Taxe numérique: France et États-Unis ont trouvé un "cadre global commu

Nodless une autre Europe est possible. Si les sociétés civiles Européennes se rapprochaient entre-elles il serait possible de crée une autre Europe via des groupes de pressions qu'on appelle aussi lobbies.

Les obstacles aux rapprochements des sociétés civiles des pays Européens sont multiple et parmi eux il y a les suivants :

1.Absence d'une langue commune pour communiquer. L'anglais qui est la première langue étrangère apprise par la plupart des Européens n'est pas ce qui est le plus adapté à cause du fait que l'orthographe de l'anglais n'est pas phonétique comme le démontre ce poème publié en 1920 intitulé "The Chaos" écrit par le Néerlandais "Gerard Nolst Trenité" sous le nom de "Charivarius" ainsi que le fait qu'il y a beaucoup de racines.

Par exemple le mot solaire se dit "Solar" et le mot soleil se dit "Sun" et ces deux mots ont des racines différentes alors que ce sont des notions proches.

De même avec "Moon" qui signifie lune et "Lunar" qui signifie lunaire.

Si un jour on a un État Européen il faudrait que la langue officiel de cette État soit une langue construite comme l'Esperanto , l'Ido , l'Interlingue aussi appelé IALA , Kotova , Toki Pona etc... On sera tous à égalité pour apprendre une langue commune quelque soit notre langue maternelle et ces langues sont plus simple que les langues naturelles.

2.On a des problèmes en commun mais il y a des problèmes nationaux spécifique à certains pays.

3.On ne s'intéresse pas assez à ce qui se passe ailleurs.

4.On n'a pas encore d'industrie Européenne du cinéma qui permettrait à un Européen de voir tout les films réalisé dans le pays A dans les cinémas de pays A disponible dans les cinémas de pays B avec des sous-titres dans la langue de pays B ou doubler dans la langue de pays B.

5.On n'a pas encore d'industrie Européenne de la musique où l'on peut aisément accéder via nos télévisions aux musiques produite à pays A dans la langue de ce pays avec des sous-titres dans notre langue si on ne comprend pas cette langue. Je rêve d'un MTV Européen avec uniquement des artistes produit en Europe dans les langues locales avec des sous-titres disponible dans toute les langues nationales (Malheureusement on peut oublier les régionales vu que ce serait trop coûteux de les ajouter) des zones desservies en Europe.

6.Les chaînes nationales de chaque pays ne sont pas accessible à ceux qui ne sont pas locuteurs de la langue du pays à cause de l'absence de sous-titres dans les autres langues nationales (J'exclus les langues régionales pour simplifier parce que ce serait trop coûteux).

7.Il n'y a pas beaucoup de chaînes pan-européenne. L'exemple le plus abouti de mon point de vue est Euronews.

Je crois que c'est la seule chaîne pan-européenne mais je n'en suis pas sûr.

diviser pour regner, l'UE s'applatira, les 27 pays n'ont pas les mêmes intérêts, la soi disant union n 'est qu'une façade, suffit a Trump de mencer l'Allemagne de taxer ses automobiles pour que l'Allemagne mettent son veto contre la France. La France seule ne pèse rien, seule une UE unie pourrait faire face, mais c'est loin d'être le cas tant que les paradis fiscaux Irlandais, Luxembourg existeront, cette UE est vouée a exploser, le Brexit est le détonateur, Trump appuiera sur le bouton. Enfin ce n'est que mon avis bien sur

Manitro , pour montrer notre volonté aux dirigeants je pense qu'il faudrait un mouvement suffisamment structuré et puissant pour demander un État Européen quelque soit la forme (Fédération , Confédération , État Unitaire etc...) soit une union plus étroite entre les pays membres de l'UE et de l'EEE (Espace Économique Européen qui sont les 28 de l'UE + Islande , Liechtenstein , Norvège).

Il y a actuellement aucun mouvements correspondant à ces caractéristiques à ma connaissance.

Oui l'idéal serait une résistance Européenne mais les intérêts des différents pays ne sont pas les mêmes malheureusement alors c'est aussi à nous de montrer à nos dirigeants notre volonté.

@manitro Seul un bloc Européen serait capable de résister.

Ce bloc serait dans l'idéal un État Européen.

Tant que l'UE ne sera pas dire NON aux USA et à Trump nous serons juste bons à leur cirer les pompes et de plus cela va permettre à Trump d'être réélu donc encore plus de chantage et de pression et cela risque rapidement de dégénérer. Il arrive un moment où c'est nous en tant que citoyens à prendre et ne plus acheter le made in USA. Surtout ne pas croire que cela a un effet négligeable.

Message complété le 23/01/2020 07:02:28 par son auteur.

lire "ne saura pas" dsl

Dubaisan , il y a les pressions internes et externes contre la République Française connu du grand public et celles qui ne le sont pas.

Par conséquent nous ne pouvons pas dire que l'État cède à tout si on n'est pas capable de citer l'ensemble des pressions.

A croire qu'ils font tout à l'envers ? Non , ils font effectivement tout à l'envers ! C'est exactement la bonne méthode pour reculer à vitesse grand V déjà largement usitée auparavant pourtant

À la lecture de l’article je me suis aussi dit:

« Ça y est, on baisse encore la culotte »

Un pays dont l’État cède à toutes les pressions internes (NDDL , GJ, retraites....) ou externes, même minimes, est condamné à disparaître.

Bruno Le Maire à Davos, le 22 janvier 2020 (AFP/Fabrice COFFRINI)

Le ministre français des Finances Bruno Le Maire a assuré mercredi après une entrevue avec son homologue américain Steven Mnuchin que Paris et Washington avaient trouvé un "cadre global commun" sur la taxe numérique française qui irrite les Etats-Unis.

"La France est prête à reporter le paiement des acomptes de sa taxe digitale à décembre 2020" et les "Etats-Unis sont prêts à suspendre les sanctions" qu'ils menaçaient de prendre contre des produits français pendant ce temps, a-t-il dit en marge du Forum économique mondial de Davos.

"La France n'acceptera ni retrait ni suspension de sa taxe tant qu'il n'y aura pas de solution internationale", a ajouté le ministre, se défendant de plier sous la pression américaine.

"Il reste à nous entendre sur (une) base commune de travail" avec les Etats-Unis pour faire avancer les négociations au sein de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) à la fois pour une taxe numérique internationale, et pour une taxation minimale des entreprises.

M. Le Maire a indiqué qu'il allait revoir jeudi son homologue américain pour discuter ce dernier point "non négligeable".

Washington avait notamment avancé comme base de discussion le principe d'une taxation optionnelle, une ligne rouge pour Paris. "Je crois que ce n'est plus sur la table", a dit le ministre français.

Ce dernier a aussi assuré que l'Europe était "unie comme jamais" dans cette affaire, rejetant les accusations de jouer cavalier seul alors que d'autres pays européens mènent leurs propres projets de taxation numérique.

© 2020 AFP