OK
Accueil > Communauté > Forum Cac 40

L'Insee abaisse à son tour sa prévision de croissance pour 2018

Cours temps réel: 8 044,77  0,35%



Dubaisan Dubaisan
05/10/2018 15:32:39
0
Ah ce credeau!
J'ai cru un instant mais..... bien sur, si la speculation n'est pas mon credo, elle n'en reste pas moins un creneau, Luncyan!
  
Répondre
Luncyan Luncyan
05/10/2018 13:28:21
1
Il faut que je cesse les expressions compliqués. C’est une horreur
  
Répondre
Dubaisan Dubaisan
05/10/2018 13:17:34
1
  
Répondre
fraxinus fraxinus
05/10/2018 13:16:59
2

Bonjour à toutes et à tous,
@ Lucyan, , svp, rectifiez moi vite ce Credo qui donnera une migraine à notre Dubaisan

Message complété le 05/10/2018 13:18:42 par son auteur.

Evidemment avec un gros sourire

  
Répondre
Luncyan Luncyan
05/10/2018 13:11:33
2
Dubaisan speculateur ? Ce credeau ne vous sied point !
  
Répondre
Dubaisan Dubaisan
05/10/2018 13:03:56
1

Cri 74,
La baisse du Cac actuelle que Gars d'Ain mettait en evidence, ne me semble pas liee a une "casse industrielle" mais a des comportements de marches bien identifies.
Maintenant, les chiffres du commerce exterieur francais ont toujours ete mauvais depuis 30 ans au moins... Rien de nouveau! A part des Airbus, du vin et du luxe .......


Augustus,
Parfaitement d'accord avec vous, mais lorsqu'on a des variations de 200 points sur des UT de 10 jours en moyenne, ca vaut le coup parfois d'y reflechir.
  
Répondre
CRI74 CRI74
05/10/2018 10:57:36
1
La casse industrielle n'y serait pour rien ?
Il vous faudra sortir de Chine pour le vérifier , si les chiffres du commerce extérieur ne vous en rappellent pas la véracité flagrante
  
Répondre
Augustus Augustus
05/10/2018 10:55:22
1

Salut on ne schorte jamais une tendance neutre ou en range , mais tout dépend aussi de son horizon de temps bien sur

ce n'est que mon humble avis
  
Répondre
Dubaisan Dubaisan
05/10/2018 10:52:38
0
On peut toujours shorter!
  
Répondre
Dubaisan Dubaisan
05/10/2018 10:52:06
0
On peut toujours shorter!
  
Répondre
Augustus Augustus
05/10/2018 10:36:31
0

Salut donc on ferme boutique sur les places boursier?

  
Répondre
Dubaisan Dubaisan
05/10/2018 10:34:57
1

Je crains que le Gvt francais n'y soit pas pour grand chose... et ca n'a rien a voir avec une "casse industrielle".
La fin des QE aux USA accelere la remontee des taux. Le 10 ans a deja atteint les 3.193% et ce n'est pas fini. Les marches actions sont survendus par les fonds et gerants pour se placer sur les marches obligataires. C'est tout simple et ca s'appelle: re-allocation d'actifs....

Message complété le 05/10/2018 10:50:13 par son auteur.

Ce qui veut dire aussi que l'on risque de connaitre a moyen terme une bulle sur le marche obligataire qui fera tres mal si elle explose car la situation sera:

1)marches actions deja au plus bas.
2)blocages economiques dus au relevement de tarifs, entrainant des pertes ou de fortes reductions des capacities industrielles au pire des faillites, baisse des salaires, de la consummation, des investissements ect....
3)Incapacite des Etats a rembourser leurs emprunts (capacite fiscale reduite), banques en situation intenable, nouvelle crise financiere d'ampleur cette fois-ci.

  
Répondre
lfdp lfdp
05/10/2018 07:51:18
0
Malgré le Brexit, les élections européennes et sans savoir si le prélèvement à la source sera neutre d'effet, l'INSEE prévoit 1,6%.
- ne nous fâchons pas,...@@@@
  
Répondre
CRI74 CRI74
04/10/2018 23:42:39
0
Il était assuré que la prévision soit trop élevée vu les deux premiers trimestres . On corrige donc le chiffre annuel mais la croissance S2 devrait néanmoins se comporter bien mieux qu'en début d'année sauf coup de frein brutal de dernière minute .
Quant à savoir d'où vient le mal , l'esprit français près à dégainer son meilleur pessimisme à la moindre occasion doit sans doute se reconnaître .
Je ne suis pas certain qu'un gouvernement qui s'acharne à tout tirer vers le bas en cassant ce qui fonctionne puisse réellement assurer les fondements de la croissance . La casse industrielle se poursuit sans faille , une méthodologie extrêmement nuisible à court , moyen et long terme .
Et personne pour stopper ce mouvement désastreux
  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
04/10/2018 20:41:40
3
S'il avait un peu moind de connerie politique d'éco-nombrilisme de surmoi en France, en Europe et dans le monde, on n'en serait surement pas...

Je vient d'aller faire un tour sur mon indicateur de survente, on est à 209 surventes d'actions pour seulement 79 surachats, ça veut dire que l'on vend actuellement tout, mais l'on cherche à garder quelques meubles de famille...

Bref, c'est pas réjouissant, et ça devrait empirer...
  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
04/10/2018 20:41:40
0

L'Insee abaisse à son tour sa prévision de croissance pour 2018 (AFP/Archives/Philippe HUGUEN)

Nouveau coup de rabot sur les perspectives économiques tricolores: l'Insee a abaissé jeudi sa prévision de croissance pour la France en 2018, malgré le rebond attendu de l'activité au deuxième semestre, dans un contexte favorable au pouvoir d'achat.

Selon l'Institut national de la Statistique, qui publiait jeudi sa note de conjoncture trimestrielle, le produit intérieur brut (PIB) hexagonal devrait augmenter de 0,5% au troisième trimestre, puis de 0,4% sur les trois derniers mois de l'année.

Cette dynamique positive n'empêchera toutefois pas un net ralentissement de l'activité en 2018. D'après l'Insee, la croissance ne devrait ainsi pas dépasser 1,6% cette année, loin des 2,2% (2,3% en données corrigées des jours ouvrés) atteints l'an dernier.

Cette nouvelle prévision, en baisse de 0,1 point par rapport à l'hypothèse publiée en juin par l'institut public, est conforme aux dernières prévisions de l'OCDE et de la Banque de France. Elle est inférieure en revanche à celle du gouvernement, qui a revu à la baisse son pronostic, mais à 1,7%.

En cause: le "trou d'air" traversé par l'économie tricolore début 2018, à la fois plus long et plus important qu'anticipé. Au premier comme au deuxième trimestre, la croissance a ainsi plafonné à 0,2%, ce qui a plombé mécaniquement les perspectives pour l'ensemble de 2018, rappelle l'Insee.

- "meilleure fortune" -

"La première moitié de l'année 2018 a été plus difficile que prévu" en raison de "facteurs ponctuels et spécifiques à la France", comme les "grèves dans les transports" et "sans doute la baisse du pouvoir d'achat", explique l'organisme public, qui s'attend désormais à ce que l'activité reprenne du "tonus".

"Beaucoup d'ingrédients semblent en effet réunis pour contribuer à un retour à meilleure fortune au troisième trimestre", avec un "sursaut provenant en particulier de l'industrie" et des perspectives favorables pour le pouvoir d'achat, ajoute-t-il.

Ce dernier, qui avait reculé de 0,5% début 2018, devrait croître de 0,5% entre juillet et septembre puis bondir de 1,7% sur les trois derniers mois de l'année, porté par la baisse de la taxe d'habitation et par la suppression du reliquat de cotisations d'assurance chômage pour les salariés.

Une bonne nouvelle pour la consommation des ménages, qui devrait également profiter du "rebond" du nombre d'immatriculations d'automobiles observé durant l'été, en raison selon l'Insee de l'anticipation du changement de procédure d'homologation des véhicules neufs.

L'investissement des entreprises, autre moteur important pour la croissance, devrait pour sa part rester solide, avec une progression attendue autour de 0,9% par trimestre, la baisse du climat des affaires semblant désormais "endiguée", d'après l'organisme public.

Quant aux exportations, elles devraient accélérer en fin d'année, sous l'effet du calendrier des livraisons aéronautiques: la contribution du commerce extérieur à la croissance redeviendrait ainsi légèrement positive au deuxième semestre, après avoir pénalisé l'activité début 2018.

- "risques internationaux" -

Ces éléments favorables, d'après l'Insee, devraient permettre à l'emploi marchand de continuer à progresser. Quelque 129.000 emplois nets seraient ainsi créés en 2018 -- un chiffre inférieur aux 342.000 créations nettes de 2017 --, grâce notamment au développement des contrats aidés nouvelle formule.


Des Français consultent des offres d'emplois à Tourcoing, dans le nord de la France, le 04 octobre 2018 (AFP/Archives/Philippe HUGUEN)

Le taux de chômage devrait pour sa part légèrement reculer, pour atteindre à la fin de l'année 8,9% de la population active en France entière (hors Mayotte), avec une baisse prévue d'environ 0,1 point par trimestre.

Ce scénario, qui table sur un redémarrage assez net de l'activité, "n'est pas exempt de risques, surtout internationaux", prévient toutefois l'Insee, qui pointe notamment les "conséquences des mesures protectionnistes sur le commerce mondial" et les "modalités du Brexit".

"En France, les enquêtes montrent que les ménages n'ont pas encore intégré dans leurs anticipations la hausse à venir de leur pouvoir d'achat", relève par ailleurs l'Institut national de la statistique, pour qui "leur comportement de consommation pourrait donc surprendre, à la hausse comme à la baisse".

Un risque lourd d'enjeux pour le gouvernement, qui s'est engagé à contenir le déficit public à 2,6% du PIB -- ce qui implique de maintenir les recettes fiscales, très dépendantes de la consommation, à un niveau élevé, surtout si la croissance atteint 1,6% au lieu des 1,7% escomptés par Bercy.

© 2018 AFP

  
Répondre

Forum de discussion Cac 40

201810051532 651274

Investir en Bourse avec Internet

Ma liste