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Les minorités vont stigmatiser et imposer leur loi aidées en cela par des hommes politiques faibles qui n'assument rien de peur du politiquement correct, prêt a se prostituer pour le pouvoir, l'avenir sera invivable
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Ci-dessous l'éclairage statistique factuel suivant 5 critères à propos des populations issues du Maghreb.
Préambule: il ne s'agit évidemment pas de victimiser qui que soit, encore moins d'excuser les comportements répréhensibles, d’où qu'ils viennent. Pour pouvoir échanger sereinement il faut, à minima ,partager "les données indispensables"
Source INSEE :
Pour l’INSEE, un immigré est une personne née étrangère à l’étranger et qui a pu devenir française, alors qu’un étranger est une personne qui n’a pas la nationalité française, même si elle peut être née en France)
1/ Les différences de revenus :
. Sur les 1,6 millions d’étrangers actifs en France, 46 % sont ouvriers contre 25 % des Français de naissance. 0,8 % occupent des professions libérales.
0,5 % sont des chefs d’entreprise de 10 salariés ou plus.
2/ Le seuil de pauvreté :
. 15 % des ménages immigrés vivent en dessous du seuil de pauvreté, contre 5,6 % pour les ménages non immigrés.
Les ménages originaires des pays du Maghreb sont les plus touchés (22,6 %).
3/ L’emploi et le chômage :
. 29,6 % des immigrés masculins d’origine algérienne sont au chômage, et 23,2 % des Français dont les parents sont d’origine algérienne, contre 10 % pour l'ensemble de la population.
4/ L’éducation et la formation :
. 10 %, c’est l’écart séparant les résultats obtenus aux évaluations nationales des élèves dont les deux parents sont français, et les élèves dont les deux parents sont immigrés ou étrangers.
. 27,2 % des élèves issus de familles immigrées sont en lycées généraux, contre 39,7 % pour les élèves de familles non-immigrées.
5/ Le logement :
. 35 % des ménages immigrés sont propriétaires de leur logement, contre 57 % des ménages non-immigrés.
Notre devise universelle "les hommes naissent libres et égaux en droits" est plus que jamais d'actualité
Message complété le 07/02/2020 15:07:38 par son auteur.
" Si des entreprises rechignent à embaucher des personnes d'origine maghrébine, il faudrait peut-être se poser des questions au lieu de "discriminer" ces entreprises."
Complètement d'accord avec toi Schatzyy, pour que l'on se pose les bonnes questions,il faut les éléments factuels de base.
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Pour ma part je ne pense pas que le monde s’enfonce dans l’ostracisme, mais plutôt dans le totalitarisme.
Quand les sociétés ne sont plus libres d’embaucher qui bon leur semble, c’est que quelque chose ne tourne plus rond.
Quand la médiasphère s’émeut ad nauseam de l’éviction d’une PDG par un CA ( une femme, vous vous rendez compte ? ), c’est que quelque chose ne tourne plus rond. Ce monde n’est plus régi par la réflexion, ni par le bon sens, ni par le pragmatisme.
Ce monde, d’aujourd’hui et de demain, sont régis par les idéologies et les émotions.
On a mis à la tête des ministères, non plus des êtres réfléchis et pragmatiques ( encore moins des patriotes ), mais des idéologues militants(es), qui entrainent la(les) collectivités dans les directions que leur inspirent les émotions induites par leurs idéologies ( féministes, écologistes… ).
Ainsi fait on aujourd’hui la diplomatie et la politique sur twitter, à l’émotion de l’instant. Emotion que l’on met à profit pour communiquer aux foules ( et aux marchés ), les sentiments nécessaires pour les mener dans la direction choisie.
Quand ce ne sont plus la raison, la réflexion et le pragmatisme, au service de l’intérêt commun qui gouvernent, mais plutôt les émotions induites par des idéologies aveugles, au service de tel ou tel groupe de personnes, c’est la porte ouverte au totalitarisme, et au bout du chemin, à la décadence.
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suis de l'avis de Schatzyy
quand tu diriges une entreprise tu mets toutes les billes de coté pour que cela se passe bien et quand je pense à AFKLM je me dis qu'éviter au maximum qu'un avion explose en vol c'est bien aussi non?
"principe de précaution " à l'embauche, rien de choquant pour moi! Faut vivre avec son temps et avec les dingos aussi !
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On n'avancera pas tant que la globalisation par "ethnies, races, peuples.." l'emportera sur le bon sens.
Un C.. est un C.., quelle soit son origine.....
On peux juger un individu, pas une communauté.
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Message complété le 07/02/2020 10:35:15 par son auteur.
Ni de se qui s'est passé sur notre territoire, ce qui, de ce fait, nuit aux postulants
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On pourrait............
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Le gouvernement a épinglé jeudi sept entreprises françaises - Air France, Accor, Altran, Arkéma, Renault, Rexel et Sopra Steria - pour "présomption de discrimination à l'embauche" à la faveur d'une campagne de testing qu'il avait commanditée.
Ces entreprises - à l'exception de Renault qui n'a pas encore réagi - se sont immédiatement déclarées "indignées" par les "faiblesses manifestes de la méthodologie utilisée qui aboutit à des conclusions erronées".
Une première version de cette étude avait été révélée par France Inter début janvier sur un plus grand échantillon (103 entreprises) et aucun nom d'entreprise n'était alors sorti. Les résultats dévoilés jeudi portent sur 40 grandes entreprises du SBF 120.
L'étude, conduite par des chercheurs de l'université de Paris-Est-Créteil entre octobre 2018 et janvier 2019, sera mise en ligne.
Selon les ministères du Travail, du Logement et le secrétariat aux Droit des femmes qui ont présenté ces résultats jeudi, il s'agit du "plus grand testing jamais réalisé en France sur l'emploi".
Emmanuel Macron avait promis une telle mesure en mai 2018 à l'occasion de l'annonce de mesures pour les banlieues.
En 2016, un précédent testing qui portait sur un envoi bien moins nombreux de candidatures avait épinglé AccorHotels et Courtepaille. La question du "name and shame" qui consiste à pointer du doigt telle ou telle entreprise fait débat.
"Sur l'ensemble des entreprises testées, il est estimé que le taux de succès du candidat dont le nom a une consonance maghrébine est de 9,3% contre 12,5% pour le candidat avec un nom à consonance européenne", ce qui représente "25% en moins de chance" d'avoir une réponse - de bonne réception ou donnant une information - indiquent les ministères.
"Ces tests correspondent à l'envoi de 10.349 candidatures fictives ou demandes d'information", candidatures spontanées ou répondant à une offre, précisent-ils.
Ces demandes d'information, concernant des postes d'hôtesses d'accueil et de techniciens de maintenance, sont envoyées par paires: une avec un nom à consonance européenne et une avec un nom à connaissance maghrébine.
- Discrimination "à l'envers" -
Cette étude a "ses limites", a cependant reconnu jeudi le gouvernement, des limites mises en avant par les chercheurs eux-mêmes.
D'abord les candidatures ont été envoyées à des managers alors que certaines entreprises ont "recours à des bases centralisées par les directions RH (ressources humaines) et à des ATS (applicant tracking system), c'est-à-dire une application ou une solution web qui assiste les RH dans les étapes du recrutement".
Deuxièmement, ces emplois d'hôtesse d'accueil et de technicien de maintenance sont parfois sous-traités par les entreprises qui ont fait l'objet du testing.
Les sept entreprises épinglées, avec lesquelles le gouvernement dialogue depuis plusieurs semaines, ont déjà réfuté cette étude auprès des ministères impliqués.
Interrogée jeudi, Air France "conteste totalement la méthodologie et les conclusions du rapport" qui "ne reflètent absolument pas la culture, les valeurs et les pratiques de l'entreprise", d'autant qu'elles reposent sur des candidatures spontanées.
"Nous recrutons 4.000 personnes par an en France sur un marché d'ingénieurs ou règne la pénurie, nous ne pouvons pas nous permettre de faire de la discrimination", a réagi de son côté une porte-parole de l'entreprise Altran.
A noter que l'étude souligne le cas d'une entreprise, Air Liquide, pratiquant une discrimination "à l'envers" qui "avantage le candidat potentiellement discriminé".
Le gouvernement a indiqué jeudi qu'il relancerait "une nouvelle vague de testing avec un cahier des charges prenant en compte les marges de progrès identifiées sur la première étude".
Les représentants des trois ministères n'ont cependant pas précisé quand serait présentée une "stratégie gouvernementale" contre les discriminations à l'embauche, pourtant annoncée par la secrétaire d'État à l'Égalité femmes-hommes, Marlène Schiappa.
Dans un communiqué, la fédération nationale des "maisons des potes" a regretté ce manque d'annonces et demandé au gouvernement "de rendre public les recommandations qu'il a prodigué aux 15 grandes entreprises épinglées par le testing gouvernemental et aux sept dont l'identité a été révélée".
© 2020 AFP
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