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Message complété le 12/03/2018 12:01:41 par son auteur.
Pictou
« La réalité c'est qu'on veut avoir ce dont on n'a pas les moyens »
Ce que tu dis est vrai. Et je rajoute : ...et dont on n'a pas besoin. Mais on nous crée des besoins, on nous pousse à la consommation,on nous fait des offres de crédits très « avantageuses » (pour qui ?)
Mais chaque individu a encore son libre arbitre, et doit être en mesure de savoir ce dont il a besoin ou non.
Pareil pour nos z’élites : ils font des cadeaux fiscaux, du social en veux-tu en voilà, etc...Et tout ça, non pas pour le bien de la France, mais dans le seul but de se faire ré-élire .
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Message complété le 12/03/2018 10:15:01 par son auteur.
Cumulé sur l'année, cela fait à 15 minutes à jour, 61.5 heures de travail à l'année, soit 1.75 semaine de 35 heures.
Notez encore que ce ratio croit chaque année sans que personne n'en parle que l'on dise à ce niveau d'engagement en combien de temps on serait capable d'éponger 50% de la dette française...
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Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, a rejeté dimanche l'idée d'une "cagnotte fiscale" qui pourrait être utilisée pour améliorer le pouvoir d'achat des Français, avec l'amélioration de la croissance et de meilleures rentrées fiscales.
"Considérer qu'il y a une cagnotte dans un pays qui depuis plus de 40 ans vote un budget en déséquilibre, qui a accumulé quasiment 100% de la richesse nationale en dette, ce n'est pas une cagnotte", a-t-il déclaré au "Grand rendez-vous" de CNews, Europe 1 et Les Echos.
"Notre objectif c'est de faire en sorte que pour nos enfants, la génération d'après, la dette soit moins importante", a-t-il fait valoir.
"On vise un objectif d'avoir des déficits réduits au maximum - autour de 1% à la fin du quinquennat -, parce que nous considérons qu'un Etat endetté n'a pas la possibilité de mettre en place les politiques qu'il souhaite", a souligné le porte-parole du gouvernement.
"C'est retrouver de la souveraineté que de s'attaquer à la dette et aux déficits", a-t-il conclu.
Benjamin Grivaux a par ailleurs confirmé que la suppression annoncée des cotisations sur les heures supplémentaires serait effective "à l'horizon 2020".
"Pendant la campagne présidentielle, Emmanuel Macron s'est engagé à dire qu'il fallait supprimer les cotisations sur les heures supplémentaires", a-t-il rappelé. "Ce sera fait à l'horizon 2020. Pas avant pour une raison simple, nous avons une question de sérieux budgétaire à tenir, une trajectoire, des engagements que nous avons pris vis à vis de nos partenaires européens".
"Ce sera fait. Pourquoi ? Toujours dans la même logique, il faut que la travail paie mieux (...) On supprime les cotisations sur les heures supplémentaires", a-t-il martelé.
Le 6 février, le Premier ministre Édouard Philippe avait évoqué lui-même la "désocialisation" des heures supplémentaires, c'est-à-dire la suppression des cotisations des employeurs et des salariés, à l'horizon 2020.
© 2018 AFP
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