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Brexit: déjeuner difficile entre Boris Johnson et Jean-Claude Juncker

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Pedru Pedru
16/09/2019 19:32:16
1

Allons jipes je ne suis pas à l’Elysée

Et moi je te supporte TOI, sans difficulté, il arrive même que tu me fasses rire


  
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jipes jipes
16/09/2019 19:08:24
0

Et nous en France, on te supportes bien.

Message complété le 16/09/2019 19:08:48 par son auteur.

on te supporte.

  
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Pedru Pedru
16/09/2019 19:07:44
0

Je suis même surpris et choqué que les Britanniques acceptent ce genre de personnage

  
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CRI74 CRI74
16/09/2019 17:12:24
0

Il faudra plutôt noter quand il ne dit pas de mensonge , auquel cas nous serons au chômage pour une éternité .

Pour rappel , dans son jeune temps et ses premières heures politiques , il s'était déjà fait prendre pour cela et strictement rien n'a changé depuis . Quel dépit pour les anglais qui se font berner !

  
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Pedru Pedru
16/09/2019 17:02:08
0

Le clown avait encore menti !!!!

  
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CRI74 CRI74
16/09/2019 14:48:05
0

Réponse du berger à la brebis échevelée :

16/09 14h40

Londres n'a pas encore proposé de solution satisfaisante pour un nouvel accord avec l'Union européenne sur le Brexit, a annoncé lundi la Commission à l'issue d'une rencontre entre le président de l'exécutif européen Jean-Claude Juncker et le premier ministre britannique Boris Johnson à Luxembourg.

«Le président Juncker a rappelé qu'il était de la responsabilité du Royaume-Uni d'apporter des solutions juridiquement opérationnelles qui soient compatibles avec l'accord de retrait», a indiqué la Commission dans un communiqué. «Le président Juncker a souligné la disposition de la Commission à examiner si de telles propositions remplissent les objectifs du backstop .

De telles propositions n'ont pas encore été faites».



  
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CRI74 CRI74
16/09/2019 13:47:47
0

Le clown anglais l'a convaincu que lui même et rencontre logiquement une belle unanimité européenne contre lui ....alors que d'autres nez rouges l'écoutent encore débiter ses sornettes habituelles

==> Le Parlement européen, qui devra approuver l'accord trouvé avec Londres, a haussé le ton. Il votera mercredi une résolution très sévère dans laquelle il exige une clause de sauvegarde (le "backstop") pour empêcher le retour d'une frontière physique entre l'Irlande et la province britannique d'Irlande du Nord, ce que Boris Johnson refuse .

Message complété le 16/09/2019 13:48:16 par son auteur.

Le clown anglais n'a convaincu que lui même

  
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jipes jipes
16/09/2019 12:51:04
1

En tous les cas, ça ne sera pas avec toi !

  
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Pedru Pedru
16/09/2019 12:09:05
0

Les clowneries et les mensonges de BOJO n’ont servi à rien, maintenant il va valoir discuter avec des gens sérieux

  
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starox starox
16/09/2019 11:59:57
2

@ gars d'ain

qu'il ne passe pas chez moi, avec le mistral, tu vas voir ou ira sa perruque

  
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gars d'ain gars d'ain
16/09/2019 11:34:34
0

Please ??? can you shut the windows, my blonde wig may be goes away...


it's a gift of my friend Donald...


  
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jipes jipes
16/09/2019 11:30:09
0

Avant d'écrire cette stupidité, tu devrais la tester cette …………………..

  
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starox starox
16/09/2019 11:25:06
0

il est convié à un déjeuné ?

l'on devrait lui servir de "la mort au rat" à ce co°°°ard !

  
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gars d'ain gars d'ain
16/09/2019 11:15:16
1

... vous reprendrez bien de cette infâme panse de brebis farcie avec un peu gelée de menthe ???

On n'a plus que ça et c'est pas cher...

: )

  
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mika57 mika57
16/09/2019 11:12:42
2

Le Brexit, en résumé :



  
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jipes jipes
16/09/2019 11:07:42
1

Vois plutôt que le petit déjeuner n'a pas dû être facile car d'un côté, il y avait des tartines beurrées et de l'autre du bacon.

Comment veux tu qu'il y ait déjà une bonne entente à la table ?

  
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gars d'ain gars d'ain
16/09/2019 10:02:10
2
y'avait des déjà les cheveux...

Mais si en plus, y'a les petits hommes verts...

ça se gâte vraiment...

J'attends avec impatience le Brexit et la sortie de l'Ecosse du royaume uni qui démonteront alors le niveaux de crétinisme de certains dirigeants politiques britanniques :
• L'angleterre perdra une grande part de ses ressources énergétiques : pétrole, gaz, électricité
• Le royaume uni très affaibli perdra la moitié de ses eaux territoriales...

Je sais pas si David "Johnson" Vincent a tout bien compris en levant sans cess le petit doigt...
  
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gars d'ain gars d'ain
16/09/2019 10:02:10
0

Le Premier ministre britannique Boris Johnson, le 3 septembre 2019 à Londres (AFP/Archives/DANIEL LEAL-OLIVAS)

Six semaines avant le divorce avec l'Union européenne, le Premier ministre britannique Boris Johnson va déjeuner lundi à Luxembourg avec des négociateurs européens très réservés sur ses annonces et peu optimistes sur les chances d'une séparation concertée.

Boris Johnson a demandé à rencontrer le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker avant qu'il ne parte pour Strasbourg où le Parlement européen se réunit en session plénière. Le négociateur de l'UE, le Français Michel Barnier, participera à l'entretien.

Boris Johnson rencontrera ensuite le Premier ministre luxembourgeois Xavier Bettel et les deux dirigeants tiendront une conférence de presse conjointe.

Les forfanteries de M. Johnson laissent les Européens de marbre. Lorsque Boris Johnson annonce "d'énormes progrès" sur la manière de traiter les problèmes de la frontière nord-irlandaise et se compare à Hulk, un super-héros capable de libérer le Royaume-Uni des entraves européennes, les Européens répondent "attendre" des propositions concrètes et se disent "peu optimistes" sur les chances d'un divorce arrangé le 31 octobre.


Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, le 21 juin 2019 à Bruxelles (AFP/Archives/Kenzo TRIBOUILLARD)

"Rien de bien tangible jusqu'à présent", a confié à l'AFP un diplomate européen de haut rang dans un commentaire sur les dernières réunions de travail entre le conseiller de Boris Johnson, David Frost, et les équipes de Michel Barnier à Bruxelles.

"Nous n'avons pas de raisons d'être optimistes" sur les chances de parvenir à un accord avant le sommet européen organisé les 17 et 18 octobre, a pour sa part averti le négociateur européen lors d'une réunion avec les chefs des groupes politiques du Parlement européen.

- Résolution très sévère -

Même sentiment pour Jean-Claude Juncker. Le président de la Commission européenne "n'est pas optimiste" après avoir pris connaissance des solutions proposées par Londres pour l'Irlande et "il attend toujours des propositions concrètes", a fait savoir son entourage.


Michel Barnier, le négociateur de l'UE pour le Brexit, le 19 mars 2019 à Bruxelles (AFP/Archives/EMMANUEL DUNAND)

Le Parlement européen, qui devra approuver l'accord trouvé avec Londres, a haussé le ton. Il votera mercredi une résolution très sévère dans laquelle il exige une clause de sauvegarde (le "backstop") pour empêcher le retour d'une frontière physique entre l'Irlande et la province britannique d'Irlande du Nord, ce que Boris Johnson refuse.

"Si le divorce se fait sans accord, le gouvernement britannique en assumera l'entière responsabilité et devra honorer tous ses engagements financiers, respecter les droits des citoyens européens et ses obligations au regard de l'accord du Vendredi Saint avec l'Irlande", a averti le président du Parlement, David Sassoli.

"Le Parlement européen ne donnera pas son aval à de nouvelles négociations entre l'UE et le Royaume-Uni si ces obligations ne sont pas respectées", a-t-il menacé.

La solution serait de limiter la clause de sauvegarde à l'Irlande du Nord, a rappelé le président du Parlement. Cette région resterait territoire douanier de l'UE et deviendrait la frontière avec le reste du Royaume-Uni (Angleterre, Ecosse et pays de Galles), une solution pour l'instant rejetée par les Britanniques car elle ouvre la porte à une réunification en Irlande.

- Barnier et "Hulk" Johnson -

Les Européens savent ce qu'ils veulent et, unis, ils campent sur leurs positions. Ils attendent les prochains mouvements de Boris Johnson.

Le Premier ministre britannique sait ce qu'il risque en cas de divorce sans accord. Un dossier gouvernemental fait état de troubles et de pénuries de médicaments et nourriture.


Le super-héros Hulk (g) et l'acteur américain Lou Ferrigno qui l'a interprété, le 8 juillet 2017 à Los Angeles (GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP/Archives/Ari Perilstein)

"Nous sommes toujours prêts à examiner objectivement toute proposition concrète et juridiquement valable du Royaume-Uni, mais nous les attendons toujours", a rappelé Michel Barnier.

"Plus Hulk se met en colère, plus Hulk devient fort et il s'échappe toujours", se vante Boris Johnson. "Le Brexit est une école de patience et de détermination", lui répond, pince-sans-rire, Michel Barnier.

"Nous avons déjà tous passé trop de temps sur cette question", a encore écrit M. Johnson dans le Daily Telegraph lundi. "Si nous pouvons entériner un accord, alors bien sûr le Parlement aura tout le temps de l'examiner et de l'approuver avant la fin octobre", a-t-il poursuivi. "Mais soyez sûrs que si nous ne pouvons parvenir à un accord, le bon accord pour les deux parties, alors le Royaume-Uni sortira de toute manière" de l'UE.

© 2019 AFP

  
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