Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Composition CAC 40 | Historiques | Forum |
L'Europe des hypocrites va de plus belle surtout représentée par Moscovici.
Répondre
|
CRI74,
je n'oublie rien, quant au taux à laquelle la France emprunte n'est pas gravé dans le marbre et je persiste à dire que Moscovici est un clown. D'ailleurs, comment doit on faire pour faire virer un comique de sa fonction. ?
Message complété le 12/12/2018 10:59:05 par son auteur.
Sans oublier que la France est sortie de la surveillance de la commission européenne qu'en juin 2018 car elle était le pire élève de l'Europe avec la Grèce. Et d'autre part, la dette Italienne est détenue à 50% par les Italiens, alors que c'est loin d'être le cas pour la France.
Répondre
|
cri
Vous oubliez un peu vite que l'endettement italien n'est pas tout à fait le même qu'en France, leurs taux non plus !
Donc vous confirmer , l'Europe a deux vitesses
Faites ce que je dis mais pas ce que je fais
Message complété le 12/12/2018 09:37:58 par son auteur.
confirmez
Répondre
|
Vous oubliez un peu vite que l'endettement italien n'est pas tout à fait le même qu'en France, leurs taux non plus !
Par contre , on persiste à vouloir dépasser 3% alors qu'on grave dans le marbre le CICE (40MDS) qui peut fort bien attendre ou se mettre en place de manière progressive , sachant que le gros de cette somme s'oriente vers les grandes entreprises qui n'en ont nullement besoin .Rappel : 97 Milliards de bénéfice pour les seules sociétés du CAC .Une bonne chose qui mériterait de se répartir un peu mieux
Répondre
|
Répondre
|
Faites ce que je dis mais pas ce que je fais
MDR
Répondre
|
Répondre
|
Le commissaire européen aux affaires économiques Pierre Moscovici a estimé, à propos du dépassement probable par le déficit français de la limite de 3% du PIB l'an prochain, que c'était "envisageable" de façon "limitée, temporaire et exceptionnelle", dans une interview au Parisien mercredi.
"Si l'on se réfère aux règles: dépasser cette limite peut être envisageable de manière limitée, temporaire, exceptionnelle", a-t-il déclaré, interrogé par un éventuel rejet par la Commission européenne du budget français pour 2019 si le déficit dépassait les 3%.
"Chaque mot compte: le dépassement éventuel des 3% ne doit pas se prolonger sur deux années consécutives, ni excéder 3,5% sur un an", a précisé M. Moscovici.
Le commissaire européen a souligné que les mesures annoncées lundi soir par le président Emmanuel Macron étaient "indispensables pour répondre à l'urgence du pouvoir d'achat".
Le président a annoncé notamment une augmentation de 100 euros des salaires au niveau du Smic, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation d'une hausse de la CSG pour une partie des retraités, toute une série de mesures chiffrées à environ 10 milliards d'euros qui devraient faire déraper le déficit français à environ 3,4% du Produit intérieur brut (PIB) pour 2019 contre une prévision initiale de 2,8%.
Pierre Moscovici a rejeté l'idée d'un traitement plus favorable de la France par rapport à l'Italie, dont la proposition de budget pour 2019, prévoyant un déficit à 2,2%, a été rejetée par Bruxelles.
"Il n'y a pas d'indulgence, ce sont nos règles et rien que nos règles", a-t-il martelé.
"Ne faisons surtout pas comme s'il y avait d'un côté une sévérité excessive et de l'autre je ne sais pas quel laxisme", a poursuivi le commissaire également en charge des affaires financières.
La comparaison avec l'Italie "est tentante mais erronée car les situations sont totalement différentes", a ajouté M. Moscovici, en notant que "la commission européenne surveille la dette italienne depuis plusieurs années" ce qu'elle n'a "jamais fait" pour la France.
Le vice-Premier ministre italien Luigi Di Maio avait estimé mardi que les mesures annoncées par Emmanuel Macron risquaient de créer "un problème" à Bruxelles "si les règles sont les mêmes pour tous".
"Si en France les règles sur le rapport déficit/PIB sont les mêmes que pour l'Italie, alors il est clair et évident que là aussi je m'attends à ce que la Commission ouvre une procédure" pour déficit excessif, a expliqué M. Di Maio.
© 2018 AFP
Répondre
|