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Le prélèvement à la source suspendu aux doutes d'Emmanuel Macron

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CRI74 CRI74
30/08/2018 22:56:07
0
En attaquant constamment le pouvoir d'achat de la majorité des français , il va de soi que la croissance déjà moindre que chez nos partenaires ait quelques plombs dans les chaussures .
Qu'il demande aux entreprises de remplacer la consommation avec les cadeaux somptueux qu'il leurs fait (avec nos
impôts ! ) suivant son utopique politique de la demande .... issue de quel argent , constamment rogné ?

Message complété le 30/08/2018 22:59:59 par son auteur.

Les questions qu'il se pose aujourd'hui , c'est avant le lancement du projet qu'il faut y réfléchir et pas après avoir dépenser des dizaines de millions pour s'adapter puis reculer au dernier moment .
Cela fonctionne très bien ailleurs et sans problème particulier pour les populations qui y sont soumis , nous serions donc plus bête que la moyenne ; à moins que le système soit vicié dès le départ !

Message complété le 30/08/2018 23:00:19 par son auteur.

dépensé

  
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Alex282 Alex282
30/08/2018 22:33:24
0
Il commence surtout à craindre pour la croissance qui sera une fois de plus touchée de plein fouet et ceci au minimum pour les 2 années qui suivent !!
  
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moicmoi moicmoi
30/08/2018 21:56:43
2
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

Il suffisait de généraliser la mensualisation, qui marche fort bien. L’objectif de récupérer le pognon tous les mois était atteint.

A moins qu’il fallait trouver une astuce pour des augmentations masquées « non douloureuses » ? Mais non. En France, les hauts fonctionnaires ont besoin de se masturber la cervelle, pour prouver la nécessité leur existence inutile. Pour prouver qu’ils sont utiles à la société. Ils ont toujours besoin d’un justificatif .
Une usine à gaz sans une multitude de tuyaux, ça n’est pas une vraie usine.
Est-ce que macron commence à comprendre que les Français ne sont pas aussi cons qu’il le croit ?
  
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de de de de
30/08/2018 20:50:47
1
en Belgique ça fait 30 ans que ça existe
en France ça patine les fonctionnaires font semblant d'y travailler
y a qu'a prendre exemple sur les pays ou ça marche bien
mais en France ils vont encore nous pondre une idée de merde...
  
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de de de de
30/08/2018 20:50:47
0

Emmanuel Macron lors d'une conférence de presse à Helsinki, le 30 août 2018 (AFP/ludovic MARIN)

L'entrée en vigueur du prélèvement à la source au 1er janvier n'est plus certaine: Emmanuel Macron a annoncé jeudi qu'il attendait "des réponses précises" avant de décider, après des mois de préparation du pays à cette réforme majeure.

"J'ai plutôt l'intention de conduire cette réforme à son terme, mais j'ai demandé aux ministres compétents de répondre à toutes les questions qui se posent encore, avant de donner une directive finale", a dit le président au cours d'une conférence de presse à Helsinki.

"J'ai besoin d'une série de réponses très précises et d'être sûr de ce que nos concitoyens vivront le jour où on le mettra en place si on le met en place", a-t-il ajouté.

Dimanche, le Premier ministre Edouard Philippe avait déjà semé le doute en promettant de faire "le point" d'ici quelques semaines.

Lancée sous le quinquennat précédent, la réforme, qui va concerner près de 38 millions de foyers fiscaux, avait déjà été retardée d'un an par le gouvernement d'Edouard Philippe à son arrivée.

L'impôt sera collecté directement sur les salaires ou les retraites, et non plus acquitté un an après comme c'est le cas actuellement.

Depuis plusieurs jours, les contribuables voient arriver dans leur boîte aux lettres leur avis 2018 assorti d'un taux d'imposition qui leur sera applicable à compter de janvier 2019.

"La modernisation de l'impôt est une chose positive qui doit être soutenue par l'ensemble de l'opinion publique" et il faut s'assurer "qu'il n'y ait pas de bug informatique", a expliqué sur CNews le ministre de Comptes publics Gérald Darmanin, suite à la déclaration de M. Macron.

Le ministre assurait encore lundi que le prélèvement à la source "n'est pas repoussé", tandis que le directeur des finances publiques Bruno Parent affirmait que "la machine est lancée" et qu'"elle ne peut plus s'arrêter".

La direction générale des finances publiques (Dgfip) a enfoncé le clou jeudi dans un tweet assurant que le "calendrier serait tenu", assorti d'un hashtag +gauloispasréfractaire+, en un clin d'oeil aux propos d'Emmanuel Macron. Elle a ensuite supprimé ce message en raison des commentaires qu'il a suscités.

Des réunions sur le sujet doivent avoir lieu tout le mois de septembre, avait encore indiqué M. Darmanin lundi.

- ajustements et craintes -

La mise en œuvre du dispositif suscite la préoccupation de chefs d'entreprise et de syndicats, qui s'inquiètent de possibles failles ou angles morts.

Le gouvernement a déjà procédé à des ajustements ces dernières semaines: début juillet, il a ainsi annoncé un report à 2020 du prélèvement à la source pour les employés de particuliers-employeurs, en raison du retard pris dans la mise en œuvre de la plateforme informatique dédiée aux déclarations de salaires.

Mi-août, l'exécutif a de nouveau revu sa copie en annonçant un mécanisme permettant aux entreprises de moins de 20 salariés de se décharger de la collecte de l'impôt, via le dispositif Titre emploi service entreprise (Tese), utilisé pour les cotisations Urssaf.

"Il est normal que nous nous assurions que les détails soient bien clairs", a souligné Emmanuel Macron au côté du Premier ministre finlandais Juha Sipila, qui a vanté le prélèvement à la source, appliqué dans son pays depuis des décennies, comme dans la majorité des pays industrialisés.

La réforme est critiquée par des responsables de l'opposition, comme Laurent Wauquiez (LR), qui a demandé mercredi à l'exécutif d'y renoncer, jugeant qu'il était "encore temps" d'arrêter une réforme "qui va dans le mur".

Alexandre Derigny, de la CGT Finances publiques, estime de son côté qu'"on est au-devant de toute une série de problèmes qui sont pour certains sans solution".

Au-delà des risques techniques, c'est l'impact psychologique de la réforme qui provoque des sueurs froides -- notamment au sein de la majorité, où l'on redoute une vague de mécontentement lorsque les Français verront leur salaire net baisser.

Des craintes écartées par le gouvernement, qui rappelle que les Français ont actuellement tendance à "sur-épargner en prévision des impôts futurs", ce qui nuit à la consommation.

© 2018 AFP

  
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