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Message complété le 29/11/2017 14:00:16 par son auteur.
Répercuter !!
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Message complété le 28/11/2017 18:19:32 par son auteur.
n'en déplaise à certains : les agriculteurs vont devoirs posséder moins pour gagner autant !! mais ça c'est difficile de le faire comprendre !!
et oui moins les joujoux sont gros, moins la dette est importante !! CQFD ;)
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Message complété le 28/11/2017 15:19:33 par son auteur.
Invraisemblable discours des "gros " agriculteurs qui se foutent de la poire des gens .
La population et sûrement les enfants des agriculteurs eux mêmes exigent des produits sains .
Personne n'a le droit de s'arroger la possibilité d'empoisonner ses clients sous couvert de se faire des couilles en or alors que les petits producteurs , eux , trouvent des alternatives crédibles et rentables aux saloperies qui permettent aux gros de s'enrichir sur le dos de tous , y compris de leurs collègues
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La FNSEA a annoncé mardi que les agriculteurs manifesteront "d'ici quelques jours", contre la décision "nationaliste" du président Macron, qui a demandé que l'utilisation du glyphosate ne soit plus autorisée que pour trois ans en France, alors que l'Europe a voté pour cinq ans.
"On s'interroge sur la politique européenne que le président (Macron) veut conduire en France. Cela correspond à du nationalisme", a déclaré à l'AFP Eric Thirouin, secrétaire général adjoint de la FNSEA, premier syndicat agricole français.
"J'ai demandé au gouvernement de prendre les dispositions nécessaires pour que l'utilisation du glyphosate soit interdite en France dès que des alternatives auront été trouvées, et au plus tard dans trois ans", a tweeté le président Emmanuel Macron lundi, après la décision européenne de l'autoriser pour cinq ans.
"Il y a eu deux ans de débat et un vote à la majorité qualifiée, et deux heures après, le président français dit +moi je m'asseois dessus+. Que deviennent les agriculteurs là-dedans ?", s'est interrogé M. Thirouin qui dénonce "les impasses techniques et les distorsions de concurrence", que risquent les agriculteurs.
"Il s'agit de dénoncer l'acceptation de règles différentes pour ce que l'on produit et pour ce que l'on importe, car cela devient insupportable. D'ici quelques jours, l'ensemble des agriculteurs, toutes productions confondues, manifesteront sur tout le territoire pour mettre en avant ces contradictions, ces distorsions et au fond, ces injustices qui touchent l'ensemble des agriculteurs", a indiqué le syndicat.
"Si M. Macron estime que la politique agricole ne doit plus être commune, s'il ne pense qu'à nous mettre des boulets aux pieds, c'est un vrai problème", a-t-il déclaré.
M. Thirouin a rapproché la controverse sur le glyphosate de celle sur l'accord de libre-échange avec le Canada, le Ceta: "on interdit en France et en Europe l'utilisation de certains produits phytosanitaires, mais on permet d'importer des produits en contenant depuis le Canada". Cela revient à "interdire de produire en France ce que les Français ont le droit de manger".
Pour la présidente de la FNSEA, Emmanuel Macron "a cédé au chantage de quelques-uns". Christiane Lambert, qui assistait à l'ouverture d'un salon agricole mondial à Montpellier, a accusé le président français d'avoir cédé au "caprice" du ministre de l'environnement, Nicolas Hulot.
Les Etats membres de l'Union européenne (UE) ont accepté lundi d'autoriser pour cinq ans supplémentaires le glyphosate lors d'un comité d'appel, après plus de deux ans de débats intenses et à trois semaines de la date d'expiration de la licence actuelle.
© 2017 AFP
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