse qui a initié la couverture du titre du cimentier avec une opinion 'surperformance' et un objectif de cours de 80 francs suisses (74,4 euros).
Copyright © 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Lisbonne abandonne 3,6%, Amsterdam 3,2%, Bruxelles 3%, Londres, Francfort et Milan 2,8%, Madrid 2,7%, Paris et Zurich 2,5%. A New York vendredi, le Dow Jones et le Nasdaq ont dégringolé de 3,1% et de 3,5% respectivement.
'La baisse des marchés actions s'accentue pour le moment, ils restent inquiets quant à l'ampleur du ralentissement du rythme de croissance dans les pays émergents', résume un gérant de Barclays Bourse.
En Asie, la séance a tourné au cauchemar ce lundi : si Tokyo a réussi à 'limiter' son repli à 4,6%, la Bourse de Shanghai - qui concentre toute l'attention des investisseurs actuellement - a fini sur un recul de 8,5%.
'C'est un moment clé pour la Chine', commente Angus Nicholson, analyste chez IG. 'Ses marchés d'actions sont en chute libre, son système bancaire manque de plus en plus de liquidités, les sorties de capitaux se multiplient et l'activité économique ralentit fortement'.
'La correction des marchés domine largement l'actualité et va certainement provoquer des nuits blanches au sein des banques centrales', estime Nour Al-Hammoury, stratège de marchés en chef chez ADS Securities.
'Nous devrions nous attendre à des interventions de leur part dans les tous prochains jours pour essayer de calmer les marchés, mais elles ne pourront réussir que si leurs actions sont coordonnées', prévient ce professionnel basé à Abu Dhabi.
Aucune donnée économique n'est attendue ce lundi en Europe ou aux Etats-Unis, et si elles s'annoncent nombreuses dans les prochains jours, 'elles ne répondront pas directement aux préoccupations directes des investisseurs', selon Aurel BGC.
Du côté des valeurs, celles spécialisées dans les matières premières figurent parmi les plus lourdement impactées par les craintes autour de la situation en Chine, comme BHP Billiton (-6%), Glencore (-5,3%) ou Rio Tinto (-4,3%) à Londres.
Bunzl perd 3,5% et sous-performe aussi le FTSE, après les semestriels du distributeur d'emballages, de produits et de matériels d'hygiène et de sécurité, publication accompagnée d'une série d'acquisitions en Autriche, aux Etats-Unis et en Australie.
A Paris, LafargeHolcim parvient à limiter la casse (-1%), aidé par Credit Suisse qui a initié la couverture du titre du cimentier avec une opinion 'surperformance' et un objectif de cours de 80 francs suisses (74,4 euros).
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