Global Bioenergies
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Ci-joint un graphe tout fait indûment copié ailleurs :
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Bonjour Waine,
Au-dessus de 10, ça fait déja 30% de déconvenue en moins....😉
En ces jours de déconvenue, la prudence s'impose.
Au-dessus de 10, ça fait déja 30% de déconvenue en moins....😉
En ces jours de déconvenue, la prudence s'impose.
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Un coup à faire au dessus de 13.77 ...?...
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Global Bioenergies : réorganise son programme de financement avec Bracknor Investment
Global Bioenergies annonce, sous réserve d'approbation par les actionnaires, la signature d'un nouveau contrat d'émission avec Bracknor Investment en remplacement du 1er contrat signé en septembre 2016, lequel serait alors résilié. Ce nouveau contrat consisterait en l'émission de 400 obligations convertibles en actions d'une valeur nominale de 60.000 euros chacune (OCA), se décomposant en 20 tranches de 20 OCA de 1,2 million d'euros chacune, qui seront assorties de bons de souscription d'actions (BSA) pour un montant nominal total d'emprunt obligataire de 24 ME.
La société précise qu'elle suspendra ce nouveau contrat après le tirage des 2 premières tranches.
Cette opération permettra de sécuriser le financement de la Société jusqu'à fin 2018. Lors de cette période, les principaux objectifs seront :
- de s'approcher des performances commerciales du procédé Isobutène et en finaliser l'industrialisation dans le démonstrateur de Leuna ;
- de progresser sur le projet de première usine commerciale en poursuivant les travaux d'ingénierie et en organisant le financement et la construction de cette future unité ;
- d'Identifier des projets d'usines supplémentaires basés sur le procédé et les matières premières de première génération ;
- d'étendre les ressources carbonées utilisables dans le procédé aux matières premières de 2e génération (déchets végétaux) et de 3e génération (effluents industriels gazeux et CO 2).
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BEURK
Global Bioenergies annonce, sous réserve d'approbation par les actionnaires, la signature d'un nouveau contrat d'émission avec Bracknor Investment en remplacement du 1er contrat signé en septembre 2016, lequel serait alors résilié. Ce nouveau contrat consisterait en l'émission de 400 obligations convertibles en actions d'une valeur nominale de 60.000 euros chacune (OCA), se décomposant en 20 tranches de 20 OCA de 1,2 million d'euros chacune, qui seront assorties de bons de souscription d'actions (BSA) pour un montant nominal total d'emprunt obligataire de 24 ME.
La société précise qu'elle suspendra ce nouveau contrat après le tirage des 2 premières tranches.
Cette opération permettra de sécuriser le financement de la Société jusqu'à fin 2018. Lors de cette période, les principaux objectifs seront :
- de s'approcher des performances commerciales du procédé Isobutène et en finaliser l'industrialisation dans le démonstrateur de Leuna ;
- de progresser sur le projet de première usine commerciale en poursuivant les travaux d'ingénierie et en organisant le financement et la construction de cette future unité ;
- d'Identifier des projets d'usines supplémentaires basés sur le procédé et les matières premières de première génération ;
- d'étendre les ressources carbonées utilisables dans le procédé aux matières premières de 2e génération (déchets végétaux) et de 3e génération (effluents industriels gazeux et CO 2).
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BEURK
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Publié le 19/05/2017 à 09:00 - Mis à jour le 19/05/2017 à 09:07
La start-up multiplie les projets avec des industriels de taille et continue à respecter ses engagements. Une performance qui pousse à l’optimisme malgré la faiblesse du prix de l’or noir.
Le petit groupe de chimie verte, qui cherche à produire de l’essence renouvelable, a inauguré, le 11 mai dernier, son unité de démonstration en Allemagne (petite usine d’une capacité de 100 tonnes par an).
L’occasion pour les dirigeants de faire le point sur les avancements de la société, devant plusieurs analystes financiers, investisseurs, journalistes et partenaires.
Profitant de cette mise en avant, le titre Global Bioenergies s’est redressé de 8% en quatre jours.
Global Bioenergies intéresse de plus en plus d’industriels
Dans le secteur malmené de la chimie verte, le groupe tire son épingle du jeu. Il est un des rares à avoir, jusqu’à aujourd’hui, tenu l’ensemble de ses engagements. Fort de son démonstrateur allemand, il met aujourd’hui le cap sur la construction d’une première usine. Allié au géant du sucre Cristal Union, Global Bioenergies veut lancer les travaux en 2018.
Avant cela, la start-up doit améliorer le rendement de sa technologie à l’échelle du démonstrateur et les deux partenaires doivent trouver des sources de financements ainsi que de futurs clients prêts à souscrire des engagements d’achats de la production à venir.
Audi impressionné
Le chemin à parcourir est encore long. Mais la capacité de l’entreprise dirigée par Marc Delcourt à fédérer autour d’elle des industriels de renom rassure.
Hermann Pengg, responsable de l’essence renouvelable chez Audi, ne cache pas son enthousiasme devant la technologie du français : «Global Bioenergies a su montrer sa capacité à produire du fuel dont l’emprunte carbone est au moins 60% inférieure aux essences classiques». Global Bioenergies a récemment reconduit son partenariat avec le constructeur allemand.
Le 9 mai dernier, la biotech verte a par ailleurs annoncé son implication dans un projet, soutenu par un financement européen, visant à transformer la paille de blé en isobutène (sa molécule phare permettant de fabriquer de l’essence ou différents dérivés habituellement issus du pétrole). Deux géants de la chimie, Clariant et Ineos, et deux ingénieristes, TechnipFMC et IPSB, sont partenaires du petit groupe français dans cette aventure.
Sensibilité élevée au prix du pétrole
Les marques d’intérêts de nombreux industriels, venus de divers horizons, pousse à l’optimisme, malgré un prix du pétrole bon marché, qui ne fait pas les affaires de Global Bioenergies.
Le PDG, Marc Delcourt, a en outre rappelé que pour un Brent à 50 dollars son isobutène est compétitif sur le marché subventionné des biocarburants. En France, les distributeurs d’essence doivent incorporer 7,5% de biocarburants ou payer une taxe pour chaque litre de fuel qui aurait du être du biocarburant et qui n’en est pas.
En moyenne, ce taux est aujourd’hui compris entre 6,5% et 7%. Selon Marc Delcourt, sa société a ici un marché potentiel de 80.000 tonnes par an. La première usine, qui devrait être construite près de Reims ou de Troyes, sur un site Cristal Union, aura une capacité annuelle de 50.000 tonnes.
La start-up multiplie les projets avec des industriels de taille et continue à respecter ses engagements. Une performance qui pousse à l’optimisme malgré la faiblesse du prix de l’or noir.
Le petit groupe de chimie verte, qui cherche à produire de l’essence renouvelable, a inauguré, le 11 mai dernier, son unité de démonstration en Allemagne (petite usine d’une capacité de 100 tonnes par an).
L’occasion pour les dirigeants de faire le point sur les avancements de la société, devant plusieurs analystes financiers, investisseurs, journalistes et partenaires.
Profitant de cette mise en avant, le titre Global Bioenergies s’est redressé de 8% en quatre jours.
Global Bioenergies intéresse de plus en plus d’industriels
Dans le secteur malmené de la chimie verte, le groupe tire son épingle du jeu. Il est un des rares à avoir, jusqu’à aujourd’hui, tenu l’ensemble de ses engagements. Fort de son démonstrateur allemand, il met aujourd’hui le cap sur la construction d’une première usine. Allié au géant du sucre Cristal Union, Global Bioenergies veut lancer les travaux en 2018.
Avant cela, la start-up doit améliorer le rendement de sa technologie à l’échelle du démonstrateur et les deux partenaires doivent trouver des sources de financements ainsi que de futurs clients prêts à souscrire des engagements d’achats de la production à venir.
Audi impressionné
Le chemin à parcourir est encore long. Mais la capacité de l’entreprise dirigée par Marc Delcourt à fédérer autour d’elle des industriels de renom rassure.
Hermann Pengg, responsable de l’essence renouvelable chez Audi, ne cache pas son enthousiasme devant la technologie du français : «Global Bioenergies a su montrer sa capacité à produire du fuel dont l’emprunte carbone est au moins 60% inférieure aux essences classiques». Global Bioenergies a récemment reconduit son partenariat avec le constructeur allemand.
Le 9 mai dernier, la biotech verte a par ailleurs annoncé son implication dans un projet, soutenu par un financement européen, visant à transformer la paille de blé en isobutène (sa molécule phare permettant de fabriquer de l’essence ou différents dérivés habituellement issus du pétrole). Deux géants de la chimie, Clariant et Ineos, et deux ingénieristes, TechnipFMC et IPSB, sont partenaires du petit groupe français dans cette aventure.
Sensibilité élevée au prix du pétrole
Les marques d’intérêts de nombreux industriels, venus de divers horizons, pousse à l’optimisme, malgré un prix du pétrole bon marché, qui ne fait pas les affaires de Global Bioenergies.
Le PDG, Marc Delcourt, a en outre rappelé que pour un Brent à 50 dollars son isobutène est compétitif sur le marché subventionné des biocarburants. En France, les distributeurs d’essence doivent incorporer 7,5% de biocarburants ou payer une taxe pour chaque litre de fuel qui aurait du être du biocarburant et qui n’en est pas.
En moyenne, ce taux est aujourd’hui compris entre 6,5% et 7%. Selon Marc Delcourt, sa société a ici un marché potentiel de 80.000 tonnes par an. La première usine, qui devrait être construite près de Reims ou de Troyes, sur un site Cristal Union, aura une capacité annuelle de 50.000 tonnes.
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Global Bioenergies : cap sur la première usine
Publié le 10/04/2017 à 09:03
La société de chimie verte a tenu ses engagements jusqu'à présent et multiplie les partenariats avec de grands industriels. Prochaine étape : financer puis construire une usine de production d'isobutène.
Global Bioenergies a mis au point une technologie pour produire du bioisobutène, une molécule de base capable de remplacer le pétrole dans de nombreuses applications (carburants, matériaux).
Le procédé de la start-up impressionne techniquement. Mais en ces temps de baril d’or noir bon marché, la question de sa compétitivité se pose, inquiétant les investisseurs et bridant le parcours boursier du titre. Elle n’empêche pas l’entreprise d’aller de l’avant.
Le groupe de Marc Delcourt est un des rares dans le secteur à avoir toujours tenu ses engagements. L’unité de production (démonstrateur) promise pour l’automne a été livrée dans les temps. La société multiplie les contacts et partenariats avec de grands industriels (Audi, Butagaz, Clariant, L’Oréal, Arkema).
Trouver des clients
La prochaine étape du développement de Global Bioenergies passe désormais par le financement de sa première usine, baptisée IBN One, avec son partenaire Cristal Union.
«Nous devons d’abord atteindre les performances commerciales à l’échelle du démonstrateur, mener à bien l’ingénierie détaillée de l’usine avec Technip et IPSB et obtenir des engagements fermes d’achat de notre future production», détaille Marc Delcourt.
Ensuite seulement le groupe organisera un tour de table avec des investisseurs pour boucler le financement d’IBN One. Les étapes sont donc nombreuses avant de voir la première usine tournant avec la technologie de Global Bioenergies. Mais nous avons confiance en la capacité des dirigeants d’arriver à leurs fins. Et la société dispose d’une situation financière assez solide pour voir venir.
Vous pouvez acheter, avec parcimonie, ce titre spéculatif mais enthousiasmant.
Publié le 10/04/2017 à 09:03
La société de chimie verte a tenu ses engagements jusqu'à présent et multiplie les partenariats avec de grands industriels. Prochaine étape : financer puis construire une usine de production d'isobutène.
Global Bioenergies a mis au point une technologie pour produire du bioisobutène, une molécule de base capable de remplacer le pétrole dans de nombreuses applications (carburants, matériaux).
Le procédé de la start-up impressionne techniquement. Mais en ces temps de baril d’or noir bon marché, la question de sa compétitivité se pose, inquiétant les investisseurs et bridant le parcours boursier du titre. Elle n’empêche pas l’entreprise d’aller de l’avant.
Le groupe de Marc Delcourt est un des rares dans le secteur à avoir toujours tenu ses engagements. L’unité de production (démonstrateur) promise pour l’automne a été livrée dans les temps. La société multiplie les contacts et partenariats avec de grands industriels (Audi, Butagaz, Clariant, L’Oréal, Arkema).
Trouver des clients
La prochaine étape du développement de Global Bioenergies passe désormais par le financement de sa première usine, baptisée IBN One, avec son partenaire Cristal Union.
«Nous devons d’abord atteindre les performances commerciales à l’échelle du démonstrateur, mener à bien l’ingénierie détaillée de l’usine avec Technip et IPSB et obtenir des engagements fermes d’achat de notre future production», détaille Marc Delcourt.
Ensuite seulement le groupe organisera un tour de table avec des investisseurs pour boucler le financement d’IBN One. Les étapes sont donc nombreuses avant de voir la première usine tournant avec la technologie de Global Bioenergies. Mais nous avons confiance en la capacité des dirigeants d’arriver à leurs fins. Et la société dispose d’une situation financière assez solide pour voir venir.
Vous pouvez acheter, avec parcimonie, ce titre spéculatif mais enthousiasmant.
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Publié le 23/02/2017 à 05h29
Global Bioenergies a annoncé le succès d'une première phase de tests réalisés par Clariant et portant sur l'utilisation d'isobutène renouvelable pour une application à haute valeur ajoutée. Suite à ce succès, Clariant a acquis un lot plus important d'isobutène renouvelable pour mener à bien une seconde phase d'évaluation.
En juin 2016, Global Bioenergies avait transmis un premier lot d'isobutène renouvelable à Clariant, qui l'a utilisé pour mener à bien une première série de tests. Ces tests s'étant montrés concluants, Clariant a maintenant acheté un lot plus important d'isobutène renouvelable à Global Bioenergies pour mener une nouvelle batterie de tests portant sur différentes réactions chimiques, et réaliser des analyses fonctionnelles sur les dérivés obtenus.
Marc Delcourt, directeur général de Global Bioenergies, commente : "Clariant a une vision concrète sur l'accès au marché de notre isobutène renouvelable sur cette application à haute valeur ajoutée. Cette deuxième phase de tests ouvre la voie à l'acheminement futur de volumes commerciaux lorsque la première usine d'isobutène renouvelable sera construite".
rajout article diffusé à 9H29 :
"Nous attendons les milestones suivants : des avancées majeures sur le projet IBN-One et ii/ potentiellement l'annonce de nouveaux deals de licence (IBN-Two, IBN-Three aux US...)" commente Gilbert Dupont qui vise un cours de 46 euros en restant acheteur.
Global Bioenergies a annoncé le succès d'une première phase de tests réalisés par Clariant et portant sur l'utilisation d'isobutène renouvelable pour une application à haute valeur ajoutée. Suite à ce succès, Clariant a acquis un lot plus important d'isobutène renouvelable pour mener à bien une seconde phase d'évaluation.
En juin 2016, Global Bioenergies avait transmis un premier lot d'isobutène renouvelable à Clariant, qui l'a utilisé pour mener à bien une première série de tests. Ces tests s'étant montrés concluants, Clariant a maintenant acheté un lot plus important d'isobutène renouvelable à Global Bioenergies pour mener une nouvelle batterie de tests portant sur différentes réactions chimiques, et réaliser des analyses fonctionnelles sur les dérivés obtenus.
Marc Delcourt, directeur général de Global Bioenergies, commente : "Clariant a une vision concrète sur l'accès au marché de notre isobutène renouvelable sur cette application à haute valeur ajoutée. Cette deuxième phase de tests ouvre la voie à l'acheminement futur de volumes commerciaux lorsque la première usine d'isobutène renouvelable sera construite".
rajout article diffusé à 9H29 :
"Nous attendons les milestones suivants : des avancées majeures sur le projet IBN-One et ii/ potentiellement l'annonce de nouveaux deals de licence (IBN-Two, IBN-Three aux US...)" commente Gilbert Dupont qui vise un cours de 46 euros en restant acheteur.
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Je trouve cette ligne rouge int2ressante
et si on franchi la bleue c est 40
et si on franchi la bleue c est 40
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Publié le 16/01/2017 à 18h02
Global Bioenergies annonce un partenariat exclusif avec Butagaz au terme duquel ce dernier devient le premier distributeur de gaz à commercialiser du butane et du propane comportant du bio-isobutène produit par Global Bioenergies à partir de ressources renouvelables. Cela va permettre à Butagaz de réduire l'empreinte carbone de ses activités.
Butagaz contribuera financièrement aux efforts de développement industriel de Global Bioenergies, laquelle lui réservera des lots d'isobutène : dès 2017, le démonstrateur industriel de Global Bioenergies permettra la production de plusieurs lots qui seront convoyés vers Butagaz. A terme, Butagaz pourrait acheter des milliers de tonnes de bio-isobutène lorsque la première usine commerciale sera en activité.
A terme, Butagaz pourrait acheter des milliers de tonnes de bio-isobutène lorsque la première usine commerciale sera en activité. Une partie de ce bio-isobutène " made in France " pourrait alors être incorporée dans les bouteilles ou les citernes de butane et de propane de Butagaz. Dès 2017, Global Bioenergies et Butagaz mèneront ensemble une étude technico économique portant sur l'incorporation à grande échelle de composés d'origine renouvelable dans les filières butane et propane.
Global Bioenergies annonce un partenariat exclusif avec Butagaz au terme duquel ce dernier devient le premier distributeur de gaz à commercialiser du butane et du propane comportant du bio-isobutène produit par Global Bioenergies à partir de ressources renouvelables. Cela va permettre à Butagaz de réduire l'empreinte carbone de ses activités.
Butagaz contribuera financièrement aux efforts de développement industriel de Global Bioenergies, laquelle lui réservera des lots d'isobutène : dès 2017, le démonstrateur industriel de Global Bioenergies permettra la production de plusieurs lots qui seront convoyés vers Butagaz. A terme, Butagaz pourrait acheter des milliers de tonnes de bio-isobutène lorsque la première usine commerciale sera en activité.
A terme, Butagaz pourrait acheter des milliers de tonnes de bio-isobutène lorsque la première usine commerciale sera en activité. Une partie de ce bio-isobutène " made in France " pourrait alors être incorporée dans les bouteilles ou les citernes de butane et de propane de Butagaz. Dès 2017, Global Bioenergies et Butagaz mèneront ensemble une étude technico économique portant sur l'incorporation à grande échelle de composés d'origine renouvelable dans les filières butane et propane.
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Global Bioenergies signe le succès d’un de ses projets
Publié le 04/01/2017 à 13:11
Le programme Bioma+, mené par Arkema, le CNRS et Global Bioenergies, a réussi à convertir du bioisobutène (molécule de base de l’industrie pétrochimique produite à partir de sucre) en acide méthacrylique à l’échelle du pilote.
Ce succès valide une nouvelle fois la technologie de la petite société de chimie verte. Il entraine également un paiement de 0,8 million d’euros de la part de l’Etat (un tiers sous forme de subvention et deux tiers via une avance remboursable).
Le projet va maintenant être porté à une échelle supérieure via son implémentation dans le tout nouveau démonstrateur industriel construit par Global Bioenergies en Allemagne. Les analystes de Gilbert Dupond rappellent que l’acide méthacrylique «est un des principaux composés des peintures acryliques». Son marché «est estimé à 500 millions d’euros et à plus de cinq milliard d’euros si l’on intègre l’ensemble des dérivés méthacrylates».
Le courtier recommande d’acheter l’action pour viser 46 euros.
Des financements publics franco-allemand pour 2017
Le directeur financier, François-Henri Reynaud, a profité de cette annonce pour faire un point sur la situation financière de l’entreprise.
Au 31 décembre 2016, sa trésorerie brute atteignait 7,4 millions d’euros. Un niveau «significativement plus élevé qu’anticipé», indique le dirigeant.
Selon lui, son groupe bénéficie «d’une visibilité complète sur 2017».
Cette année, il doit en effet toucher 6,2 millions d’euros de financements publics français et allemand et lever 7,5 millions d’euros d’obligations convertibles auprès du fonds emirati Bracknor.
Pour rappel, Gobal Bioenergies consomme environ 800 000 euros de trésorerie par mois, soit un peu moins de 10 millions d’euros par an.
Publié le 04/01/2017 à 13:11
Le programme Bioma+, mené par Arkema, le CNRS et Global Bioenergies, a réussi à convertir du bioisobutène (molécule de base de l’industrie pétrochimique produite à partir de sucre) en acide méthacrylique à l’échelle du pilote.
Ce succès valide une nouvelle fois la technologie de la petite société de chimie verte. Il entraine également un paiement de 0,8 million d’euros de la part de l’Etat (un tiers sous forme de subvention et deux tiers via une avance remboursable).
Le projet va maintenant être porté à une échelle supérieure via son implémentation dans le tout nouveau démonstrateur industriel construit par Global Bioenergies en Allemagne. Les analystes de Gilbert Dupond rappellent que l’acide méthacrylique «est un des principaux composés des peintures acryliques». Son marché «est estimé à 500 millions d’euros et à plus de cinq milliard d’euros si l’on intègre l’ensemble des dérivés méthacrylates».
Le courtier recommande d’acheter l’action pour viser 46 euros.
Des financements publics franco-allemand pour 2017
Le directeur financier, François-Henri Reynaud, a profité de cette annonce pour faire un point sur la situation financière de l’entreprise.
Au 31 décembre 2016, sa trésorerie brute atteignait 7,4 millions d’euros. Un niveau «significativement plus élevé qu’anticipé», indique le dirigeant.
Selon lui, son groupe bénéficie «d’une visibilité complète sur 2017».
Cette année, il doit en effet toucher 6,2 millions d’euros de financements publics français et allemand et lever 7,5 millions d’euros d’obligations convertibles auprès du fonds emirati Bracknor.
Pour rappel, Gobal Bioenergies consomme environ 800 000 euros de trésorerie par mois, soit un peu moins de 10 millions d’euros par an.
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Je connais rien de cette société mais comme j'ai lu cet article..
je fais suivre
je fais suivre
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25% de dilution , de quoi calmer les ardeurs
http://www.globalbioenergies-invest.com/emission-de-lintegralite-des-beocabsa-au-profit-du-fonds-bracknor-investment-et-emission-dune-deuxieme-tranche-docabsa-pour-un-montant-global-de-750-000e/
http://www.globalbioenergies-invest.com/emission-de-lintegralite-des-beocabsa-au-profit-du-fonds-bracknor-investment-et-emission-dune-deuxieme-tranche-docabsa-pour-un-montant-global-de-750-000e/
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sortie d'un interminable canal sur de gros volumes et en gap ! Retour à 50??
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Voilà une liste de 15 biotechs en Paris! C'est sûrement interessant pour tous les investisseurs en France ou Paris qui veulent invester dans la biotech ou pharma!
Global Bioenergies est là aussi.. <p>http://labiotech.eu/15-awesome-biotechs-to-know-in-paris/</p>
Global Bioenergies est là aussi.. <p>http://labiotech.eu/15-awesome-biotechs-to-know-in-paris/</p>
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Surveiller l'après bougie marteau de ce jour
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Forum de discussion Global Bioenergies
201810141741 495742
