CAC40: en légère hausse avant la réunion de la BCE
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62% de toute la baisse depuis octobre vient d'être retracé. Prudence.
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"D'APRÈS LES CH'ARTISTES LA DYNAMIQUE HAUSSIÈRE RESTE INTACTE MÊME S'ILS METTENT EN GARDE CONTRE TOUS ECXES D'OPTIMISME".
Traduction en meteo s'il ne pleut pas il fera beau. 😉 Au moins sont sur de pas se tromper.
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Réunion de la BCE certes mais l' ombre de la divergence baissière du KVO plane sur le Cac 40https://www.abcbourse.com/apprendre/11_lecon10_3.html
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(CercleFinance.com) - La Bourse de Paris débute la séance en très légère hausse mardi matin, le marché étant sans grande orientation en attendant la publication d'indicateurs dans les services et la réunion de la Banque centrale européenne prévue jeudi. L'indice CAC 40 gagne que 0,1% à 5294Pts.
D'après les chartistes, la dynamique haussière reste intacte sur le marché parisien, même s'ils mettent en garde contre tout excès d'optimisme après un gain de 12% depuis la fin 2018.
'Même si l'indice CAC 40 profite pleinement de signaux favorables pour espérer revenir tester des niveaux de long terme (5400 voire 5500 points), des consolidations temporaires sont possibles et souhaitables', estiment ainsi les équipes de Kiplink Finance.
Le marché parisien s'était hissé hier jusque vers 5310 points, avant d'entamer un repli dans le sillage de Wall Street où les indices ont inversé la vapeur sur des doutes concernant la réalité des progrès sur les négociations sino-américaines.
Certains opérateurs s'inquiètent de la longueur des pourparlers entre Washington et Pékin, qui se prolongent sans horizon de temps.
Le marché a pris connaissance dans la matinée de la publication des indices PMI d'IHS Markit pour le secteur des services, qui devaient ressortir à des niveaux proches de leurs versions préliminaires. Dans la Zone Euro, l'indice PMI ressort à 52,8. En France, l'indice s'inscrit à 50,4 en février après 47,8 en Janvier.
'Le secteur des services a plutôt bien résisté dernièrement, alors que le secteur manufacturier a, lui, été le maillon faible au niveau mondial', rappellent ce matin les économistes de Danske Bank.
Sur le plan macroéconomique, les investisseurs attendent également les ventes de détail en zone euro, l'indice ISM des services aux Etats-Unis ainsi que les derniers chiffres de l'immobilier américain, qui avait tendance à montrer quelques signes de fragilité ces derniers mois.
Du coté des valeurs, Total annonce la signature des accords définitifs avec Novatek portant sur une prise de participation directe par Total de 10% dans Arctic LNG 2. Il s'agit d'un projet majeur de gaz naturel liquéfié situé sur la péninsule de Gydan en Russie.
L'action Eurofins Scientific perd près de 6% à la Bourse de Paris après la publication de compte annuels dénotant d'un ralentissement de la croissance au dernier trimestre de 2018. Le groupe compte aussi désormais limiter ses acquisitions.
Le tour de table d'Aéroports de Paris (ADP) suscite la convoitise d'institutions publiques. Les départements franciliens seraient intéressés par une participation, avec l'aide du groupe de private equity français Ardian.
Pour mémoire, le capital ADP est actuellement contrôlé par l'Etat français, qui projette une privatisation contestée dernièrement au Sénat, sachant que le groupe privé Vinci et l'opérateur aéroportuaire public néerlandais Schiphol détiennent chacun 8% des parts.
Dans le cadre d'une note sectorielle, Barclays a dégradé son opinion sur pratiquement tous les opérateurs télécoms français. Tel est notamment le cas d'Orange, l'ex-France Telecom : précédemment à l'achat ('surpondérer'), les analystes ont ramené leur position à 'pondération en ligne', l'objectif de cours revenant de 18,5 à 16,5 euros.
Après une rencontre avec la direction du groupe, l'analyste Oddo BHF maintient ce jour sa recommandation 'achat' sur le titre Bouygues, appréciant une certaine 'confiance' dans la construction et de 'l'optimisme' dans la téléphonie.
Copyright © 2019 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
D'après les chartistes, la dynamique haussière reste intacte sur le marché parisien, même s'ils mettent en garde contre tout excès d'optimisme après un gain de 12% depuis la fin 2018.
'Même si l'indice CAC 40 profite pleinement de signaux favorables pour espérer revenir tester des niveaux de long terme (5400 voire 5500 points), des consolidations temporaires sont possibles et souhaitables', estiment ainsi les équipes de Kiplink Finance.
Le marché parisien s'était hissé hier jusque vers 5310 points, avant d'entamer un repli dans le sillage de Wall Street où les indices ont inversé la vapeur sur des doutes concernant la réalité des progrès sur les négociations sino-américaines.
Certains opérateurs s'inquiètent de la longueur des pourparlers entre Washington et Pékin, qui se prolongent sans horizon de temps.
Le marché a pris connaissance dans la matinée de la publication des indices PMI d'IHS Markit pour le secteur des services, qui devaient ressortir à des niveaux proches de leurs versions préliminaires. Dans la Zone Euro, l'indice PMI ressort à 52,8. En France, l'indice s'inscrit à 50,4 en février après 47,8 en Janvier.
'Le secteur des services a plutôt bien résisté dernièrement, alors que le secteur manufacturier a, lui, été le maillon faible au niveau mondial', rappellent ce matin les économistes de Danske Bank.
Sur le plan macroéconomique, les investisseurs attendent également les ventes de détail en zone euro, l'indice ISM des services aux Etats-Unis ainsi que les derniers chiffres de l'immobilier américain, qui avait tendance à montrer quelques signes de fragilité ces derniers mois.
Du coté des valeurs, Total annonce la signature des accords définitifs avec Novatek portant sur une prise de participation directe par Total de 10% dans Arctic LNG 2. Il s'agit d'un projet majeur de gaz naturel liquéfié situé sur la péninsule de Gydan en Russie.
L'action Eurofins Scientific perd près de 6% à la Bourse de Paris après la publication de compte annuels dénotant d'un ralentissement de la croissance au dernier trimestre de 2018. Le groupe compte aussi désormais limiter ses acquisitions.
Le tour de table d'Aéroports de Paris (ADP) suscite la convoitise d'institutions publiques. Les départements franciliens seraient intéressés par une participation, avec l'aide du groupe de private equity français Ardian.
Pour mémoire, le capital ADP est actuellement contrôlé par l'Etat français, qui projette une privatisation contestée dernièrement au Sénat, sachant que le groupe privé Vinci et l'opérateur aéroportuaire public néerlandais Schiphol détiennent chacun 8% des parts.
Dans le cadre d'une note sectorielle, Barclays a dégradé son opinion sur pratiquement tous les opérateurs télécoms français. Tel est notamment le cas d'Orange, l'ex-France Telecom : précédemment à l'achat ('surpondérer'), les analystes ont ramené leur position à 'pondération en ligne', l'objectif de cours revenant de 18,5 à 16,5 euros.
Après une rencontre avec la direction du groupe, l'analyste Oddo BHF maintient ce jour sa recommandation 'achat' sur le titre Bouygues, appréciant une certaine 'confiance' dans la construction et de 'l'optimisme' dans la téléphonie.
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