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Bercy cherche une voie de sortie à la crise du diesel

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whatelse whatelse
12/03/2019 10:25:54
1

moi je vous fais le pari que dans quelques mois, nos chers Ânes vont nous dire qu'ils ont fait faire de nouvelles études et il en ressort que le gasoil ne pollue pas quand les voitures sont équipées de filtres à particules et on fera marche arrière.

  
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Fibopivots Fibopivots
12/03/2019 01:13:59
0
Les énarques planent à nouveau... Très haut ! Qu'ils laissent au moins une fois les scientifiques et les capitaines d'industries prendre les bonnes décisions pour le pays !
  
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moicmoi moicmoi
11/03/2019 20:35:29
5

Ceci est bien typique de nos dirigeants actuels. (mais ceux d’avant n’étaient pas vraiment mieux)
Dans la transition écologique, la voiture verte, l’énergie verte, ils ont surtout vu un énorme gisement de taxes vertes , avec une justification hautement vertueuse (mais dans vertueuse, il y a vert, mais aussi tueuse) : sauver la planète. (les avions, les bateaux, les centrales au charbon ;,la malbouffe, les poisons chimiques, etc...on n’en parle pas.).
Et pour hollande, il y avait en plus l’occasion de gratter qqs centaines voix , celle des verts, qui lui manquaient.

Aujourd’hui, ils s’aperçoivent que la médaille a un revers (et non pas un RE VERT). On fait pipi dans le gazon, et on se préoccupe après coup de savoir de quel côté souffle le vent.
Alors, ils ont fini par écouter les discours alarmistes des patrons , généralement bien plus intelligents que les politi-cons. Des milliers d’emplois de d’entreprises condamnés, ça cause.
oui, mais voilà ! Le mal est fait ! Les beaux discours sauveurs de la planète, les campagnes « dieselophobes » des taux d’émission, les interdictions de circuler, les normes inapplicables édictées,...ont porté un vilain coup au moteur thermique, à l’énergie nucléaire et autres. Sans avoir prévu son remplaçant économiquement fiable .
Et bien évidemment, sans réfléchir aux conséquences néfastes sur le cadet de leur souci : l’emploi.
Et faire un mea culpa public, à la japonaise (j’aimerai bien voir ça), ça leur serait trop dégradant, donc, impossible


https://www.francetvinfo.fr/monde/asie/video-le-mea-culpa-public-en-cris-et-en-larmes-d-un-depute-japonais-accuse-de-detournement_637769.html

  
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fipuaa fipuaa
11/03/2019 18:40:57
0

une très grosse magouille en cours tout ça c'est sûr!

on apprendra dans quelques années qui s'est fait acheter et combien

marcher sur la tête pour eux c'est pas grave ils n'ont rien dedans

  
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whatelse whatelse
11/03/2019 18:25:03
5

En fait, ils se foutent de la transition écologique, ce qu'ils voient, c'est les impôts et taxes qu'ils peuvent nous prendre. La voiture électrique est une fumisterie. Sa fabrication est une catastrophe écologique, mais, chuttttttttt, LES LOBBIES ARROSENT NOS DIRIGEANTS A TOUT VA.

  
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sergiobress sergiobress
11/03/2019 17:55:27
0

Bonsoir,

Ben oui le diesel est là encore pendant de nombreuses années et puis tous les fournisseurs qui vont avec, mais ça notre ministre a complètement perdu les pédales ; foncer tête baissée sur l'électrique n'est pas la solution, on le répète à nouveau, Bruno la tête dans le pot …………………………………….

  
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jamariuscky jamariuscky
11/03/2019 17:51:53
0
Nous vivons dans un pays de banjos. On se veut les Rois de l energies propre, et on neglige completement le developpement de la pile a combustible. C'est Vrai que Renault a fait le forcing pour la voiture electrique, mais on est pas oblige de mettle l'intelligence au rencard pour autant.
  
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Bidouille Bidouille
11/03/2019 17:43:56
1
Nous sommes pourtant dirigés par des hommes et femmes dont beaucoup sortent de l'Ecole Nationale des Anes. Ils sont très instruits mais pas intelligents, dans le cas contraire ils auraient créé leur société et fait fortune.
  
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Dubaisan Dubaisan
11/03/2019 17:42:10
0

Surtout qu'en Chine, d'autres filières comme le GNL et le méthanol (obtenu de plus après reformage du Co2 capturé et recyclé) qui sont non polluantes et très faiblement coûteuses, sont en cours de développement à côté de l'électrique et de l'hydrogène.

Nos moteurs diesels actuels répondants aux normes 5 et 6 sont excellents et il y a encore des marges de progression. Là, c'est tout un pan de la recherche scientifique qui va s'effondrer.

Quand on voit à l'école Centrale de Nantes, le nombre de bancs d'essais ultra-modernes qui testent tous les moteurs de nos constructeurs et de ceux d'Europe (RFA, GB, Italie, etc...) c'est un gâchis monumental qui se prépare.

  
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jclaudio50 jclaudio50
11/03/2019 17:21:16
2
nous sommes dirigés par des incompétents qui sont capables de mettre l'industrie automobile française au tapis , avec toutes les conséquences humaines et économiques qui suivront..et de laisser le champs libre aux entreprises chinoises qui fourniront les batteries indispensables aux voitures électriques ..J'ajouterai que la France est un des pays les moins pollueurs au monde et qu'il n'est pas nécessaire d' etre plus blanc que blanc....s'il doit y avoir du progrès en matière de pollution,cela ne doit pas se faire aux dépends des Français les plus faibles et les plus fragiles ....il serait temps que le peuple se réveille et qu' il mette tous ces reveurs hors circuit ; avant qu'ils ne commettent l'irréparable.....
  
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jclaudio50 jclaudio50
11/03/2019 17:21:16
0

Elus, représentants syndicaux et acteurs de la filière automobile réunis à Bercy pour tenter de préparer l'avenir du secteur, menacé par la crise du diesel (dpa/AFP/Archives/Ina Fassbender)

Elus, représentants syndicaux et acteurs de la filière automobile se sont réunis lundi à Bercy pour tenter de préparer l'avenir du secteur, menacé par la crise du diesel ainsi que par la transition vers les véhicules électriques et autonomes.

Le gouvernement veut notamment élaborer "un plan concerté" pour accompagner la chute continue des ventes de voitures au gazole. La part de ces motorisations a chuté de moitié en cinq ans, mettant au défi de nombreuses entreprises et menaçant des milliers d'emplois dans le pays.

"Il ne faut pas nier que la baisse du diesel en France a des conséquences sur les investissements dans nos territoires" et sur l'emploi en France, a affirmé Luc Chatel, président de la Plateforme automobile, qui représente la filière, à la sortie de la réunion.

Selon lui, "la filière automobile est face à une restructuration qu'elle n'a jamais connue dans son histoire", il est donc "très important que les industriels soient réunis avec l'Etat, avec les collectivités territoriales, avec les représentants de personnels pour harmoniser leurs politiques et faire en sorte qu'on prenne les bons virages et qu'on amortisse le choc quand il y a des difficultés".

- "Mobilisation générale" -

En 2013, 67% des voitures immatriculées en France étaient équipées de moteurs diesel, contre seulement 35% ces derniers mois. La baisse a atteint les mêmes proportions à l'échelle européenne.

Ces motorisations, dont les constructeurs français s'étaient fait une spécialité, subissent le contrecoup du "dieselgate", l'affaire des moteurs truqués de Volkswagen révélée en 2015. Elles sont aussi de plus en plus épinglées pour leurs émissions de particules et d'oxydes d'azote. De nombreuses villes, notamment en Allemagne, ont commencé à restreindre l'accès à ces véhicules.

Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a appelé à "la mobilisation générale pour accompagner les évolutions de la filière automobile", dans un communiqué diffusé après la réunion.

Une cartographie "précise des sites industriels menacés par l'évolution des motorisations" va voir le jour, tout comme une étude scientifique sur les émissions de dioxyde de carbone et d'oxyde d'azote "en conditions réelles des véhicules récents tant diesel qu'essence", selon le document.

Bercy propose également, en accord avec certains syndicats, de réviser la classification des véhicules pour rendre éligibles à la vignette Crit'Air 1 les véhicules diesel qui en respectent les critères, alors qu'ils étaient jusqu'ici exclus d'office. Les véhicules diesel les mieux classés (normes Euro 5 et 6) reçoivent aujourd'hui une vignette de catégorie 2.

Cette position semble faire consensus au sein du gouvernement. Avec Bercy, "nous sommes d'accord sur une chose qu'on pourrait appeler la neutralité technologique, c'est-à-dire que nous, on regarde l'application des normes et on ne regarde pas si c'est telle technologie ou telle autre", a assuré le ministre de l'Environnement François de Rugy sur BFMTV/RMC.

- Rupture technologique -

"Personne autour de la table ne conteste ou ne freine sur la transition écologique, sur l'évolution climatique", a expliqué pour sa part le président des Hauts-de-France, Xavier Bertrand. "La seule chose c'est: est-ce qu'on décide d'aller plus vite que la musique et donc de mettre en péril des dizaines de milliers d'emplois qui sont encore dans la filière diesel, ou est ce qu'on marie les deux?"

De son côté, le président de Nouvelle-Aquitaine Alain Rousset a évoqué "un effort considérable à faire de formation de long terme". Le discours des présidents de régions "a été de dire: attention, ne ratons pas une rupture technologique avec l'hydrogène et l'électrique. Ne faisons pas comme entre le minitel et l'ordinateur".

Cette réunion a permis de faire "un gros état des lieux. Les chiffres ont été posés sur la table, tout le monde est mis devant ses responsabilités", a jugé Gabriel Artero de la CFE-CGC. "On court après le temps pour la filière automobile en général et surtout pour les sites dépendants du diesel", comme l'usine Bosch de Rodez.

Une nouvelle réunion du même type "sera organisée dans les trois mois", a précisé Bercy.

© 2019 AFP

  
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