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en France on peut tout arranger avec ses relations n'est-ce pas Mr Benalla ?
mais au japon les millions et les relations ne suffisent pas ...
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ver5getorix,
ce ne sont pas les appartements achetés par Nissan qu'il faut voir, mais ceux achetés par ZI-A filiale, opaque, de Nissan et dont le bras droit de CG était le patron, celui arrêté en même temps que lui et qui était aux ordres de CG, qui a acheté un appartement à plus de 9 millions d'euros au Liban pour CG.
Message complété le 22/01/2019 18:18:24 par son auteur.
Les guignolos comme vous les nommez, c'est CG qui les a créé, car il est devenu paranoïaque. C'est lui qui a embauché une armée de barbouzes car il est paranoïaque. En n plus d'être paranoïaque, il a la folie des grandeurs. Je connais pas mal de cadres de Renault vivant en région parisienne, ils disent tous la même chose, CG a créé une ambiance délétère dans l'entreprise et le mal vivre y est quotidien. Vous devriez arrêter de croire que CG est dieu sur terre, c'est un despote de première.
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Il a eu tort de croire des guignolos qui avaient fabriqué cette histoire pour se rendre intéressants puis indispensables. On n'a pas trop parlé d'eux aprés... Quant aux ingénieurs injustement soupçonnés et maltraités j'espère qu'ils ont eu une reconversion digne de leur sérieux et de toutes leurs autres qualités, et il en faut pour supporter ce qu'ils ont subi. Mais CG n'a été que responsable de s'être laissé aveugler par des spécialistes qui étaient devenus des jeanfoutre.
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Est-ce-que vous avez vu les appartements achetés par Nissan pour le PDG, où voyez vous le luxe?
Nissan est en train de tenter une prise en main de toute l'alliance, sans la politique de communication de CG qui leur a déplu, mais d'autres marques montent et s'allient aussi, ils vont devoir s'occuper à nouveau d'une descente de vague.
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coco85,
Et si on parlait des 3 cadres que Carlos Ghosn a poursuivi en justice, alors qu'ils étaient innocents, pour espionnage industriel ? On dira qu'il a été victime de la bête qu'il a créé. Au vu du documentaire "complément d'enquête", même s'il est innocent, franchement, cela ne me fera aucune peine, s'il a perdu son emploi. Mais, je crois que les Japonais, les cadres sup de Nissan, ont mis assez de preuves de côté pour qu'il sorte de prison dans 15 ans.
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Une question simple :
Supposons que Carlos Ghosn soit complètement innocent de tous les faits qui lui sont reprochés et que cela soit reconnu dans son procès après x mois de détention.
Comment la justice du pays du soleil levant va t’elle indemniser l’accusé (à tort) des préjudices qu’elle lui aura fait subir ?
Est-ce même prévu dans la procédure judiciaire au Japon ?
Certains d’entre vous trouveront que ma question est idiote en l’occurrence, mais, au fond, pourquoi pas ?
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Je ne connais pas son dossier, je m’abstiendrai donc de juger. Mais, si les faits sont avérés exacts, je ne pleurerai pas sur son sort.
Mais, que l’on s’appelle Goshn, Macron, Sarkosy, ou Dupont -Lajoie, quand on fait des conneries, il faut s’attendre à les payer un jour ou l’autre.
Il est même regrettable que la Justice en France, soit beaucoup moins rapide et moins sévère pour certains justiciables (généralement les politichiens, - sauf pour Fillon au meilleur moment d'une certaine campagne élective) que pour les péquins sans pognon et avec avocat commis d’office.
Le modèle japonais n’a pas que du mauvais.
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avant de sortir toutes vos salades, vous devriez revoir le documentaire "complètement d'enquête", le Carlos qu'on nous décrit n'est pas celui que vous croyez. Il est obsédé par l'argent, il est même allé à l'encontre de l'assemblée d'actionnaires pour se faire augmenter son salaire qui était déjà de 12 millions d'euros par an. Il demandait aux employés de se serrer la ceinture pour que lui ait une super vie.
Message complété le 22/01/2019 10:38:44 par son auteur.
Je ne vois pas en quoi les Japonais sont des traitres, je crois que quand on est ignorant de l'histoire on ne dit rien.
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Le tribunal de Tokyo a annoncé mardi le rejet d'une nouvelle demande de libération sous caution de Carlos Ghosn, patron déchu qui n'entrevoit pas la fin de sa détention provisoire.
M. Ghosn, sous les verrous depuis plus de deux mois à Tokyo, avait promis de rester au Japon s'il était remis en liberté. Hélas pour lui, ses arguments n'ont pas convaincu la justice japonaise.
Celui qui est encore, en titre du moins, PDG de Renault, est sous le coup de trois inculpations, pour abus de confiance et autres malversations financières.
Sa détention provisoire court pour le moment jusqu'au 10 mars, et elle peut être prolongée chaque mois.
Une autre demande de libération sous caution avait déjà été rejetée en première instance, puis en appel, la semaine précédente.
Le principal avocat du dirigeant de 64 ans, Motonari Otsuru, avait choisi de déposer un nouveau recours en modifiant l'argumentaire, en vain.
Il a encore la possibilité de faire appel de cette décision de mardi pour donner une nouvelle chance à son client. Mais de l'avis même de M. Otsuru, M. Ghosn encourt le risque de rester incarcéré "jusqu'à l'ouverture de son procès" qui n'aura pas lieu avant des mois.
Carlos Ghosn avait pu brièvement défendre sa cause au début du mois au tribunal, lors d'une comparution exceptionnelle à sa demande. Amaigri et menotté jusqu'à l'entrée dans la salle d'audience, il s'était dit "faussement accusé", démentant les allégations point par point.
- La famille accuse -
Le tribunal a jusqu'à présent justifié la privation de liberté de M. Ghosn par un risque de dissimulation ou destruction de preuves et de fuite.
Les procureurs ont argué auprès du juge que M. Ghosn, qui passait le plus clair de son temps à l'étranger, pourrait être tenté de se soustraire à la justice japonaise.
Le charismatique dirigeant avait promis ce week-end d'être à la disposition totale des juges et proposé d'être placé sous bracelet électronique, mais ce dispositif, assez courant en France, n'existe pas au Japon.
Il avait en outre encore clamé son innocence. "Je ne suis pas coupable des accusations qui pèsent contre moi et j'ai hâte de défendre ma réputation devant le tribunal", avait-il écrit dans un communiqué.
Des restrictions de déplacements peuvent encadrer une éventuelle remise en liberté, comme c'est le cas pour son ex-bras droit, Greg Kelly, arrêté en même temps que lui puis relâché le 25 décembre. Les charges à l'encontre de l'Américain sont moins lourdes, mais il a interdiction de quitter le territoire japonais ou d'entrer en contact avec des protagonistes de l'affaire.
La femme et les enfants de M. Ghosn se sont offusqués, par voie de presse notamment, des conditions dans lesquelles il est enfermé. Des critiques auxquelles les autorités nippones se montrent insensibles.
M. Otsuru a cependant assuré que son client ne s'était jamais plaint auprès de lui. Il peut en outre désormais recevoir la visite de sa famille, en plus de celles de ses avocats et des représentants des pays dont il détient la nationalité (France, Brésil, Liban).
- En attendant Renault -
Pendant ce temps, de nombreuses révélations, émanant en partie de Nissan, continuent de ternir chaque jour un peu plus l'image du magnat de l'automobile, et sa détention prolongée oblige Renault à prendre des dispositions, bien que la présomption d'innocence ait prévalu pour le constructeur français.
Le gouvernement français a officiellement lâché M. Ghosn la semaine passée, en demandant la nomination d'un successeur dans les prochains jours pour prendre la tête du groupe Renault, dont l'État détient 15%.
M. Ghosn va ainsi perdre son dernier titre, celui de PDG de Renault. Nissan et Mitsubishi Motors l'avaient révoqué du poste de président de leurs conseils d'administration dès fin novembre.
Par ailleurs, des rumeurs insistantes dans la presse japonaise indiquent que des représentants du gouvernement français, en visite au Japon la semaine passée, ont présenté à leurs interlocuteurs nippons l'option d'une fusion de Renault et Nissan, hypothèse que les Japonais ne voient pas du tout d'un bon oeil.
Ces allégations ont été démenties par le ministre français de l'Economie, Bruno Le Maire, selon qui un tel projet "n'est pas sur la table".
L'État français est "attaché au bon fonctionnement" et à la "pérennité" de l'alliance existante entre Renault et Nissan. "C'est ce que nous avons toujours indiqué aux autorités japonaises", a-t-il expliqué.
burx-kap/hh
© 2019 AFP
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