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glanglois
« « nous seront dans une crise terrible voulu par Macron qui souhaite la guerre avec les Français . » »
Parler de guerre, c’est aller un peu fort.
Cependant, certain procédé est de provoquer une crise dure, pour amener le Peuple à la révolte, pour ainsi pouvoir justifier une répression dure qui serait « comprise » par une partie de la population.
Le mouvement des gilets jaunes, et les réponses apportées par le Gvt, y compris insultes et mépris, semble bien s’insérer dans ce schéma. Et la répression brutale mise en face des manifestants ne dément pas cette théorie. (méthode de la nasse, nb de blessés , nb d’arrestations, et…..les casseurs qui passent à travers les mailles du filet, et qui courent toujours.)
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Il faut sortir du grand débat national avec "une panoplie de mesures" en matière de fiscalité, en vue d'"une remise à plat" du système fiscal qui prendra "plusieurs années", a estimé lundi Gilles Le Gendre, le chef de file des députés LREM.
Après la fin de non recevoir opposée par Matignon à Jacqueline Gourault qui a relancé dimanche l'idée d'un impôt sur le revenu pour tous, M. Le Gendre a fait valoir sur RTL que "pour l'instant rien n'est à l'étude". "Les niches fiscales, le retour de la taxe carbone, le rétablissement de l'ISF, l'impôt universel, tout ceci démontre une chose: si nous rentrons dans le débat fiscal par une seule mesure, nous n'arriverons à rien", a-t-il estimé.
Il ressort selon lui des débats organisés à travers tout le pays le souhait des Français de "payer moins d'impôts et de charges, que le système soit moins complexe, qu'il soit plus juste".
"Ces objectifs, nous ne les atteindrons que par une panoplie de mesures, une remise à plat (...) qui permettra d'aborder plusieurs sujets: les impôts des ménages, directs, indirects, la fiscalité locale, et cette remise à plat prendra du temps, il faudra plusieurs années pour la mener à bien", a-t-il ajouté.
Interrogé par ailleurs sur les négociations autour de l'assurance chômage et la piste déjà évoquée il y a quelques mois d'une indemnisation moindre des hauts cadres, il a indiqué que les "niveaux supérieurs à tout ce qui est constaté dans tous les autres pays" atteints par leurs allocations faisaient "partie d'un certain nombre de dysfonctionnements de l'assurance chômage". "Il y en a d'autres auxquels nous avons envie et la nécessité de nous attaquer", a-t-il déclaré, sans plus de détails.
© 2019 AFP
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