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Un communiqué de la société est un minimum.......!!
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Concernant l article des échos, je pense qu ils ont un service juridique et ne pondent pas un article sans prendre certaines dispositions afin de leurs éviter un procès et les échos ont quand même bonne réputation et un certain sérieux...
A suivre.
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AB SCIENCE : dans le collimateur de l'AMF
AB Science cède 3,17% à 4,89 euros, le marché ne réagit pas violemment à l'information des Echos selon laquelle la biotech était dans le viseur de L'AMF pour des soupçons de délits d'initiés sur quatre dirigeants, dont son PDG, Alain Moussy. En mars 2017, plusieurs semaines avant l'annonce d'une mauvaise nouvelle ayant fait chuté le titre de plus de 30%, ces dirigeants ont cédé une partie de leurs actions afin de générer "des économies de pertes". Alain Moussy aurait ainsi économisé plus de deux millions d'euros.
La société aurait par ailleurs réalisé deux opérations de placements privés dans des conditions favorables.
Souvenir ému du jour ou je me suis promis de ne plus regarder la moindre biotech !
Message complété le 21/11/2019 15:30:42 par son auteur.
Je confond avec la chute d'avril 2018. Mea culpa.
Mais bon, belle branlée quand même ce jour là !
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Au fait jdarry le professeur HERMINE un exemple 150 000 euros.....??
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Il faut bien lire ....
Soupçon le 7 novembre dernier déjà des problèmes en 2017......
A suivre
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Et si on s'interrogeais sur le timing
Affaire de debut 2017, mentionnee dans le rapport annuel AB, evoquee en mars 2019 par Blomberg et qui sort en pleine periode de resultats a priori favorables.
Le monde des bios et pharma est decidement un remake de Dallas
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Pourquoi date 21/11/2019
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Des opérations « suspectes » ont été observées par l'AMF concernant la société AB Science.
Photo Eric Piermont/AFP
Par Yann Duvert
Publié le 21 nov. 2019 à 6h30
Le 7 novembre dernier, AB Science se donnait un peu d'air en annonçant la réussite d'une étude clinique testant l'efficacité de sa molécule phare, le masitinib, potentiellement utilisable dans le traitement de plusieurs pathologies (notamment en oncologie et pour les maladies inflammatoires ou nerveuses). Une bonne nouvelle pour la biotech qui avait vu son cours de Bourse s'approcher de son plus bas historique, après un nouveau refus d'homologation de ce composé par les autorités sanitaires. Mais l'entreprise reste dans le collimateur de l'Autorité des marchés financiers (AMF), qui enquête sur de possibles délits d'initiés de quatre dirigeants, dont son PDG, Alain Moussy.
Les soupçons remontent au mois de mai 2017, lorsque l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) décide de suspendre les 21 essais cliniques du masitinib menés en France par AB Science, pour des « violations graves et répétées » des dispositions en vigueur. Cette décision est alors le fruit d'investigations réalisées à la demande de l'European Medical Agency (EMA), dont l'avis est déterminant pour obtenir une mise sur le marché par la Commission européenne. Sans surprise, l'annonce provoque une lourde chute du titre AB Science, de plus de 30 %. Quelques heures plus tard, l'EMA donne, sans surprise, un avis négatif.
« Opérations suspectes »
De tels décrochages ne sont pas anormaux dans le secteur des biotech, soumises à l'incertitude de la recherche médicale. Plus inhabituel, l'AMF remarque « des opérations suspectes réalisées par la société » et quatre de ses dirigeants. Une enquête est officiellement ouverte au mois de septembre, comme l'indiquait en mars dernier l'agence Bloomberg.
Les investigations portent sur des cessions de titres réalisées au mois de mars, soit plusieurs semaines avant l'annonce des autorités sanitaires. « Alors que l'avis négatif des rapporteurs de l'EMA était connu d'AB Science mais n'avait pas été rendu public, la société aurait réalisé deux opérations de placements privés dans des conditions favorables », rapportent les enquêteurs.
Une « économie de perte » de 2 millions d'euros pour le PDG
Le 31 mars, son PDG, Alain Moussy, aurait également cédé des titres de l'entreprise, lui permettant de réaliser une « économie de perte » - soit la différence avec une opération similaire réalisée après l'annonce - de plus de 2 millions d'euros. Par le même procédé, le directeur financier, Laurent Guy, aurait « économisé » un peu plus de 100.000 euros et Olivier Hermine, le directeur de la stratégie clinique, près de 150.000 euros.
Le 11 mai, soit la veille de la demande de suspension des essais par l'ANSM, c'est enfin Catherine Marle, à la tête des opérations cliniques d'AB Science, qui aurait cédé des actions lui permettant de réaliser une économie de perte de 31.750 euros.
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