OK
Accueil > Communauté > Forum Cac 40

L'Iran promet de "contourner fièrement" les sanctions américaines

Cours temps réel: 8 088,24  0,89%



gars d'ain gars d'ain
05/11/2018 16:55:13
0

à écouter ...


Podcast "Interception" : "Iran : des sanctions pour seul horizon"

Dimanche 21 octobre 2018 par Philippe Bardonnaud , Vanessa Descouraux , Géraldine Hallot

https://www.franceinter.fr/emissions/interception/interception-21-octobre-2018

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/11/2018 16:22:10
3

Les sanctions nous qu'un seul but : relancer artificiellement la demande de pétrole à la hausse pour relancer la hausse des prix du brut et donc le PIB des US dont le pétrole de schiste coule à flot...


Je ne me fais aucune iullusion sur ce qu'il adviendra dans 20 à 30 ans des Zones d'extrations du ptéole de schistes, ce seront des zones invivables à cause du niveau de pollution des eaux douces... Et ceux qui avaient fait roi Trump viendront pleurer comme des madeleines et réciter "Proust" souvenirs de l'enfance d'un monde d'eden perdu à jamais...


Y'a qu'a voir ce qui se passe à Flint aux USA...


à écouter en Podscast, c'est passionnant et ça en dit long sur le miracle économique américain à cent lieues des promesses électorales de Trump.


<a href="https://www.franceinter.fr/emissions/interception/interception-04-novembre-2018">https://www.franceinter.fr/emissions/interception/interception-04-novembre-2018</a>


Ces gens ont hautement de l'eau polluée pour unique service publique d'approvisionnement : consternant et affligeant...



  
Répondre
realnogains realnogains
05/11/2018 16:13:00
1

Bonjour gars d'ain.

Juste pour info ( elle est vrai)

Pas mal de personnes contourne la sanctions américaine .( du donald / dingue)

Je connais une boite en france qui depuis maintenant 6 mois essaye de passer un contrat avec une boite iranienne .

Alors entre ce que l'ont entend à la télé et médias ( dans la vraie vie ,les choses se passe souvent autrement)

Quand le contrat sera signé ( je te mettrai un MP)

cordialement

@ plus

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/11/2018 15:39:29
2

Quand le gendarme autoproclamé du monde nous prend pour des cons et des béni-oui-oui...

Et parmi les 187 pays qui restent, personne pour se liguer contre Trump ?

Et oui, y'ont tous le trouillomètre à zéro à l'idée de faire une croix sur les GAFA que par ailleurs on refuse encore de taxer alors qu'ils confisquent la quasi totalité du poids économique du secteur sans passer par la casse "Impots"...

On se moque vraiment de nous : juste bons à continuer à payer des taxes diesel pour soi-disant réduire la pollution mondiale dont la plupart des état s'en fichent comme de l'an 40...

Article : "Sanctions américaines : Chine, Inde et Japon autorisés à acheter du pétrole iranien"


05/11/2018 | 15:10

Washington (AFP) -- Les Etats-Unis ont autorisé huit pays, parmi lesquels la Chine, l'Inde, le Japon, la Corée du Sud et l'Italie, à continuer d'acheter temporairement du pétrole iranien malgré les sanctions américaines rétablies lundi, a annoncé le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo.


Les autres pays qui bénéficient d'une dérogation de six mois sont la Grèce, la Turquie et Taïwan, a-t-il ajouté, promettant une pression "implacable" tant que le régime iranien n'aura pas pris "un virage à 180 degrés" dans son comportement "déstabilisateur" au Moyen-Orient.


"S'ils tentent de contourner nos sanctions, nous continuerons encore et encore à prendre des mesures pour perturber leur activité. La pression maximale exercée par les Etats-Unis ne va faire que s'accroître à partir de maintenant, les entreprises à travers le monde doivent comprendre que nous mettrons en oeuvre les sanctions de manière stricte", a renchéri le secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin lors d'une conférence de presse à ses côtés.


Washington a rétabli lundi les dernières sanctions levées dans le cadre de l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien, dont Donald Trump s'est retiré en mai.


Outre les sanctions contre les exportations de pétrole iranien, que l'administration américaine affirme vouloir réduire à zéro à terme, 50 banques iraniennes ont été notamment placées sur la liste noire des Etats-Unis, ainsi que plus de 200 personnes et navires des secteurs iraniens du transport maritime et de l'énergie, une compagnie aérienne iranienne et plus de 65 de ses avions.

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/11/2018 15:04:53
1

Question ?


Où L'Europe achète-elle les 230 000 barils qu'elle n'achète plus à l'Iran et dont elle a besoin ?


: (

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/11/2018 09:14:35
3
Je suis pour...

En démocratie, chacun peut décider de son destin en théorie, je ne vois pourquoi un seul individu au cerveau gangrèné (= Trump) deciderait du sort du reste de la planète au nom du principe unique d'America First" qui est la devise du KKK...

Au chiotte, l'arbitre économique !

Et j'espère que 'il va se prendre une veste aux élections de mi-mandat, les gens finiront bien par se rendre compte que cette politique , c'est de la poudre aux yeux pour farter la misère...
  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/11/2018 09:14:35
1

Le président iranien Hassan Rohani lors d'une conférence de presse en marge de l'Assemblée générale des Nations unies, le 26 septembre 2018 à New York (AFP/Archives/Jim WATSON)

Le président iranien Hassan Rohani a promis de "contourner fièrement" les nouvelles sanctions américaines, entrées en vigueur lundi et qui visent spécifiquement les secteurs pétrolier et financier iraniens, vitaux pour l'économie du pays.

Six mois après s'être retiré unilatéralement de l'accord sur le nucléaire iranien signé en 2015, le président américain Donald Trump a rétabli lundi des sanctions draconiennes contre les secteurs pétrolier et financier iraniens, qui avaient été levées sous Barack Obama.

"J'annonce que nous allons contourner avec fierté vos sanctions illégales et injustes car elles vont à l'encontre du droit international", a répliqué le président Rohani dans un discours télévisé.

- "Guerre économique" -

"Nous sommes en situation de guerre économique et nous affrontons une tentative d'intimidation. Je ne pense pas que dans l'histoire américaine il y ait eu jusqu'à présent quelqu'un à la Maison Blanche qui contrevienne à ce point au droit et aux conventions internationales", a clamé M. Rohani.


Donald Trump le 8 mai 2018, après avoir décrété le retrait des Etats-Unis de l'accord sur le nucléaire iranien (AFP/Archives/SAUL LOEB)

Adoptant une politique hostile à l'Iran depuis son accession au pouvoir en janvier 2017, M. Trump, pour qui l'accord sur le nucléaire est une aberration, avait rétabli dès août dernier une première série de sanctions économiques contre Téhéran.

Samedi, le guide suprême d'Iran Ali Khamenei a accusé le président américain d'avoir "discrédité" les Etats-Unis qui, selon lui, seront les ultimes perdants de cette politique.

"L'Iran va mal", a de son côté relevé dimanche le président américain. "Quand j'ai pris mes fonctions, juste avant, on pensait que l'Iran allait dominer tout le Moyen-Orient (...). Plus personne n'en parle aujourd'hui".

Les sanctions américaines s'apparentent à un chantage contre les pays tiers qui commercent actuellement avec l'Iran: les entreprises asiatiques ou européennes se verront interdites de marché américain si elles continuent d'importer du pétrole iranien, ou d'échanger avec des banques iraniennes ciblées par Washington. Beaucoup devraient choisir les Etats-Unis, ou l'ont déjà fait.

Huit pays bénéficieront toutefois d'une exemption pour le pétrole, dont la Turquie, et peut-être la Chine et l'Inde. La liste sera annoncée lundi.

Ce régime de dérogations est similaire à ce que les Etats-Unis pratiquaient de 2012 à 2015, avant l'accord sur le nucléaire iranien négocié sous Barack Obama. A l'époque, la Chine, l'Inde, la Turquie, la Corée du Sud, le Japon et Taïwan ont notamment été épargnés de sanctions américaines, au motif qu'ils réduisaient progressivement leurs importations de brut iranien. Des années plus tard, l'administration Trump a repris le même argumentaire.

"Il y a une poignée de pays qui ont déjà réduit de façon importante leurs importations de brut et ont besoin d'un peu plus de temps pour atteindre zéro, et nous allons leur donner ce temps", a dit le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo, dans une interview dimanche sur la chaîne Fox.

- "Déconnecter l'Iran" -

Concernant les sanctions financières, il a redit que plus de 600 individus et entités en Iran seraient placés sur une liste noire, un nombre supérieur à ceux qui en avaient été retirés après la conclusion de l'accord de 2015.


Les principaux importateurs de pétrole iranien (AFP/Selim CHTAYTI)

Le secrétaire au Trésor américain, Steven Mnuchin, a expliqué la semaine dernière que les Etats-Unis souhaitaient déconnecter l'Iran du circuit bancaire international Swift, ossature du système financier mondial, comme c'était le cas de 2012 à 2016.

L'économie iranienne souffrait déjà de nombreux maux avant l'offensive de Donald Trump.

Les exportations de pétrole, qui assurent 40% des recettes de l'Etat iranien selon la Banque mondiale, ont déjà baissé de 2,5 millions de barils par jour, à 1,6 million en septembre.

Pour continuer à écouler leur brut, les tankers iraniens se sont mis depuis quelques semaines à éteindre leurs transpondeurs afin de ne pas être repérés, mais des satellites les traquent.

Le premier marché pour le pétrole iranien est la Chine, suivie de l'Union européenne, de l'Inde et de la Turquie. Le Japon et la Corée du Sud ont quasiment réduit à zéro leurs importations.


Un Iranien brûle un dollar lors d'une manifestation le 4 novembre 2018 à Téhéran marquant le 39e anniversaire de l'occupation de l'ambassade américaine (AFP/ATTA KENARE)

Malgré l'animosité exprimée, M. Trump répète qu'il est prêt à rencontrer les dirigeants iraniens pour négocier un accord global sur la base de 12 conditions américaines: des restrictions beaucoup plus fermes et durables sur le nucléaire, mais également la fin de la prolifération de missiles et des activités jugées "déstabilisatrices" de Téhéran au Moyen-Orient (Syrie, Yémen, Liban...).

"Nous restons prêts à parvenir à un nouvel accord, plus complet avec l'Iran", a répété M. Trump vendredi. Mais les Iraniens ont déjà dit rejeter un dialogue avec Washington. "Il n'y aura pas de négociations avec les Etats-Unis", avait lancé clairement en août l'ayatollah Khamenei.

© 2018 AFP

  
Répondre

Forum de discussion Cac 40

201811051655 656189

Investir en Bourse avec Internet

Ma liste