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Un grand ouf pour Alstom et une bonne claque au gouvernement qui avait sans doute imposé cette ânerie monumentale à la société
Message complété le 06/02/2019 12:02:24 par son auteur.
Et bizarrement , le titre reprend pratiquement 3% d'un coup
Marché de dupes !!!
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Il est probable que le rapprochement entre Siemens Mobility et Alstom soit bloqué par la Commission européenne, a affirmé mardi Henri Poupart-Lafarge, le PDG d'Alstom, dans une interview publiée sur le site internet du Figaro .
Et pas de seconde (mal) chance en vue ou en projet .
L'entreprise va pouvoir utiliser ses fonds et son ingénierie pour trouver d'autres alliances plus pertinentes plutôt que les brader à ses financiers actionnaires et disparaître dans les tréfonds de Siemens
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La commission européenne mettra un véto sur la fusion suite au refus de Siemens de se soumettre aux demandes de ventes supplémentaires d'actifs dans le secteur de la grande vitesse .
Alstom peut pousser un grand ouf , soustrait des pattes mortelles d'une fusion qui signait son arrêt de mort .
L'entreprise pourra désormais prendre le temps de chercher un partenariat bien plus pertinent et poursuivre sa croissance dans le ferroviaire dans ses métiers de prédilection .(TGV , Tram , TER , métros etc ....) et locomotives à l'international .
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Avant de taper sur la CE , regardez déjà comment est ficelée la fusion pour s'apercevoir qu'il s'agit d'une casse en bonne et due forme d'Alstom ,qui disparaîtra en moins de 5 ans , l'ensemble des compétences échues chez Siemens sans la moindre avancée positive pour la France .
Peut être que cette fois , l'Europe aidera à ne pas faire n'importe quoi avec les industriels .
Si Alstom a besoin de se renforcer , cela ne doit jamais se faire au prix de l'apport de ses métiers critiques . D'ailleurs , les résultats publiés abondent dans le sens d'un maintien en l'état avant de rechercher un bien meilleur compromis .
Mais bon , personne ne connaît le secteur et l'analyse ,pour le moins restreinte , se fige sur la concurrence contre les chinois
Même avec la fusion , on sera très loin du compte qui ne s'arrête évidemment pas à ce seul aspect
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Le constructeur ferroviaire français Alstom a estimé jeudi qu'il n'y avait "pas de certitude" que les propositions pour permettre la fusion envisagée avec les activités mobilités de l'allemand Siemens soient suffisantes pour que la Commission européenne autorise l'opération.
Les deux groupes ont proposé des cessions d'actifs à la Commission européenne, qui s'inquiétait de la position dominante que le nouvel ensemble aurait dans la signalisation ferroviaire et les trains à grande vitesse.
Ces "remèdes", destinés à "prendre en compte les préoccupations de la Commission tout en préservant les fondamentaux économiques et industriels de la transaction", représentent 4% du chiffre d'affaires de l'entité combinée, a précisé Alstom dans un communiqué.
Ils concernent notamment la technologie Velaro des trains à grande vitesse de Siemens (roulant sous le nom d'ICE en Allemagne), selon des sources proche du dossier.
"Les parties estiment que cette proposition de remèdes est appropriée et adéquate. Toutefois, il n'y a pas de certitude que le contenu de cette proposition sera suffisant pour répondre aux préoccupations de la Commission", a prévenu Alstom.
La Commission doit rendre son verdict d'ici le 18 février 2019.
La fusion est soutenue par Paris et Berlin, qui veulent créer un groupe capable de rivaliser avec le géant chinois CRRC.
Mercredi, le porte-parole du gouvernement français Benjamin Griveaux avait averti qu'un rejet de cette fusion par Bruxelles serait "une erreur économique et une faute politique" ainsi qu'un "mauvais signal envoyé aux peuples européens".
© 2019 AFP
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