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Message complété le 17/11/2016 15:34:37 par son auteur.
comment peut on encore voter pour Sarko aussi incapable que Hollande ou Fillon (le couard qui a avalé des montagnes de couleuvres et démontré sont peu de fierté personnelle ) voir Copé le filou ou Juppé le condamné qui n'a pas beaucoup écopé bien sur car ils s'en tirent toujours bien les politicards je veux bien encore accepter les autres NKM ou Bruno quand a Poisson rien que de savoir qu'il représente le parti des chrétiens comme si ça pouvait être un parti (ça fait penser un peu Daech d’ailleurs ) .
si certains espèrent que ceux là vont sortir la France de l'Ornière c'est qu'ils n'ont rien compris avec Hollande j'ai envie de dire un coup pour rien encore une fois ...
a gauche c'est pas mieux je vous le concède mais il y a d'autres candidats comme Dupont-Aignan -Macron -j'aurais aimé voir d'autres tetes comme Morin ou Borloo ou Hamon et puis si Sarko ou Juppé peuvent se présenter pourquoi DSK ne le pourrait il pas ?( pas dit que je voterais pour eux) et bien d'autres mais non c'est toujours les mêmes qui reviennent .
alors entre la Droite divisée la Gauche éclatée et tous ceux qui en ont ras le bol de cette clique et qui ne voteront pas c'est sur qu'une surprise (si on peut dire ) a toutes les chances d'arriver.
car moi perso au second tour je ne voterais pas pour faire barrage au FN c'est clair je me suis fait avoir une fois pas deux et je pense que beaucoup feront comme moi c'est pourquoi meme si je ne souhaite pas je le vois arriver gros comme une maison.
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Message complété le 17/11/2016 15:10:58 par son auteur.
mais bon la connerie n'est pas une exclusivité socialiste a droite aussi ils en tiennent une couche ont va bientôt les voir a l'oeuvre (a nouveau j'ai envie de dire ) j'ai l'impression que tous ces énarques ou polytechniciens n'ont pas appris grand chose a l’école des ANES
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Message complété le 17/11/2016 15:00:41 par son auteur.
""""Les élus LR et UDI ont défendu en vain une série d'amendements de suppression de la réforme, rejetés avec une majorité loin d'être large de 45 voix contre 37 après un retour précipité de certains socialistes pour voter
. Le LR Nicolas Dhuicq l'a interprété sur Twitter comme de la "panique chez les socialistes".""""
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Coup de théâtre jeudi à l'Assemblée sur le prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu, mesure phare du projet de budget 2017: la droite, plus mobilisée que les socialistes, a réussi à empêcher l'adoption de la réforme, momentanément.
Pour faire adopter le dispositif qui prévoit à partir du 1er janvier 2018 la collecte de l'impôt sur le revenu au versement du salaire et non plus un an après, le gouvernement sera contraint de faire procéder à un nouveau vote à l'issue des débats, jeudi soir ou vendredi.
A l'ouverture des discussions sur l'article 38 du projet de budget 2017, que la droite unanime dénonce comme excessivement "complexe" et veut remettre en cause en cas d'élection en 2017, le ministre de l'Economie et des Finances a défendu une "belle et grande réforme".
Aux élus LR et UDI très remontés et très préoccupés de sa "réversibilité", comme Hervé Mariton (LR) ou Marc Le Fur (LR), selon lequel le gouvernement ment aux Français en laissant "croire que ça va leur simplifier la vie", Michel Sapin a observé que "toute réforme est, par définition, réversible".
Mais il s'est aussitôt interrogé sur l'intérêt de "revenir sur une réforme qui a demandé autant de travail (...) et qui répond à une telle évidence en termes de simplification".
"Vous serez les premiers à considérer qu'il y a peut-être plus important en France, plus urgent à faire que de remettre en cause des réformes aussi intéressantes", a lancé ce soutien de François Hollande à la droite.
Les élus LR et UDI ont défendu en vain une série d'amendements de suppression de la réforme, rejetés avec une majorité loin d'être large de 45 voix contre 37 après un retour précipité de certains socialistes pour voter. Le LR Nicolas Dhuicq l'a interprété sur Twitter comme de la "panique chez les socialistes".
- "Les socialistes ne se sont pas méfiés" -
Mais l'affaire ne s'est pas arrêtée là.
Certains élus de la majorité étant repartis, la droite a réussi dans la foulée un coup de Trafalgar, à quelques heures du troisième débat télévisé de la primaire.
A main levée et à une voix près (22 contre 21, selon le décompte audible de la présidente de séance Catherine Vautrin), LR a fait adopter un amendement de Marie-Christine Dalloz pour prévoir "le prélèvement mensuel obligatoire", au lieu du prélèvement à la source. Selon Bercy, cela ne change pas le sujet du décalage de l'impôt.
Avec un calme affiché, le secrétaire d'Etat au Budget, Christian Eckert, a aussitôt demandé une suspension de séance.
A la reprise, il a indiqué que le gouvernement demanderait "une seconde délibération" qui aura lieu "en fin d'examen du texte, comme le prévoit le règlement de l'Assemblée". Il pourra alors proposer un amendement global pour réécrire l'article.
Prompt à se féliciter de la "suppression" du prélèvement à la source, "mesure coûteuse" et "bombe à retardement", le groupe LR a vu dans la "mise en minorité" des socialistes "une preuve supplémentaire de la déliquescence du gouvernement".
L'adoption de cet amendement a fait "tomber" tous les suivants déposés sur l'article en question, soit quelque 140 amendements, dont certains du gouvernement.
"Ce vote témoigne de l'impréparation politique de votre texte, les députés PS qui étaient venus sur ordre ont déserté après les amendements de suppression", a aussi affirmé M. Le Fur dans l'hémicycle.
"Les socialistes ne se sont pas méfiés. Ils ont cru que c'était fini (...) alors que mon amendement, qui instaure une mensualisation obligatoire, revient au même", s'est réjouie Mme Dalloz dans les couloirs.
Pour cette députée du Jura, soutien de Nicolas Sarkozy pour la primaire, cet épisode illustre le fait que les socialistes "ne sont plus impliqués en cette fin de législature".
Faute de débat sur le prélèvement à la source, les députés ont entamé l'examen des quelques 400 autres amendements portant sur les articles "non rattachés" du budget, la droite défendant là encore âprement ses positions.
© 2016 AFP
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