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GE Belfort: intersyndicale et élus vont mettre en demeure le gouvernem

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CRI74 CRI74
09/07/2019 21:39:30
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Simplissime : on vire le directeur !

Les ouvriers n'y sont pour rien , eux bossent , toujours plus

  
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dematons dematons
09/07/2019 21:32:25
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Il serait temps que ces gugus écoutent le Directeur Général de GE, ouvrent un livre d'économie, apprennent la gestion, et nous expliquent ce qu'ils feraient à la tête d'une entreprise qui a perdu 1.2 MMILLIARD par an.
Même les cocos viennent de licencier 40 salariés de leur feuille de choux "l'humanité" parce qu'elle perd de l'argent (alors que c'est le quotidien le moins lu de France et celui qui reçoit le plus de subvention, c'est à dire qui est financé par tous les contribuables !).
  
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dematons dematons
09/07/2019 21:32:25
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Manifestation contre le plan de suppression d'emplois de GE à Belfort le 22 juin 2019 (AFP/Archives/SEBASTIEN BOZON)

L'intersyndicale de General Electric (GE) à Belfort et des élus ont annoncé mardi leur intention de mettre en demeure le gouvernement pour exiger que l’industriel américain respecte les engagements pris au moment du rachat du pôle énergie d'Alstom en 2014 et suspende son plan de suppression d'un millier d'emplois.

"Il faut y aller étape par étape. La première des choses, c'est une mise en demeure par le collectif (...) adressée au ministre de l'Economie pour s'assurer que General Electric respecte les engagements qu'il a pris", a déclaré, en déplacement à Belfort, le député Olivier Marleix (LR).

Ex-président de la commission d'enquête à l'Assemblée sur la politique industrielle de la France, il avait saisi la justice en janvier pour qu'elle enquête sur les circonstances de la vente du pôle énergie d'Alstom à GE en 2014.

Outre la promesse de la création de 1.000 emplois nets que GE n'a pas tenue et pour laquelle il doit payer des pénalités, le géant industriel américain s'était aussi "engagé à maintenir l'essentiel des activités turbines à gaz de 50 Hertz de Belfort et à maintenir le centre de décision mondiale (de cette activité) à Belfort", a rappelé M. Marleix, soulignant que cet engagement "a une valeur juridique".

"C'est notre avocate qui va préparer cette demande de mise en demeure" qui doit être envoyée "rapidement", a indiqué Philippe Petitcolin, délégué syndical CFE-CGC, à l'issue d'une réunion de l'intersyndicale avec les députés Olivier Marleix (LR), Fabien Roussel (PCF) et Bastien Lachaud (LFI).


Olivier Marleix, député LR, le 19 juin 2017 à Paris (AFP/Archives/Thomas Samson)

Autour d'eux s'est constitué un collectif comprenant des parlementaires, des représentants des collectivités locales, des personnalités politiques locales, des représentants syndicaux du patronat et des salariés. Les membres de ce collectif devraient tous signer cette mise en demeure, qui exigera une suspension du plan social prévu par General Electric et envisage la possibilité d'intenter "une action en justice contre l'Etat" si rien n'est fait pour faire respecter l'accord de 2014.

GE a annoncé fin mai son intention de supprimer environ 1.050 postes en France, dont presque 800 dans l'entité turbines à gaz du site de Belfort, soit la moitié de ses effectifs. Au total, GE emploie 4.300 salariés à Belfort.

Ce plan social "est la conséquence d'un projet beaucoup plus global, à l'échelle mondiale", qui "a touché 12.000 personnes dans le monde" et "malheureusement, aujourd'hui, on n'a pas de plan B", a déclaré le directeur des opérations industrielles pour l'Europe de GE Power, Patrick Maffeis, dans une interview publiée dimanche par l'Est Républicain.

© 2019 AFP

  
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