Le gouvernement tente de désamorcer le mécontentement face au prix de

Comme commencent à le dire certains sur un forum politique, il suffirait peut être de bloquer un seul homme et pas des millions !

gars d'ain

La madame, elle a dit :

« Mais nous avons 3,8 milliards d'euros de dispositifs d'aide pour accompagner ces Français dans la transition écologique" »

Oui, bien sûr. Mais combien de smicards auront les moyens de changer de bagnole ? Aides ou pas ?

Elle en sait rien du tout. Ça ne lui est même pas venu à l’esprit (esprit es-tu là? Pas sûr que je sois là.)

Au sujet de cette aide, je soupçonne encore une arnaque de la part de macron et sa clique : combien va leur rapporter la hausse des carburants, en regard de ces 3,8 milliards d'euros d'aide ? Pourquoi elle n’en parle pas, la madame ?

Et dans pas longtemps, avec le train de hausses de macron, c’est la classe au-dessus du smicard qui n’aura plus les moyens de rien. Et l'année suivante.....

« « Je propose qu'elle soit débarqué en Lozère un soir d'hiver, sans voiture, sans portable et internet juste pour voir... » »

Ah oui, oui !!! Clap, clap, clap….Et moi, je propose que ce soit le 24 décembre, vers les 21/22 heures. En espérant que cette nuit-là, le réchauffement climatique soit inscrit aux abonnés absents.
Je ne sais pas si je deviens politicons-phobe, ou si l’impression qu’on se fout de notre gueule est avérée.

Je note : ""Je ne nie pas le fait que ce soit difficile pour certains Français qu'on augmente la fiscalité sur le gazole. Mais nous avons 3,8 milliards d'euros de dispositifs d'aide pour accompagner ces Français dans la transition écologique", a défendu la secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, Brune Poirson, au micro de Sud Radio."

Foutaise totale...

C'est assez facile de demander aux pauvres d'être conciliant quand on vient d'un monde ou tout est finalement assez bien tombé tout seul dans l'assiette sans jamais à trop avoir à demander...

cette chère demoiselle " Consultante en innovation et développement urbain durable" n'a manifestement jamais dû émarger avec un salaire de pauvre et aura encore surement pu compter sur ses accointances politiques pour q'on lui trouve quelque chose...

Ce gouvernement est décidement de plus en plus pourri... Et au passage, c'est encore une personnalité haute diplômée qui n'a que peut vécu, mais qui manifestement prétend donner des leçons en matière de transports.

Je propose qu'elle soit débarqué en Lozère un soir d'hiver, sans voiture, sans portable et internet juste pour voir...

Ce que je disais sur une autre file. La France est très vertueuse donc, pour sauver la planète la France taxe et surtaxe, seulement voila, l'économie en France n'est portée que par la consommation intérieure, les taxes augmentent le chômage aussi. La Chine, l'Inde, la Russie, les États unis et tous les pays de l'Est polluent à tour de bras, mais soutiennent leurs économies, mais nos gouvernants et depuis Giscard préfèrent soutenir le chômage et le bien être de nos monarques démocrates Républicains. Mais nos débiles semblent oublier que la France représente 1% de la population mondiale soit peanuts.

draner77
" » »Ca vous arrive de penser avec autre-chose que votre bite ? » »

Qui a parlé de bite ?

« « Gouvernement d'enculés ! » »

Enculés ? Avec quoi ? Pas une bite, quand même .

Ceci dit, la minette gouvernementale , placée là pour faire joli, (le sucre autour de la pilule, en quelque sorte) nous dit :

«d'un côté on allège les charges sur le travail et de l'autre on taxe plus la pollution", » »

Ah !!! La pollution !!! Quelle foutaise !!! Encore un beau prétexte vertueux, que nous ne pourrons jamais maîtriser à nous tout seul.

Ce qu’elle oublie de préciser, c’est que les salariés gagneront 10 euros /mois en diminution des charges, mais qu’ils dépenseront 50 euros/mois en augmentation des carburants. Sans compter toutes les autres augmentations de-ci de-là.
Si l’on faisait le total de toutes les augmentations décidées sur tous les produits de la vie courante, de première nécessité et produits « captifs » (dont on ne peut échapper), nous aurions de sacrées surprises.
Pas surprenant que pas un seul média ne se lance dans ce calcul. Ce serait l’ étincelle au milieu d’un baril de poudre à canon.

MCM qui a voté ?

tu t'avance mais as tu des preuves ?

en fait tu devrais dire : vous n'avez pas voté comme moi ;))

plus elle sont mignonnes, plus elles nous prennent pour des cons... comme MMLP !!

Message complété le 25/10/2018 15:09:12 par son auteur.

draner en fait penser que quelqu'un est mignonne ne veut pas dire sex !! mais dire qu'elle est plaisante à regarder !!

"bref elle est mignonne."

Ca vous arrive de penser avec autre-chose que votre bite ?

« « bref elle est mignonne. » »

Mignonne ou pas, elle nous prend pour des cons.
En 2017, vous avez voté pour une machine à taxes. Eh bien, vous l’avez, maintenant (je ne précise pas où)

lol à 200dol le brent on n'était pas si haut sur le prix à la pompe.. alors à 80 dol ^^

bref elle est mignonne.

La secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, Brune Poirson, quitte l'Élysée à Paris, le 17 octobre 2018 (AFP/Archives/JACQUES DEMARTHON)

Plusieurs membres du gouvernement tentaient jeudi de désamorcer le mécontentement croissant des Français au sujet de la hausse des prix du carburant, alors que des appels au blocage des routes pour le 17 novembre se multiplient sur les réseaux sociaux.

"Je ne nie pas le fait que ce soit difficile pour certains Français qu'on augmente la fiscalité sur le gazole. Mais nous avons 3,8 milliards d'euros de dispositifs d'aide pour accompagner ces Français dans la transition écologique", a défendu la secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, Brune Poirson, au micro de Sud Radio.

"Regardons la fiscalité dans sa globalité, d'un côté on allège les charges sur le travail et de l'autre on taxe plus la pollution", a-t-elle ajouté.

La ministre des Transports, Elisabeth Borne, invitée de Radio Classique, a souligné pour sa part que la hausse des carburants était "en grande partie liée à l'évolution des cours mondiaux du pétrole".

Dans les faits, les prix de l'or noir se sont en effet redressés cette année, passant de 65 dollars début janvier pour le baril de Brent de la mer du Nord à 86 dollars début octobre, avant de refluer autour des 75 dollars actuellement.

Le prix moyen d'un litre de sans plomb 95 à la pompe s'élevait la semaine dernière à 1,55 euro, à peine plus que celui du gazole, à 1,52 euro, selon le ministère de la Transition écologique et solidaire.

Mais la hausse du prix des carburants s'explique aussi par la taxation qui s'est alourdie, surtout pour le diesel depuis le 1er janvier.

Les taxes sur le gazole ont ainsi augmenté de 7,6 centimes par litre au total, avec notamment la contribution climat énergie ("taxe carbone"). Pour l'essence, l'augmentation a été de 3,9 centimes par litre.

Carburants : une nouvelle signalétique (AFP/Sébastien CASTERAN)

Cette politique devrait être renforcée en 2019, avec des hausses de 6 centimes pour le diesel et 3 centimes pour l'essence, puis à nouveau jusqu'en 2022, l'objectif étant de rendre l'essence moins onéreuse que le diesel, jugé plus polluant.

- Pétition et appels au blocage -

Sur ce sujet sensible, à l'heure où l'exécutif est englué depuis plusieurs mois dans une polémique sur le pouvoir d'achat, plusieurs membres de l'opposition ont dénoncé à l'unisson ces hausses cette semaine.

Lundi, l'ancienne ministre socialiste de l'Environnement, Ségolène Royal a affirmé que le gouvernement cherchait "à justifier un matraquage fiscal par l'écologie".

Un constat partagé par le président du groupe les Républicains à l'Assemblée, Christian Jacob qui estimait jeudi sur Europe 1 que ces "taxations punitives" servaient principalement à "faire marcher la pompe à fric" pour le gouvernement.

Dans ce contexte, la pétition lancée par Priscilla Ludosky, une automobiliste en colère, sur "Change.org" pour faire baisser les prix à la pompe a déjà recueilli plus de 175.000 signatures.

Et des appels à bloquer les routes et les autoroutes le 17 novembre prochain se multiplient sur les réseaux sociaux.

Une vidéo de Frank Buhler, qui se présente comme un délégué de circonscription du parti Debout la France (DLF) dans le Tarn-et-Garonne où il appelle à un tel blocage national "pour exiger une baisse des tarifs de l'essence", a été vue 2,6 millions de fois sur Facebook et était largement partagée jeudi.

© 2018 AFP