CAC40:+4% depuis le 13/11, +2,7% en 48H, quelle explication?
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si si...
En cherchant bien objectivement on trouve, mais il faut s'intéresser aux instruments de régulations de la volatilité du CAC 40, et à sa décorrélation de surachat par rapport au reste du marché...
L'interventionnisme de régulation de volatilité de Mario Batmomey et de son Magix BCE Circus dont aucun média et analystes ne pipent et ne disent mots, fait des miracles en ce moment.
J'ai longuement publié sur ces sujets...
En cherchant bien objectivement on trouve, mais il faut s'intéresser aux instruments de régulations de la volatilité du CAC 40, et à sa décorrélation de surachat par rapport au reste du marché...
L'interventionnisme de régulation de volatilité de Mario Batmomey et de son Magix BCE Circus dont aucun média et analystes ne pipent et ne disent mots, fait des miracles en ce moment.
J'ai longuement publié sur ces sujets...
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Pas d'inquiétude quand le CAC40 dévisse de 10% en quelques jours c'est pareil personne est capable de l'argumenter. Il n'y a jamais de bonnes explications.
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(CercleFinance.com) - La bourse de Paris, ainsi que les places européennes affichent un gain imprévu, inespéré, limite inexplicable de +1,2% sur fond d'absence totale de la moindre actualité, déclaration, statistique, élément favorable pour justifier un tel écart (soit +2,75% sur 48H alors que Wall Street a gagné 0,1% dans l'intervalle et tandis que le Dollar plafonne vers 1,06/E).
Il semblerait tout simplement que certain opérateurs aient décidé que 'ça monterait' parce que rien n'est plus facile que de faire décaler les cours alors que Wall Street est fermé pour cause de Thanksgiving.
Voir le CAC40 à 4.950 (et même 4960 en fin de matinée), c'est à dire presque 4% au-dessus de ses niveaux post-attentats du 13 novembre, alors que rien ne s'est amélioré sur le plan conjoncturel et encore moins sur le front diplomatique ces 10 derniers jours (et encore moins ces dernières 48H) invite à se demande quel genre de 'force' gouverne l'évolution des marché (de quoi sont ils le reflet, à part la 'logique de flux' qui trahit une dépendance totale vis à vis des décisions des banques centrales).
'Le jeudi 3 décembre, la Banque Centrale Européenne (BCE) pourrait adopter un taux de refinancement négatif, du jamais vu dans l'histoire monétaire de la zone euro, à l'image de ce que pratique déjà la Banque Nationale Suisse (BNS)', décryptait ce matin Vincent Ganne, directeur de DailyFX France.
'Au-delà des 4.950 points, le CAC pourrait sortir par le haut de la consolidation du mois de novembre', estimait-on par ailleurs chez Barclays Bourse.
Fermés toute la journée, les marchés américains rouvriront pour une demi-séance demain, jour du 'Black Friday', lequel marque le coup d'envoi de la période des achats de fin d'année aux Etats-Unis, et en l'absence d'indicateurs notables, l'attention des intervenants se porte sur les valeurs.
Parmi elles, STMicroelectronics grimpe de 5,8% et domine le SBF 120 dans le sillage d'Infineon, qui flambe de 12,5% à Francfort, propulsé par la présentation des résultats trimestriels meilleurs que prévu.
Technip domine largement le CAC avec un gain de +4,6%, devant Veolia avec +4,5% puis Accor, EDF et Renault avec +3,3%.
Thales cède en revanche 0,4% alors qu'UBS a dégradé sa recommandation de 'achat' à 'neutre' sur la valeur après une performance jugée 'vigoureuse'.
Enfin, Rémy Cointreau, dernier du SBF 120, recule de 3% en dépit de la confirmation de son objectif d'une croissance de son résultat opérationnel courant (ROC) sur l'exercice 20152016 à devises et périmètre constants.
Copyright © 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Il semblerait tout simplement que certain opérateurs aient décidé que 'ça monterait' parce que rien n'est plus facile que de faire décaler les cours alors que Wall Street est fermé pour cause de Thanksgiving.
Voir le CAC40 à 4.950 (et même 4960 en fin de matinée), c'est à dire presque 4% au-dessus de ses niveaux post-attentats du 13 novembre, alors que rien ne s'est amélioré sur le plan conjoncturel et encore moins sur le front diplomatique ces 10 derniers jours (et encore moins ces dernières 48H) invite à se demande quel genre de 'force' gouverne l'évolution des marché (de quoi sont ils le reflet, à part la 'logique de flux' qui trahit une dépendance totale vis à vis des décisions des banques centrales).
'Le jeudi 3 décembre, la Banque Centrale Européenne (BCE) pourrait adopter un taux de refinancement négatif, du jamais vu dans l'histoire monétaire de la zone euro, à l'image de ce que pratique déjà la Banque Nationale Suisse (BNS)', décryptait ce matin Vincent Ganne, directeur de DailyFX France.
'Au-delà des 4.950 points, le CAC pourrait sortir par le haut de la consolidation du mois de novembre', estimait-on par ailleurs chez Barclays Bourse.
Fermés toute la journée, les marchés américains rouvriront pour une demi-séance demain, jour du 'Black Friday', lequel marque le coup d'envoi de la période des achats de fin d'année aux Etats-Unis, et en l'absence d'indicateurs notables, l'attention des intervenants se porte sur les valeurs.
Parmi elles, STMicroelectronics grimpe de 5,8% et domine le SBF 120 dans le sillage d'Infineon, qui flambe de 12,5% à Francfort, propulsé par la présentation des résultats trimestriels meilleurs que prévu.
Technip domine largement le CAC avec un gain de +4,6%, devant Veolia avec +4,5% puis Accor, EDF et Renault avec +3,3%.
Thales cède en revanche 0,4% alors qu'UBS a dégradé sa recommandation de 'achat' à 'neutre' sur la valeur après une performance jugée 'vigoureuse'.
Enfin, Rémy Cointreau, dernier du SBF 120, recule de 3% en dépit de la confirmation de son objectif d'une croissance de son résultat opérationnel courant (ROC) sur l'exercice 20152016 à devises et périmètre constants.
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