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EMOVA....Signal sortie de canal - Page 2

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argilo argilo
24/07/2017 09:49:52
0
Chiffre vers le 31 juillet
  
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argilo argilo
17/07/2017 08:56:08
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Flirt avec la ligne de tendance...
  
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argilo argilo
13/07/2017 08:39:41
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ratdusud, anticiper les chiffres en fin de mois!...
  
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ratdusud ratdusud
12/07/2017 22:59:09
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Belle claque, que penser ...,tenter l achat?,AKS a été réalisé, peut être à racheter vers 0,41???
  
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argilo argilo
12/07/2017 13:13:47
0
Repli sur la base du canal avant poursuite du mouvement
  
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argilo argilo
10/07/2017 09:16:10
0
Résistance 58 à casser
  
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argilo argilo
07/07/2017 09:35:45
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Lire la news de Metexor ...
Le volume n'y est pour rien.
Un canal commence à se mettre en place avec des Résistances à franchir...
Elle peut aller loin AMNH.
  
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argilo argilo
28/06/2017 09:37:28
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Logique, sortie triangle comme graphe plus bas...
Reste à trouver la raison, j'en ai une peut être!...
Emova, ex monceaux fleurs est sortie récemment d'une procédure de liquididation.
certaines obligations ont été transformées en produits dont des BSA.
Le retour sur 41 a permis de se renforcer en bons à bon compte.
D'autre part, les perspectives sont bonnes après cette sortie anticipée du plan de sauvegarde.
  
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sergiobress sergiobress
28/06/2017 09:29:15
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Bonjour,
Il y avait un joli petit coup ce matin en A/R à tenter sur EMOVA
  
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argilo argilo
26/06/2017 11:21:45
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Fin de triangle pour un rebond...
C'est ce que suggère le graphe avec un biseau terminal
Surveiller une reprise de volume, anticiper ?,
  
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argilo argilo
09/06/2017 17:55:08
0

L’enseigne de fleurs et le groupe qui la contrôle sortent cinq ans avant la date prévue d’un plan de sauvegarde après avoir repensé toute l’organisation.

Source Challenges


Le dimanche 28 mai, à la boutique Monceau Fleurs du boulevard de Courcelles, à Paris, dix salariés sont venus en renfort pour préparer 2 500 bouquets. Chaque année, la Fête des mères génère 14 % des ventes de la chaîne. Mais l’édition 2017 marque un renouveau. La période noire dans laquelle l’enseigne est entrée en 2008, avec le rachat mal géré de son concurrent Rapid’Flore, vient de s’achever. En janvier, le tribunal de commerce de Paris a validé, avec cinq ans d’avance, la sortie du plan de sauvegarde lancé en 2012. L’auteur de cette prouesse ? Laurent Pfeiffer, entrepreneur et financier touche-à-tout, nommé président du directoire de Monceau Fleurs en 2013, qui se félicite : « Ce que nous avons fait était très difficile à accomplir ! » Effectivement, il a rénové l’entreprise de fond en comble.<p>Groupe rebaptisé

La priorité à son arrivée : réduire les dettes, à l’aide d’un nouvel actionnaire spécialisé dans le retournement d’entreprises, le fonds Perceva, qui prend 80 % du capital en août 2013 tout en s’impliquant dans la stratégie. Signe de l’entrée dans une nouvelle ère, le groupe troque son appellation Monceau Fleurs pour Emova (Emotion Moment Valeurs). « Avec l’ancien nom, une enseigne prenait toute la place », pointe Laurent Pfeiffer, qui rappelle que, outre cette marque premium, le groupe spécialiste des végétaux d’intérieur possède aussi Rapid’Flore, plus accessible, rebaptisée Cœur de Fleurs, et Happy, plus jeune et disruptive. Les 200 salariés du siège, eux, quittent Villebon-sur-Yvette (Essonne) pour rejoindre Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), avenue Le-Jour-se-lève, la bien nommée. Ici, la mise en place d’open spaces, de déjeuners en équipe et de 5 000 heures annuelles de formation réduisent le turnover à 1 %.


Les franchisés, qui gèrent environ 90 % des 428 magasins, ne sont pas en reste. Chaque point de vente est désormais visité dix fois par an par des examinateurs, directeurs d’enseigne et clients mystères, avec conseils à la clé pour améliorer l’offre. Enfin, le patron repense le système d’achats. « Les producteurs néerlandais vendaient à trois bourses aux fleurs qui revendaient à des grossistes revendant à des grossistes français qui revendaient aux fleuristes ! », s’exclame Laurent Pfeiffer. Son idée ? Une centrale de référencement, actuellement en test, permet aux magasins de s’approvisionner directement auprès des producteurs, donc de réduire les coûts et mieux gérer les volumes. « Ce secteur aux marges modestes impose une gestion chirurgicale des stocks », confirme Alexandre Arnaud, directeur marketing de Florajet, spécialiste de la livraison de fleurs.
Quatre ans plus tard, les résultats sont là : en 2016, le chiffre d’affaires consolidé des activités a augmenté de 25 %, à 14,7 millions d’euros, et le résultat net de 95 %, à 696 000 euros. Le volume d’affaires sous enseigne, lui, atteint 115 millions. Objectif : 230 millions d’ici 2021, et 300 nouveaux magasins, toujours au cœur des villes, aux entrées ou aux sorties, pour capter les flux de consommateurs.
Un dernier défi subsiste : le numérique, qui pèse moins de 3 % des ventes. « C’est un marché encore peu digitalisé, pointe Yves Marin, directeur à Wavestone. Mais il se caractérise par des gammes courtes et des achats d’impulsion, donc se prête bien au commerce mobile. » Conscient de l’opportunité, Laurent Pfeiffer a racheté Au Nom De La Rose l’an dernier, bien positionné dans l’e-commerce. Et annonce « l’éclosion de plusieurs sites Internet et de nouveaux services ».</p>
  
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argilo argilo
19/05/2017 10:55:58
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Graphe hebdo

<p>Tentative de sortie...avec du volume croissant</p>
  
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