Pétrole: les deux barils toujours sous 37 dollars.
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Concernant le prix du baril, il est vain de raisonner de façon française, comme de purs cartésiens. Il y a, concernant le prix du pétrole et sa fixation des considérations autres qu'un raisonnement à l'européenne ou à la française, façon " PASCAL ".
Pour les monarchies arabes et autres " pays aux idées avancées " ( vénézuela ... ) c'est une question de vie ou de mort car, vu la quantité de pétrole de schiste ou de gaz de schiste dans les sous sols et vu le progrès des techniques d'exploration et vu les contraintes mises par la cop 21 ( qui va entraîner une chute de la consommation générale de l'énergie fossile ) et vu la montée inexorable de l'énergie verte, je pose la question suivante: dans ces conditions ( celles décrites plus avant ) les USA ne pourraient-ils pas, à eux tous seuls, avec 1 ou 2 autres producteurs fournir le monde entier ?
Les arabes le savent et POUR EUX, GARDER LEURS PARTS DE MARCHE EST VITAL, ABSOLUMENT VITAL.
DONC LES PRIX, A PART QUELQUES REBONDS TECHNIQUES, NE BAISSERONT PAS.
ON EST RENTRE DANS UN AUTRE PARADIGME.
UNE FOIS EJECTES CEUX QUI N'AURONT PAS PU TENIR, ALORS LA, OUI, LES PRIX REMONTERONT. ET CEUX QUI AURONT ETE EJECTES NE POURRONT PAS REVENIR.
Simple avis.
Pour les monarchies arabes et autres " pays aux idées avancées " ( vénézuela ... ) c'est une question de vie ou de mort car, vu la quantité de pétrole de schiste ou de gaz de schiste dans les sous sols et vu le progrès des techniques d'exploration et vu les contraintes mises par la cop 21 ( qui va entraîner une chute de la consommation générale de l'énergie fossile ) et vu la montée inexorable de l'énergie verte, je pose la question suivante: dans ces conditions ( celles décrites plus avant ) les USA ne pourraient-ils pas, à eux tous seuls, avec 1 ou 2 autres producteurs fournir le monde entier ?
Les arabes le savent et POUR EUX, GARDER LEURS PARTS DE MARCHE EST VITAL, ABSOLUMENT VITAL.
DONC LES PRIX, A PART QUELQUES REBONDS TECHNIQUES, NE BAISSERONT PAS.
ON EST RENTRE DANS UN AUTRE PARADIGME.
UNE FOIS EJECTES CEUX QUI N'AURONT PAS PU TENIR, ALORS LA, OUI, LES PRIX REMONTERONT. ET CEUX QUI AURONT ETE EJECTES NE POURRONT PAS REVENIR.
Simple avis.
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C'est une possibilité même si je ne pense pas qu'on en arrive là.
De toute façon le pétrole va bien finir par remonter, j'ai du mal a croire qu'il restera aussi bas bien longtemps.
je pense qu'il devrait se stabiliser vers 50$ dans quelques mois car meme les gros pays producteurs commencent a s'etrangler tout seul.
De toute façon le pétrole va bien finir par remonter, j'ai du mal a croire qu'il restera aussi bas bien longtemps.
je pense qu'il devrait se stabiliser vers 50$ dans quelques mois car meme les gros pays producteurs commencent a s'etrangler tout seul.
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Les attentats peuvent aussi mettre à mal la stabilité du pays et réveiller les opposants au régime.
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Après verification c'est le quatrieme budget militaire au niveau mondiale.
Que du materiel acheté sur etagere aux usa, chine, france...
accord de defense avec de nombreux pays.
C'est un peu comme si ils voulaient attaquer la chine.
donc je confirme très peu probable que l'etat islamique tente sa chance la bas (mis a part des attentats)
bonne soiree
Que du materiel acheté sur etagere aux usa, chine, france...
accord de defense avec de nombreux pays.
C'est un peu comme si ils voulaient attaquer la chine.
donc je confirme très peu probable que l'etat islamique tente sa chance la bas (mis a part des attentats)
bonne soiree
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Il me semble qu'il y a une grosse difference entre leur armee et celle de l'Irak et la syrie.
Je pense pas qu'ils viendraient s'y frotter a moins de vouloir mettre un terme a leur etat islamique qui commence deja a battre de l'aile.
je peux t'assurer qu'etant du metier mis a part l'arme nucleaire ils ont rien a nous envier.
a+
Je pense pas qu'ils viendraient s'y frotter a moins de vouloir mettre un terme a leur etat islamique qui commence deja a battre de l'aile.
je peux t'assurer qu'etant du metier mis a part l'arme nucleaire ils ont rien a nous envier.
a+
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L'Arabie Séoudite devrait se méfier de l'Etat Islamique qui veut profiter de cette mauvaise situation financière du pays pour renverser le régime.
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(CercleFinance.com) - Mardi midi en Europe, le contrat sur le baril de Brent de mer du Nord livrable en février 2016 grappillait 0,2% à 36,7 dollars, le WTI américain de même échéance le suivant de 0,2% à 36,9 dollars.
Le brut reste proche de bas niveaux alors que la thématique de l'excès d'offre, conséquence de la politique de part de marché menée depuis plus d'un an par l'Opep, Arabie saoudite en tête, ne cesse pas. Du moins pour l'instant.
Comme le rappellent les courtiers de XTB France, les prix du pétrole restent au centre des inquiétudes. L'Arabie Saoudite a annoncé une réduction de ses dépenses pour 2016. En effet, le déficit budgétaire du royaume a atteint 367 milliards de riyals (98 milliards de dollars) en 2015, soit 15% du PIB. Pour 2016, le ministère des Finances prévoit de réduire ce déficit à 326 milliards de riyals. Concernant les recettes du pays, celles-ci devraient être de 514 milliards riyals en 2016, contre 608 milliards en 2015.
Si Riyad dispose d'un solide matelas de liquidités patiemment constitué, sa situation financière n'en est pas moins rendue difficile par la chute des cours du brut. Mais pour l'instant, aucun signe d'inflexion de sa politique pétrolière n'est en vue.
D'autant moins qu'un des ses grands rivaux et également membre de l'Opep, l'Iran, devrait augmenter sensiblement ses exportations l'année prochaine, parallèlement à la levée progressive des sanctions internationales à son encontre.
EG
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Le brut reste proche de bas niveaux alors que la thématique de l'excès d'offre, conséquence de la politique de part de marché menée depuis plus d'un an par l'Opep, Arabie saoudite en tête, ne cesse pas. Du moins pour l'instant.
Comme le rappellent les courtiers de XTB France, les prix du pétrole restent au centre des inquiétudes. L'Arabie Saoudite a annoncé une réduction de ses dépenses pour 2016. En effet, le déficit budgétaire du royaume a atteint 367 milliards de riyals (98 milliards de dollars) en 2015, soit 15% du PIB. Pour 2016, le ministère des Finances prévoit de réduire ce déficit à 326 milliards de riyals. Concernant les recettes du pays, celles-ci devraient être de 514 milliards riyals en 2016, contre 608 milliards en 2015.
Si Riyad dispose d'un solide matelas de liquidités patiemment constitué, sa situation financière n'en est pas moins rendue difficile par la chute des cours du brut. Mais pour l'instant, aucun signe d'inflexion de sa politique pétrolière n'est en vue.
D'autant moins qu'un des ses grands rivaux et également membre de l'Opep, l'Iran, devrait augmenter sensiblement ses exportations l'année prochaine, parallèlement à la levée progressive des sanctions internationales à son encontre.
EG
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