Inquiète pour l'économie, la Bourse de Paris accentue son recul et per

la mafia n’était pas inquiète pour toucher un super bonus pendant 9 mois à chaque trimestre avec des stats archi pourries au quotidien

une escroquerie la bourse de paris

Répondre

Ce qui est choquant est que l' on s' inquiète pour l' économie en OCTOBRE ce qui a été largement ignoré en Septembre .
Toujours en OCTOBRE , on nous fait le coup de la baisse rappelez vous OCTOBRE 2018 et bien des mois d' OCTOBRE dans l' histoire boursière.

Répondre

La Bourse de Paris accentuait son recul, mercredi en début d'après-midi, au point de perdre plus de 2%, lestée par les inquiétudes au sujet de la solidité de l'économie mondiale dans la foulée d'indicateurs américains décevants.

A 15H14 (13H14 GMT), l'indice CAC 40 perdait 119,11 points (-2,13%) à 5.478,52 points, dans un volume d'échanges de 1,6 milliard d'euros. La veille, il avait fini en net repli de 1,41%, repassant sous les 5.600 points.

La cote parisienne a démarré sur un léger repli et a progressivement accentué ses pertes.

La publication en début après-midi d'un ralentissement des créations d'emplois dans le secteur privé aux Etats-Unis en septembre sont venues s'ajouter aux inquiétudes générées la veille par le recul de l'activité du secteur manufacturier américain pour le même mois qui est tombé à son plus bas niveau depuis dix ans.

Selon l'enquête mensuelle d'ADP publiée mercredi, le secteur privé a créé 135.000 emplois après 157.000 en août, un chiffre révisé en baisse, là où les analystes s'attendaient à 150.000 créations.

"Les inquiétudes économiques pèsent sur les actions européennes", a résumé Michael Hewson, un analyste de CMC Markets.

Sur l'indice CAC 40, seul Pernod Ricard se maintenait dans le vert, montant de 1,32% à 165,30 euros, fort d'une recommandation revue à la hausse par Jefferies, de "conserver" à "acheter", après que le numéro deux mondial des spiritueux a annoncé mardi la fusion de ses deux filiales Pernod et Ricard, ce qui entraînera un plan de départs volontaires de 190 postes nets.

Les titres cycliques, les plus sensibles à la conjoncture, étaient à l'inverse frappés de plein fouet, à l'instar d'ArcelorMittal (-4,33% à 12,19 euros) ou Michelin (-3,26% à 98,92 euros).

1. https://www.euronext.com/fr/products/indices/FR0003500008-XPAR" ignorabletext="true">Euronext CAC40

© 2019 AFP

Répondre