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Message complété le 17/09/2018 14:28:29 par son auteur.
à savoir que la nouvelle liste est quasiment la même 42 contre !!
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Message complété le 17/09/2018 09:54:45 par son auteur.
De mon côté, je reste d'un calme olympien !
Message complété le 17/09/2018 10:30:34 par son auteur.
Par contre, quand tu parles………….
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Message complété le 16/09/2018 10:11:16 par son auteur.
umps* et non mps
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Message complété le 15/09/2018 21:10:33 par son auteur.
enfoirés = UMPS
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Message complété le 15/09/2018 09:30:43 par son auteur.
Et une question au passage :
Comment ce fait qu'une boite qu'une Bayer qui fait des spécialités pharmaceutiques puisse à l'autre bout de la chaine racheter une boite de phytosanitaires qui empoisse l'environnement et rends l'homme malade... pour mieux avoir à le soigner...
ça s'appelle du lobby et du conflit d'intérêt flagrant...
Consternant, et dire que l'homme se dit une espèce évolué... Je vois personnellement peu en quoi vu que son développement consiste en l'anéantissement et l'asservissement du reste des occupants de la planète tous règnes confondus.
La connerie humaine a effectivement depuis longtemps dépassé la fiction...
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Nouveau débat enflammé à l'Assemblée sur le glyphosate, mais résultat inchangé: l'interdiction de l'herbicide controversé d'ici trois ans ne sera pas inscrite dans la loi, ont décidé les députés dans la nuit de vendredi à samedi.
Au terme d'un long débat en nouvelle lecture du projet de loi agriculture et alimentation, les députés ont rejeté au petit matin l'ensemble des amendements visant à graver dans le texte l'engagement présidentiel d'interdire la substance, "au plus tard dans trois ans".
Le scrutin le plus serré a porté sur un amendement du "marcheur" François-Michel Lambert, rejeté par 42 voix contre 35, les autres amendements, défendus notamment par l'ex-ministre de l'Ecologie Delphine Batho ou les Insoumis étant rejetés plus largement.
Tous ces amendements avaient le soutien de l'ensemble de la gauche, plaidant pour un "signal fort" sur ce sujet.
En mai, lors de la première lecture du texte, des députés, y compris certains "marcheurs", avaient déjà plaidé en vain pour sanctuariser dans la loi l'engagement présidentiel. Ils avaient eu le soutien de Nicolas Hulot, alors ministre de l'Ecologie.
Comme au printemps, le ministre de l'Agriculture Stéphane Travert s'est opposé aux amendements mettant en avant la "méthode" du gouvernement: "task force", mobilisation de la recherche pour développer des solutions agronomiques, mission parlementaire...
"La position de la France est désormais connue", et "nous souhaitons être au rendez-vous dans les trois ans" pour "répondre à l'objectif présidentiel, mais surtout à la demande de la population", a-t-il affirmé.
Il a obtenu l'appui du rapporteur Jean-Baptiste Moreau (LREM) pour qui inscrire l'engagement dans la loi sur cette substance jugée "cancérigène probable" par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) "ne sert à rien".
M. Moreau s'est aussi appuyé sur les déclarations de Matthieu Orphelin (LREM), un des fers de lance du combat contre le glyphosate en mai, qui avait expliqué jeudi dans l'hémicycle avoir pris note de toutes les "avancées obtenues depuis" et ne pas vouloir "refaire le match".
D'autres élus LREM ont mis en avant "la responsabilisation des acteurs" et leur refus de voir l'opposition essayer de "préempter" l'engagement présidentiel.
"Dès lors que vous êtes confiant dans la méthode qui est la vôtre, pourquoi refuser d'inscrire dans la loi?", a questionné de son côté Guillaume Garot (PS).
"Si la France ressemblait à tous les engagements successifs pris par les présidents, ça serait le paradis", a ironisé de son côté François Ruffin (LFI), son collègue Alexis Corbière promettant à la majorité un "effet dévastateur".
Les députés, ont adopté dans la foulée vers 5 heures du matin l'ensemble du projet de loi. Le texte reviendra en nouvelle lecture au Sénat le 25 septembre, marquant le début de la session extraordinaire à la chambre haute.
© 2018 AFP
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