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Locations touristiques à Paris: déjà plus d'amendes qu'en 2017, selon

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Forhum Forhum
23/08/2018 09:37:12
0
cricri faisant du second degré ?


je pense pas ..il croit vraiment ce qu'il écrit ..


(^o^)



  
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joseph_P joseph_P
22/08/2018 21:28:47
0
CRI.
Dès fois, je me demande si je ne passe pas à coté de votre second degré ?
  
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CRI74 CRI74
22/08/2018 20:41:47
2
Il ne fait que tenter de réguler l'anarchie qui s'invite dans notre pays .
Peu importe son étiquette pourvu qu'il tape le plus fort possible sur les délinquants de la démocratie !
  
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joseph_P joseph_P
22/08/2018 19:27:53
1
Ian Brossat, adjoint au logement (PCF) à la Mairie de la capitale. Un communiste (les derniers au monde se trouvent en France, je propose l'ouverture d'un parc pour les rassembler, Marne la Vallée ?), qu'attendre d'autre que des sanctions infligées à des citoyens, des fous, qui ambitionnent de gagner de l'argent de la part d'un supporter de Lenine.

C'est simple chez les socialoïdes, il faut tout réglementer et les problèmes de logement, s'il y en a, c'est fatalement de la faute de ceux qui louent le leur par RnB.
C'est curieux même, les gens doivent adorer les complications car, louer son logement via RnB n'est pas de tout repos : il faut recevoir les gens, il faut que le logement soit nickel sinon tu ramasses une dérouillé sur la plateforme et après tu pourras plus le louer, il faut assurer le nettoyage, le remplacement des draps et du linge, et recommence la galère à chaque location.

Il y a un truc plus simple, c'est de louer au même locataire, qui paye un loyer mensuel et basta. En fait non... le gugusse qui ne paye pas, si il veut rester dans ton logement et tout péter en prime, même un commando de Femen avec Anne Hidalgo et Schiappa à leurs tête ne pourrait le déloger. Voir la police ? ils n'ont pas que ça à faire, faut mettre des PV de stationnement. Prendre un avocat et traîner le locataire impécunieux au tribunal ? Bonne chance ! dans 3 ans t'y est encore.

Mais tout ça, le communiste adjoint au logement à la Mairie de Paris, il ne le sait pas. Lui il loge probablement dans une "HLM" en plein centre de Paris pour 3 balles douze.
Alors l’escroc de propriétaire qui loue son bien, sa propriété, pour lequel il est rincé de taxes et impôts de toute sorte, il le lamine en lui collant des amendes.

Non, sans rire, nous irions où si dans ce pays certains se prenaient à gagner leur vie en toute indépendance, je vous le demande !
  
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joseph_P joseph_P
22/08/2018 19:27:53
0

Le volume d'amendes infligées pour des locations touristiques illégales à Paris en 2018 est déjà supérieur à celui enregistré sur l'ensemble de l'année 2017, selon Ian Brossat, adjoint au logement (PCF) à la Mairie de la capitale (AFP/Archives/GERARD JULIEN)

Le volume d'amendes infligées pour des locations touristiques illégales à Paris en 2018 est déjà supérieur à celui enregistré sur l'ensemble de l'année 2017, soit plus de 1,3 million d'euros, a annoncé mercredi Ian Brossat, adjoint au logement (PCF) à la Mairie de la capitale.

"Entre le 1er janvier 2018 et le 15 août, on a enregistré 1,38 million d'euros d'amendes liées à des locations de meublés touristiques illégales", a indiqué M. Brossat à l'AFP, en rappelant qu'en 2017, 1,3 million d'euros avaient été collectés au 31 décembre.

Selon M. Brossat, 111 logements sont concernés pour une moyenne de 12.000 euros d'amende. Il s'agit de "multi-propriétaires" louant indument leur(s) résidence(s) secondaire(s).

"Ce sont des professionnels déguisés en amateurs", s'indigne ainsi M. Brossat en soulignant que les annonces en cause étaient "très massivement" passées sur la plateforme Airbnb.

Timothée de Roux, président de l'Union nationale pour la promotion de la location de vacances (UNPLV), a affirmé de son côté à l'AFP que le phénomène "reste tout à fait marginal" et circonscrit à "certaines zones d'habitat tendues", dans des "villes où il y a un problème de logement avéré" comme Paris.

"Toutes les plateformes de l'UNPLV (Airbnb compris, ndlr) sont engagées pour lutter contre les spéculateurs immobiliers", a rappelé M. de Roux.

Paris a récemment renforcé son arsenal juridique contre les locations illégales, en imposant par exemple d'afficher un numéro d'enregistrement sur les annonces, notamment pour vérifier que les propriétaires ne dépassent pas la durée limite légale de location de 120 jours par an pour les résidences principales.

Une mesure jugée "inefficace" par le président de l'UNPLV, qui souligne que "très peu de propriétés se sont enregistrées". En avril, la ville avait d'ailleurs assigné en référé les plateformes Airbnb et Wimdu, accusées de ne pas avoir retiré les annonces sans numéro d'enregistrement.

Le projet de loi sur le logement (Elan), toujours en cours d'examen au Parlement, prévoit de renforcer la réglementation en obligeant le loueur à transmettre à la commune le décompte du nombre de nuitées ayant fait l'objet d'une location pendant l'année. Il appelle aussi des sanctions accrues contre les propriétaires ne respectant pas leurs obligations et de nouvelles amendes pour les plateformes.

M. de Roux juge ces nouvelles sanctions "totalement disproportionnées", rappelant que "le secteur de la location saisonnière est massif en France" et qu'il vaudrait mieux "considérer ce secteur comme une opportunité pour le tourisme" plutôt que "comme une menace qu'il faut sans arrêt réglementer".

Dans Paris intra-muros, Airbnb compte 65.000 hébergements, alors que 80.000 chambres d'hôtels existent dans la capitale.

Selon la Ville, Paris a perdu en cinq ans quelque 20.000 logements, transformés en meublés touristiques et loués en permanence.

© 2018 AFP

  
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