CAC40: englué dans la zone des 4.775, pénalisé par bancaires
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La manipulation des cours bat son plein sur les valeurs du Cac 40 , rappelez vous ce matin : 31 hausses pour 9 baisses nous avions eu jusqu' à +0.17 % de variation et maintenant les bancaires perdent moins de terrain style BNP alors par effet de vase communiquant les autres valeurs du Cac sont moins fringantes puisque l' on se trouve désormais en présence de 22 hausses pour 18 baisses c' est cela la manipulation par rotation sectorielle des valeurs , on en freine beaucoup pendant que d' autres baissent et vice versa ce matin
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(CercleFinance.com) - La stagnation du CAC40 entre 4.775 et 4.785 dure depuis 9H30 ce matin et la Bourse de Paris évolue entre +0,1% et -0,1% sans désemparer alors que l'Euro-Stoxx50 opte pour un biais plus haussier.
L'indice phare est pénalisé par la mauvaise performance de BNP Paribas, qui pèse sur les autres poids lourds bancaires de la cote, d'où la sous-performance du CAC40, retombé vers 4.774.
Les indices boursiers auraient pourtant quelques motifs de reprendre confiance alors que Mario Draghi affirmait hier vouloir 'maintenir sur la durée une politique monétaire accommodante'.
Saxo Banque estime que le marché demeure toutefois 'trop occupé à décortiquer les dernières mesures de Donald Trump qui touchent cette fois le domaine de la réglementation financière'.
Du côté des indicateurs, le chiffre du déficit commercial américain vient de tomber et il s'améliore un peu (l'écart se réduit de 3.2% à 44,3Mds$, soit tout de même -502Mds$ sur l'ensemble de 2016 (le pire depuis 2012).
Il se réduit un peu face à la Chine (-5,5%) mais s'aggrave face au Mexique (+4,2%).
En Europe, la production industrielle allemande a chuté de 3% en rythme séquentiel en décembre, après une progression de 0,5% et alors que les économistes anticipaient a contrario une progression de 0,3%.
Sur le marché des changes, l'euro concède 0,7% au dollar à 1,067, tandis que le baril de WTI recule de 0,9% à 52,7$.
Cela s'arrange un peu sur le front obligataire avec un retour de l'OAT sous 1,10% (contre 0,38% pour le Bund).
Enfin, du côté des valeurs, BNP Paribas, lanterne rouge de l'indice phare, abandonne 3,6% après ses comptes du dernier trimestre, sous les attentes en raison notamment de coûts de restructuration; le groupe vise une hausse de son résultat à un rythme de +6,5% par an d'ici 2020.
Crédit Agricole (-1,6%) et Société Générale (-2,5%) pâtissent également de ces résultats.
A l'autre extrémité du palmarès, Klépierre (+2,7%) a fait état hier après séance d'une croissance de 1,7% de ses revenus locatifs nets en 2016, alors que le chiffre d'affaires est resté pratiquement stable.
Valeo (+0,9%) est également bien orienté dans le sillage de l'annonce d'un accord en vue de la création d'une joint venture en Corée du Sud avec Pyeong Hwa, le partenaire historique de l'équipementier automobile dans le pays.
Copyright © 2017 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
L'indice phare est pénalisé par la mauvaise performance de BNP Paribas, qui pèse sur les autres poids lourds bancaires de la cote, d'où la sous-performance du CAC40, retombé vers 4.774.
Les indices boursiers auraient pourtant quelques motifs de reprendre confiance alors que Mario Draghi affirmait hier vouloir 'maintenir sur la durée une politique monétaire accommodante'.
Saxo Banque estime que le marché demeure toutefois 'trop occupé à décortiquer les dernières mesures de Donald Trump qui touchent cette fois le domaine de la réglementation financière'.
Du côté des indicateurs, le chiffre du déficit commercial américain vient de tomber et il s'améliore un peu (l'écart se réduit de 3.2% à 44,3Mds$, soit tout de même -502Mds$ sur l'ensemble de 2016 (le pire depuis 2012).
Il se réduit un peu face à la Chine (-5,5%) mais s'aggrave face au Mexique (+4,2%).
En Europe, la production industrielle allemande a chuté de 3% en rythme séquentiel en décembre, après une progression de 0,5% et alors que les économistes anticipaient a contrario une progression de 0,3%.
Sur le marché des changes, l'euro concède 0,7% au dollar à 1,067, tandis que le baril de WTI recule de 0,9% à 52,7$.
Cela s'arrange un peu sur le front obligataire avec un retour de l'OAT sous 1,10% (contre 0,38% pour le Bund).
Enfin, du côté des valeurs, BNP Paribas, lanterne rouge de l'indice phare, abandonne 3,6% après ses comptes du dernier trimestre, sous les attentes en raison notamment de coûts de restructuration; le groupe vise une hausse de son résultat à un rythme de +6,5% par an d'ici 2020.
Crédit Agricole (-1,6%) et Société Générale (-2,5%) pâtissent également de ces résultats.
A l'autre extrémité du palmarès, Klépierre (+2,7%) a fait état hier après séance d'une croissance de 1,7% de ses revenus locatifs nets en 2016, alors que le chiffre d'affaires est resté pratiquement stable.
Valeo (+0,9%) est également bien orienté dans le sillage de l'annonce d'un accord en vue de la création d'une joint venture en Corée du Sud avec Pyeong Hwa, le partenaire historique de l'équipementier automobile dans le pays.
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