Pétrole: enfin, du mieux du côté de l'offre ?
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C'est que des paroles personnes ne respectera les quotas mis en place
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(CercleFinance.com) - Jeudi midi sur les marchés pétroliers en Europe, le baril de Brent de mer du Nord livrable en mai 2016 se tassait de 0,2% à 36,8 dollars, le WTI américain de livraison avril restant neutre à 34,7 dollars.
Le brut semble confirmer que les 30 dollars le baril constituaient bien un 'plancher', maintenant que de grands pays producteurs ne se limitant pas au cartel de l'Opep (environ 40% de la production) s'engagent à plafonner leurs extractions. Même si l'Iran fait exception.
'Une nouvelle fois, l'espoir d'un accord sur un gel de la production compensant l'annonce d'une nouvelle hausse des stocks de brut aux Etats-Unis a soutenu les cours, malgré la poursuite de la baisse de la la production américaine', résument les analystes d'Aurel BGC ce matin.
Hier en effet, le président russe Vladimir Poutine a confirmé de vive voix - et c'était une première fois en ce qui le concerne - que son pays s'engage bien à ne pas dépasser le niveau de production atteint en janvier.
Ce qui permet de faire passer au second plan les stocks pétroliers publiés hier, pour les Etats-Unis, par l'EIA : globalement, tous se sont avérés pires que prévu. Ceux de brut ont notamment bondi de plus de dix millions de barils en huit jours, contre + 3,6 millions attendus. Ce faisant, les stocks de marché américains ont atteint un nouveau record, à presque 518 millions de barils.
Notons cependant que les extractions pétrolières américaines continuent de reculer : elles sont passées sous la barre des 9,1 millions de barils/jour la semaine passée, à 9,077 millions d'unités quotidiennes. Soit leur plus bas niveau depuis la dernière semaine de novembre 2014. Rappelons que cette production avait culminé à 9,610 millions de barils/jour en juin 2015.
EG
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Le brut semble confirmer que les 30 dollars le baril constituaient bien un 'plancher', maintenant que de grands pays producteurs ne se limitant pas au cartel de l'Opep (environ 40% de la production) s'engagent à plafonner leurs extractions. Même si l'Iran fait exception.
'Une nouvelle fois, l'espoir d'un accord sur un gel de la production compensant l'annonce d'une nouvelle hausse des stocks de brut aux Etats-Unis a soutenu les cours, malgré la poursuite de la baisse de la la production américaine', résument les analystes d'Aurel BGC ce matin.
Hier en effet, le président russe Vladimir Poutine a confirmé de vive voix - et c'était une première fois en ce qui le concerne - que son pays s'engage bien à ne pas dépasser le niveau de production atteint en janvier.
Ce qui permet de faire passer au second plan les stocks pétroliers publiés hier, pour les Etats-Unis, par l'EIA : globalement, tous se sont avérés pires que prévu. Ceux de brut ont notamment bondi de plus de dix millions de barils en huit jours, contre + 3,6 millions attendus. Ce faisant, les stocks de marché américains ont atteint un nouveau record, à presque 518 millions de barils.
Notons cependant que les extractions pétrolières américaines continuent de reculer : elles sont passées sous la barre des 9,1 millions de barils/jour la semaine passée, à 9,077 millions d'unités quotidiennes. Soit leur plus bas niveau depuis la dernière semaine de novembre 2014. Rappelons que cette production avait culminé à 9,610 millions de barils/jour en juin 2015.
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