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Baisse d'impôts, réindexation des retraites, référendums locaux: les r

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moicmoi moicmoi
16/04/2019 23:41:24
2

0PHENIX0

« « Il annoncerait avoir trouvé comment guérir le cancer que des bourricots trouveraient encore à redire » »

Et pour cause !
Le problème réside en ce que, de tous temps, (ou en tout cas depuis bien longtemps,) les politiciens ont raconté tellement de conneries, ont tellement menti (la nouvelle porte-mensonges l’a récemment avoué) , qu’ils ont perdu toute crédibilité.
Il faut y voir là l’une des raisons responsable du mouvement de révolte actuelle.

Et donc, sauf à avoir un bateleur de foire hyper-convainquant, la situation revendicatrice n’est pas prêt de déposer les armes. Et, à la moindre erreur de jugement, on peut craindre …..bien pire qu’un mouvement de Gilets Jaunes.

« « Baisser les impôts des classes moyennes qui se plaignent d'être des vaches à lait ne me semble pas sot. » »

Sauf que cela risque d’être déclaré inégalitaire .
Sauf que cela ne pourrait être qu’une fuite en avant .( les tranches « du dessus » se sentant lésées.)

Seul une baisse de la TVA serait efficace. Avec pour corolaire de réduire drastiquement le train de vie de l’état boulimique. Ce qui, aux yeux de nos politiciens pique-assiette, est totalement inenvisageable.
Pour eux, un contribuable est fait pour payer. Et entretenir ses politiciens, comme on entretient une maitresse.

  
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CRI74 CRI74
16/04/2019 23:08:06
2

Fermer l'ENA apparaît comme une évidence , sa "réforme " n'ayant fait qu'empirer les choses .

Mais l'efficacité voudrait que ce soit la pensée unique délivrée dans l'ensemble des sphères élitistes qui puisse être modifiée , mais ce n'est pas demain la veille .

Nos élites planant à 10 000 et plus , surfant dans leurs fantasmes avec l'argent du citoyen , demeurent préservés , ENA ou pas.

Qu'on change de modèle économique en privilégiant la demande à l'offre apparaît comme remède viable susceptible de contenter le maximum de personnes sans taper outre mesure dans les caisses de l'état .

Un mirage pour Macron !


  
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jipes jipes
16/04/2019 22:46:45
0

Alors, tu te ranges derrière sa bannière !

  
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jipes jipes
16/04/2019 21:54:40
0

Ce prochain samedi, il y en a plusieurs qui ne vont pas apprécier.

  
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moicmoi moicmoi
16/04/2019 21:37:48
1

Ou « Macron école de l’Administration » (en anglais, bien sûr. En bon Français ce serait trop dégradant, à ses yeux) créée pour la circonstance.

  
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Luncyan Luncyan
16/04/2019 21:16:08
0
Vous inquietez pas, il restera normal sup, polytechnique et centrale sup elec
  
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TZ PEUCH TZ PEUCH
16/04/2019 18:41:07
0
Bien que l ENA ne soit pas productive en hommes d actions , je pense que il faut conserver une école de grandes élites capables d argumenter ou de contre argumenter face aux puissants de ce monde.Par quoi la remplacer ?. Pour avoir des hommes d actions il faut que les etudiants de cette future stucture de formation apprennent les mots indispensables au fonctionnement de toute société et les mettent en oeuvre : action , rendre compte , production , productivité,etc afin qu on ne se retrouve pas avec des administrations dont le modèle a suivre est la Sécurité sociale ou la MSA dans lesquelles il y a 2 fois trop de personnel au minimum.
  
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TZ PEUCH TZ PEUCH
16/04/2019 18:30:19
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Si notre president annonce vraiment ca , il perdra ses electeurs retraites qui touchent plus de 2000E par mois qui lui auraient donne le coup de pouce pour etre elu aux prochaines elections .
Surtout , qu il ne revienne pas sur l ISF mais qu il supprime l IFI , la taxe d habitation pour tous , ca creera de l emploi si les gens francais non qualifiees veulent enfin travailler ( on ne trouve sur Paris et les grandes villes que des employees portugaises.
  
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TZ PEUCH TZ PEUCH
16/04/2019 18:30:19
0

Emmanuel Macron le 7 mars 2019 lors d'une réunion du grand débat à Gréoux-les-bains (AFP/CHRISTOPHE SIMON)

Baisses d'impôts pour les classes moyennes, réindexation des petites retraites, référendums locaux et suppression de l'ENA figurent parmi les principales réponses d'Emmanuel Macron à la crise des "gilets jaunes", selon le projet d'allocution que devait prononcer le chef de l'État lundi soir et dont l'AFP a obtenu copie.

Présentée comme le grand tournant, voire un quitte ou double pour son quinquennat, cette allocution a été enregistrée lundi en début de soirée. Sa diffusion, programmée pour 20h00, a finalement été annulée en raison du spectaculaire incendie ayant ravagé Notre-Dame de Paris.

"L'Elysée ne confirme ni ne commente les fuites dans la presse au sujet de la sortie du grand débat national", a réagi la présidence, après la diffusion des principaux points du texte par plusieurs médias.

Dans ce texte, après cinq mois de mobilisation inédite des "gilets jaunes" et trois mois de grand débat, Emmanuel Macron promet de "fixer pour le pays un cap à 2025". "Nous poursuivrons les réformes commencées", assure le chef de l'État qui entend "conduire un projet agricole, industriel, écologique pour le XXIe siècle" mais sans annonces concrètes sur l'écologie.

Mais malgré ce maintien de cap affiché, le projet d'allocution contient plusieurs annonces significatives. A commencer par une baisse "des impôts des classes moyennes", sans plus de précisions, mais financée notamment par "la suppression de certaines niches fiscales".

Préparant, la semaine dernière, le terrain pour le chef de l'État, le Premier ministre Édouard Philippe avait évoqué l'"exaspération fiscale" comme le principal enseignement du grand débat national lancé début janvier.

Parmi les mesures en faveur du pouvoir d'achat, le texte mentionne également que la prime exceptionnelle de 1.000 euros défiscalisée et sans cotisations sociales, décidée fin décembre 2018, va être "pérennisée" et ouverte aux employeurs "chaque année".

S'agissant de l'impôt sur la fortune, le président de la République refuse comme prévu de le rétablir immédiatement mais annonce une "évaluation objective" de la réforme controversée de 2017, s'engageant sur cette base à "apporter toutes les modifications et corrections nécessaires".

A plusieurs reprises ces derniers mois, M. Macron avait laissé entendre qu'il n'entendait pas revenir sur cette réforme. Laquelle comprenait déjà une phase d'évaluation régulièrement invoquée par la majorité.

Autre terrain sensible: les retraités. Le projet d'allocution contient, pour les retraites de moins de 2.000 euros, la réindexation des retraites sur l'inflation à partir du 1er janvier 2020. Cette mesure très critiquée avait été annoncée fin août par Édouard Philippe.

Le 10 décembre, après trois semaines de crise des "gilets jaunes", M. Macron avait déjà annoncé renoncer pour 2019 à la hausse de la CSG pour ces mêmes retraites de moins de 2.000 euros.

- RIC locaux et suppression de l'ENA -

Le texte comporte également une série de mesures ou d'adresses à l'endroit des territoires. Emmanuel Macron explique notamment ne plus vouloir "aucune fermeture d'école et d'hôpital jusqu'à la fin du quinquennat", "sauf demande des maires".

Prenant acte que "beaucoup de nos concitoyens ont le sentiment que leur territoire est abandonné", le chef de l'État souhaite "assurer la présence des services publics" et "ouvrir un nouvel acte de notre décentralisation", notamment avec "plus de fonctionnaires sur le terrain, avec davantage de responsabilités", "et moins de fonctionnaires à Paris pour écrire des normes ou créer des règles".

Enfin, pour répondre aux demandes pressantes des "gilets jaunes" et de certaines oppositions comme La France insoumise (LFI), M. Macron se dit "favorable" à ce que des référendums d'initiative citoyenne (RIC) "puissent être organisés sur certains sujets d'intérêts locaux".

Il est en outre "favorable à ce qu'on puisse rendre plus accessible, en simplifiant les règles", le référendum d'initiative partagée (RIP), prévu par la Constitution mais extrêmement compliqué à mettre en œuvre.

Le texte prévoit qu'"une convention de 300 citoyens tirés au sort" sera installée "dès le mois prochain", en mai, chargée de "travailler à la transition écologique et aux réformes concrètes à prendre".

Le président de la République se dit enfin favorable, selon ce projet d'allocution, à la suppression de l'ENA, dont il est sorti diplômé en 2004.

© 2019 AFP

  
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