CAC40: vague de liquidation d'une ampleur historique à Paris
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1 éré vague de liquidation le 18 septembre 2015
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Ceux qui ont vendu vendredi savaient trés bien ce qu' ils faisaient , ce qui se passerait ce mardi , alors vous ne voyez pas qu' on vous mène en bâteau plutôt dans le Titanic qui coule , ses cloisons étanches cèdent les unes après les autres malgré les pompes de la fausse monnaie du sieur Draghi !
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Si la bourse montait ou descendait sur le résultat des entreprises, ça se saurait ...
La bourse est avant toute chose une affaire de spéculation. L'investissement boursier est effectué, non pas en fonction du passé, voire du présent, mais surtout et avant toute chose, en fonction de l'avenir.
Spéculer, gêne 1er de la bourse, vient du latin speculare, c-a-d voir au loin.
Qu'il y-a-t-il en face de nous pour les 12 mois qui viennent ?
Une croissance mondiale qui se réduit comme une peau de chagrin, des prix de matières premières qui chute, un commerce mondial, qui, ipso facto suit le mouvement, une Chine, qui a le plus grand mal du monde a freiné son ralentissement, voire un début de glissade, une guerre des monnaies qui a déjà commencé et qui va aller en s'accentuant rendant encore beaucoup moins aisé pour les Etats le remboursement de leurs dettes.
Le résultat c'est que les prix mondiaux, car tout est mondialisé maintenant, vont aller en diminuant, la désinflation règne, en atteste les chiffres, notamment européens. Cette pression des prix à la baisse va contraindre les entreprises, pour conserver leurs marges et leurs parts de marché, à resserrer encore leurs coûts en remplaçant le capital humain par plus de robotique et d'automatisation. Elles sont, pour se faire, servies en ce sens sur un plateau par les progrès fulgurants de la robotique, domotique, nano technologies, drones, ordinateurs de plus en plus intelligents remplaçant l'homme dans sa phase de conception des projets.
En face il va en résulter un chômage de plus en plus grand et une montée inéxorable de mouvements contestataires populaires et populistes, en atteste la montée de tsipras, podemos et même au royaume de sa majesté la reine d'Angleterre, c'est un socialiste plus proche de Mélenchon que de Tony blair qui a pris le pouvoir sur la gauche anglaise. Au Canada idem. Attendons les résultats des régionales d'Octobre en France.
Pour l'instant les financiers mondiaux tiennent. pour combien de temps encore ?
Et avec ce tableau qui n'est pas apocalyptique, qui n'est d'autre que la réalité d'aujourd'hui et de demain, vous croyez que les investisseurs achètent et vont acheter le marché pour, au-moins les 6 à 12 mois qui viennent ?
Et bien, à l'instar de la célèbre maxime, messieurs les bulls tirez les premiers !
La bourse est avant toute chose une affaire de spéculation. L'investissement boursier est effectué, non pas en fonction du passé, voire du présent, mais surtout et avant toute chose, en fonction de l'avenir.
Spéculer, gêne 1er de la bourse, vient du latin speculare, c-a-d voir au loin.
Qu'il y-a-t-il en face de nous pour les 12 mois qui viennent ?
Une croissance mondiale qui se réduit comme une peau de chagrin, des prix de matières premières qui chute, un commerce mondial, qui, ipso facto suit le mouvement, une Chine, qui a le plus grand mal du monde a freiné son ralentissement, voire un début de glissade, une guerre des monnaies qui a déjà commencé et qui va aller en s'accentuant rendant encore beaucoup moins aisé pour les Etats le remboursement de leurs dettes.
Le résultat c'est que les prix mondiaux, car tout est mondialisé maintenant, vont aller en diminuant, la désinflation règne, en atteste les chiffres, notamment européens. Cette pression des prix à la baisse va contraindre les entreprises, pour conserver leurs marges et leurs parts de marché, à resserrer encore leurs coûts en remplaçant le capital humain par plus de robotique et d'automatisation. Elles sont, pour se faire, servies en ce sens sur un plateau par les progrès fulgurants de la robotique, domotique, nano technologies, drones, ordinateurs de plus en plus intelligents remplaçant l'homme dans sa phase de conception des projets.
En face il va en résulter un chômage de plus en plus grand et une montée inéxorable de mouvements contestataires populaires et populistes, en atteste la montée de tsipras, podemos et même au royaume de sa majesté la reine d'Angleterre, c'est un socialiste plus proche de Mélenchon que de Tony blair qui a pris le pouvoir sur la gauche anglaise. Au Canada idem. Attendons les résultats des régionales d'Octobre en France.
Pour l'instant les financiers mondiaux tiennent. pour combien de temps encore ?
Et avec ce tableau qui n'est pas apocalyptique, qui n'est d'autre que la réalité d'aujourd'hui et de demain, vous croyez que les investisseurs achètent et vont acheter le marché pour, au-moins les 6 à 12 mois qui viennent ?
Et bien, à l'instar de la célèbre maxime, messieurs les bulls tirez les premiers !
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Augustus
20/09/2015 06:39:30
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Salut cri74 rêver c'est bien mais un de ces 4 il faudra que tu redescende sur terre mon grand 
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Et pendant ce temps là , les entreprises travaillent , publient de bons résultats , mais surtout ne voient nullement un paysage aussi sombre que décrit par les petits et grands joueurs des marchés financiers , encore moins en cohérence avec des commentaires peu avisés de pseudos analystes plus empreint de suivisme ou d'apologie du catastrophisme .
Des lubies à la réalités , la distance se chiffre en années lumières , des peurs à la raison également .
Des lubies à la réalités , la distance se chiffre en années lumières , des peurs à la raison également .
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Il peut rester à l'eau avec 5 compartiments inondés, mais pas avec 6...
Il n'y a rien à faire, Capitaine: le Titanic va couler!
En attendant, continuons de pomper de l'eau...
Il n'y a rien à faire, Capitaine: le Titanic va couler!
En attendant, continuons de pomper de l'eau...
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Augustus
18/09/2015 21:43:09
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La mouche zeze
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le serpent l'a piqué ou quoi
sacré scribe !
sacré scribe !
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Il fait peur le scribe : vague de liquidation = on ferme la boutique Cac , on se désengage massivement mais alors que font les billets de monopoly du sieur Draghi , je peux vous annoncer que ce mécréant va imprimer encore et encore plus de billets de monopoly et ce, sur une plus longue période, il a pour mission numéro de faire monter le cours des actions et rien d' autre mis à part que toucher sa bonne paie mensuel .
Il n' en a rien foutre de constater que sa planche à billets ne conduit à rien , il n' a plus que ce seul cataplasme pour empêcher le naufrage , donc ce gugus pompe les cales d' un navire qui prend l'eau
Il n' en a rien foutre de constater que sa planche à billets ne conduit à rien , il n' a plus que ce seul cataplasme pour empêcher le naufrage , donc ce gugus pompe les cales d' un navire qui prend l'eau
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(CercleFinance.com) - Paris (-2,56%) parvient à limiter un peu la casse en clôture avec une perte réduite de 4.495 à 4.536... mais ô combien fut pénible cette journée des '4 sorcières' qui constitue l'épilogue presque 'naturel' d'un 3ème trimestre exécrable.
Une chute supérieure à -3%, cela semblait disproportionné alors que Wall Street abandonnait -0,8% en moyenne après 2 heures de cotations (contre -1,25% ce soir où les pertes se creusent un peu).
Le CAC40 a effectué plusieurs incursions en milieu d'après-midi sous les 4.500Pts (il affiche une perte hebdomadaire voisine de -0,4%) mais ce que la plupart des observateurs retiendront, ce sont les 9,4MdsE de volume d'échanges, du jamais vu depuis le 19 septembre 2008... et pour comparer ce qui est comparable, depuis fin janvier 2008 (et les séances de grand stress consécutives à l'affaire Kerviel).
Les précédentes séances avaient été peu actives (3MdsE en moyenne) mais cela masquait de lourdes positions vendeuses sur les marchés dérivés... et le débouclage s'est effectué ce vendredi (le 4ème trimestre débute lundi prochain).
Pour l'Euro-Stoxx50 qui chute de -3%, le bilan hebdomadaire est voisin de -1% et il de très exactement -9,7% depuis le 18 août dernier et de -8,5% depuis fin juin (contre -5,6% pour le CAC40).
Le 'T3' fut boursièrement calamiteux, avec des pertes s'étageant entre -9% pour le Dow Jones, -10,5% pour Londres, -11% pour le DAX30 et jusqu'à -12% pour le Nikkei.
Hors catégorie, Shanghai affiche -36%... et c'est précisément cette déconfiture de la bourse chinoise, causée par la prise de conscience que la croissance des 7% revendiquée par Pékin est loin de la réalité (un score de +5% apparaît désormais optimiste) qui constitue l'un des principaux arguments avancés par la FED pour justifier le report de la 'normalisation des taux'.
L'absence d'inflation et la stagnation des salaires aux Etats Unis constituent des arguments supplémentaires, mais peut-être pas décisifs.
Précisons que la décision de maintenir les taux a été prise à la quasi-unanimité, seul le 'faucon' Jeffrey Lacker ayant manifesté son souhait de voir le loyer de l'argent resserré immédiatement.
Janet Yellen a cependant prévenu qu'une hausse devrait intervenir d'ici la fin de l'année.
La Réserve fédérale n'a pas pleinement rassuré en révisant à la hausse de +1,7 à +1,9% son objectif de croissance pour 2015 car elle a en effet 'abaissé ses prévisions macroéconomiques pour 2016 en matière de croissance économique et d'inflation', comme le relève Sylvain Loganadin, analyste de marché DailyFX France pour FXCM.
Et les analystes de XTB France d'abonder : 'Janet Yellen s'est montrée particulièrement prudente, pour ne pas dire pessimiste, en ce qui concerne l'impact du contexte mondial sur l'économie américain. Accentuant plutôt un biais baissier sur le dollar et les indices occidentaux, malgré le maintien des taux.'
'C'est peut-être la première fois que l'histoire des Etats-Unis est directement influencée par Pékin', estime pour sa part Nour Al-Hammoury, le stratège en chef d'ADS Securities à Abou Dhabi.
Pour justifier plus de 3% des indices européens, il faut plus que des raisonnements intellectuels et des supputations: il y a aussi des faits concrets, comme le net renforcement de l'euro au détriment du dollar qui rechute sous 1,1450E.
39 composantes sur 40 du CAC évoluent dans le rouge: seul Unibail grappille +0,35%.
Des pertes voisines de -5% ont été observées sur les valeurs financières et les cycliques (il est rare de voir BNP-Paribas ou AXA dévisser de -5% en séance et de -4,75% en clôture (Sté Générale perd 4,15%).
Sur le SBF 120, Ingenico s'envole en revanche de 7,35% alors que le groupe britannique Worldpay a publié un communiqué annonçant son intention de s'introduire à la Bourse de Londres, un projet qui écarte a priori le scénario d'un rachat par le groupe français.
Faurecia chute de -4,2%, le titre étant dégradé aujourd'hui par HSBC alors que la veille, c'était par Nomura.
Copyright © 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Une chute supérieure à -3%, cela semblait disproportionné alors que Wall Street abandonnait -0,8% en moyenne après 2 heures de cotations (contre -1,25% ce soir où les pertes se creusent un peu).
Le CAC40 a effectué plusieurs incursions en milieu d'après-midi sous les 4.500Pts (il affiche une perte hebdomadaire voisine de -0,4%) mais ce que la plupart des observateurs retiendront, ce sont les 9,4MdsE de volume d'échanges, du jamais vu depuis le 19 septembre 2008... et pour comparer ce qui est comparable, depuis fin janvier 2008 (et les séances de grand stress consécutives à l'affaire Kerviel).
Les précédentes séances avaient été peu actives (3MdsE en moyenne) mais cela masquait de lourdes positions vendeuses sur les marchés dérivés... et le débouclage s'est effectué ce vendredi (le 4ème trimestre débute lundi prochain).
Pour l'Euro-Stoxx50 qui chute de -3%, le bilan hebdomadaire est voisin de -1% et il de très exactement -9,7% depuis le 18 août dernier et de -8,5% depuis fin juin (contre -5,6% pour le CAC40).
Le 'T3' fut boursièrement calamiteux, avec des pertes s'étageant entre -9% pour le Dow Jones, -10,5% pour Londres, -11% pour le DAX30 et jusqu'à -12% pour le Nikkei.
Hors catégorie, Shanghai affiche -36%... et c'est précisément cette déconfiture de la bourse chinoise, causée par la prise de conscience que la croissance des 7% revendiquée par Pékin est loin de la réalité (un score de +5% apparaît désormais optimiste) qui constitue l'un des principaux arguments avancés par la FED pour justifier le report de la 'normalisation des taux'.
L'absence d'inflation et la stagnation des salaires aux Etats Unis constituent des arguments supplémentaires, mais peut-être pas décisifs.
Précisons que la décision de maintenir les taux a été prise à la quasi-unanimité, seul le 'faucon' Jeffrey Lacker ayant manifesté son souhait de voir le loyer de l'argent resserré immédiatement.
Janet Yellen a cependant prévenu qu'une hausse devrait intervenir d'ici la fin de l'année.
La Réserve fédérale n'a pas pleinement rassuré en révisant à la hausse de +1,7 à +1,9% son objectif de croissance pour 2015 car elle a en effet 'abaissé ses prévisions macroéconomiques pour 2016 en matière de croissance économique et d'inflation', comme le relève Sylvain Loganadin, analyste de marché DailyFX France pour FXCM.
Et les analystes de XTB France d'abonder : 'Janet Yellen s'est montrée particulièrement prudente, pour ne pas dire pessimiste, en ce qui concerne l'impact du contexte mondial sur l'économie américain. Accentuant plutôt un biais baissier sur le dollar et les indices occidentaux, malgré le maintien des taux.'
'C'est peut-être la première fois que l'histoire des Etats-Unis est directement influencée par Pékin', estime pour sa part Nour Al-Hammoury, le stratège en chef d'ADS Securities à Abou Dhabi.
Pour justifier plus de 3% des indices européens, il faut plus que des raisonnements intellectuels et des supputations: il y a aussi des faits concrets, comme le net renforcement de l'euro au détriment du dollar qui rechute sous 1,1450E.
39 composantes sur 40 du CAC évoluent dans le rouge: seul Unibail grappille +0,35%.
Des pertes voisines de -5% ont été observées sur les valeurs financières et les cycliques (il est rare de voir BNP-Paribas ou AXA dévisser de -5% en séance et de -4,75% en clôture (Sté Générale perd 4,15%).
Sur le SBF 120, Ingenico s'envole en revanche de 7,35% alors que le groupe britannique Worldpay a publié un communiqué annonçant son intention de s'introduire à la Bourse de Londres, un projet qui écarte a priori le scénario d'un rachat par le groupe français.
Faurecia chute de -4,2%, le titre étant dégradé aujourd'hui par HSBC alors que la veille, c'était par Nomura.
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