OK
Accueil > Communauté > Forum Général

Réponse à Coco85 - Page 2



deckard6 deckard6
24/03/2020 11:22:55
1

Allez un petit dernier pour la route pour qui voudra se coucher moins bête ce soir :

https://fr.qwe.wiki/wiki/Ethnic_bioweapon


Allez place à la Bourse

  
Répondre
deckard6 deckard6
24/03/2020 11:15:05
2

Dubaisan, les bisounours aiment à penser qu'on s'occupe bien d'eux et qu'on les protège avec bienveillance.

C'est la rançon de la recherche du confort par dessus tout et de ne surtout pas sortie de sa zone de confort.

Malheureusement, quand ils serrent les fesses, il est souvent trop tard !

  
Répondre
deckard6 deckard6
24/03/2020 11:11:53
1

Le CICR lance un cri d'alarme: la guerre bactériologique menace la planète

Armes. En juillet 2002, des scientifiques ont créé un virus de la poliomyélite à partir de séquences d'ADN achetées par correspondance, trouvant la formule chimique sur Internet

Publié jeudi 26 septembre 2002 à 02:29

Cri d'alarme au Comité international de la Croix-Rouge! La guerre bactériologique nous menace, prévient l'organisation humanitaire, qui, hasard de calendrier, lance son appel, au lendemain de la publication par le premier ministre britannique d'un rapport sur les dangers de l'utilisation d'armes bactériologiques par l'Irak. L'organisation genevoise s'inquiète «des progrès fulgurants de la science» mis au service des combattants : «Les germes pourraient bien remplacer demain les balles des fusils», affirme Peter Herby du CICR. Après les attaques à l'anthrax qui se sont produites aux Etats-Unis, les motifs d'inquiétude abondent, souligne l'organisation: des «armes génétiques» pourraient viser à l'avenir certains groupes ethniques ou raciaux, des virus très dangereux comme celui de la typhoïde ou de «la variole de la souris», dont les scientifiques viennent accidentellement de créer la souche, pourraient être propagés, des virus de synthèse, eux aussi extrêmement nocifs, sont désormais susceptibles d'être fabriqués sans guère de difficultés. Ainsi, en juillet 2002, des scientifiques ont créé un virus de la poliomyélite à partir de séquences d'ADN achetées par correspondance, trouvant la formule chimique sur Internet.


Face à la perspective d'une science sans contrôle, le CICR demande aux Etats, aux industriels et aux scientifiques de réaffirmer l'interdiction des armes biologiques et d'introduire des contrôles dans les laboratoires. Il exhorte la communauté internationale à adopter une Déclaration en ce sens en 2003, réaffirmant ainsi les principes contenus dans le Protocole de Genève de 1925 et dans la Convention de l'ONU de 1972 interdisant les armes biologiques. L'inquiétude du CICR est d'autant plus forte que depuis dix ans, la communauté internationale négocie un protocole visant à «donner des dents» à cette Convention. Mais le refus en novembre dernier des Etats-Unis a ruiné toute perspective. Washington considère en effet que le protocole en discussion était de toute manière «inefficace»: «Des hors-la-loi sans scrupules comme Saddam Hussein continuent de chercher à se procurer des armées illégales pour semer la destruction sur des cibles civiles au mépris total de la Convention sur les armes biologiques…», déclarait il y a peu John Bolton, le sous-secrétaire d'Etat américain, affirmant que l'Iran, la Libye, la Syrie et la Corée cherchaient, eux aussi, à acquérir «ces armes illicites et inhumaines». Les 144 Etats qui ont ratifié la Convention de 1972 doivent se réunir en novembre prochain à Genève, mais nul n'en attend le moindre résultat, Washington préconisant d'attendre 2006 pour de nouvelles négociations. Or, pour le Comité international de la Croix-Rouge, face aux dangers présents, il serait irresponsable de patienter encore quatre ans. «L'impasse des discussions sur le renforcement de la Convention nous préoccupe au plus haut point», affirme Peter Herby, dans un euphémisme très britannique. En lançant son initiative, l'organisation genevoise cherche à «extraire» la question des armes biologiques du domaine des négociations sur le désarmement où elle s'est ensablée, pour l'inscrire dans le champ du droit international humanitaire. Outre un arsenal législatif approprié, le CICR entend parallèlement que l'industrie en biotechnologie se dote de codes de conduite, sur le modèle de ce qui se fait au Canada. En médiatisant son initiative, la Croix-Rouge cherche aussi à mobiliser l'opinion publique. La pression des sociétés civiles a permis d'aboutir au Traité d'Ottawa de 1996 sur les mines antipersonnel, alors que les négociations interétatiques avaient précédemment échoué. En début de semaine, lors d'un séminaire des experts indépendants et gouvernementaux se sont rencontrés à Montreux, à l'initiative de l'organisation humanitaire, mais aucun industriel invité n'a fait le déplacement.


En attendant une réaction positive des Etats, des industriels et des chercheurs, le CICR n'en finit pas d'énoncer les sources de danger. Notamment, «le recours à de nouvelles méthodes permettant de répandre en secret, parfois sur une période de plusieurs années, des agents biologiques présents dans le milieu naturel, afin de modifier des processus physiologiques ou psychologiques – conscience, comportement ou fertilité, par exemple – de la population cible».

https://www.letemps.ch/societe/cicr-lance-un-cri-dalarme-guerre-bacteriologique-menace-planete


Tiens ! '' Le Temps '' ! En voilà un bon vieux site complotante. Ne voilà t'il pas ?


Vous avez le choix : faites vos recherches, vos croisement et vos synthèses, informez vous par vous mêmes ou préférez le confort d'un sommeil plein de rêves d'un monde idéal ou l'on s'occupe de vous avec bienveillance


Jean


  
Répondre
Dubaisan Dubaisan
24/03/2020 11:05:31
2

Bonsoir Deckard6, Bonsoir Coco85,

Et cela ne concerne qu'un seul domaine ...et s'il n'y avait qu'eux...et si les bisounours savaient...

  
Répondre
Bill17 Bill17
24/03/2020 11:04:33
2

Si seulement on pouvait créé une arme qui cible les cons!

  
Répondre
deckard6 deckard6
24/03/2020 10:59:15
1

Coco : « « il existe des armes biologiques censées ne cibler que certaines ethnies. » ».

Là, je n’y crois pas du tout. C’est trop dangereux car pas maîtrisé.


Suffit de demander :

Balles génétiques : Armes biologiques spécifiquement ethniques

Extrait : Chose inquiétante, le Projet sur le Génome Humain est actuellement conduit sous les auspices du Département de l’Énergie qui surveille également l’arsenal américain des armes nucléaires. Bien que la similitude de l’ADN de tous les êtres humains semble plaider en défaveur de la faisabilité ” d’armes génétiques “, des scientistes britanniques et d’ailleurs n’en sont pas si sûrs. En 1997, le Dr. Wayne Nathanson, chef du Département des Sciences et d’Éthiques de la Société médicale du Royaume-Uni, a lancé l’avertissement suivant, lors de la réunion annuelle de la Société, que la ” thérapie génétique ” pourrait bien se transformer en ” armes génétiques ” que l’on pourrait, selon toute possibilité, utiliser pour cibler certains groupes de gènes que possèdent certains groupes de gens.

Nathanson mit en garde contre le fait que de telles armes pourraient être lâchées contre des êtres humains, non seulement sous les formes anticipées comme le gaz ou en aérosol, mais aussi être introduites dans les approvisionnements d’eau. Reculant, cependant, devant la suggestion que de telles armes puissent être capables d’éliminer la majorité de la population mondiale, il évoqua néanmoins l’idée qu’elles puissent être employées, non seulement pour infliger la mort, mais également causer la stérilité et l’infirmité chez les nouveau-nés des groupes ciblés. Le résultat est aussi certain qu’un génocide, mais par le moyen d’une attaque plus lente, plus insidieuse et, de ce fait, potentiellement indécelable. L’estimation actuelle des coûts de développement d’une ” arme génétique ” est évaluée à environ 50 M $, soit encore une bonne somme pour des bandes isolées de Néo-nazis, mais bien à l’intérieur des capacités des programmes clandestins gouvernementaux.

https://pleinsfeux.org/balles-genetiques-armes-biologiques-specifiquement-ethniques/


Les futures armes biologiques pourraient tuer des personnes ayant un ADN spécifique

https://iatranshumanisme.com/2019/08/31/les-futures-armes-biologiques-pourraient-tuer-des-personnes-ayant-un-adn-specifique/


Et je ne doute pas que tes recherches personnelles t'en apprendront davantage

  
Répondre
deckard6 deckard6
24/03/2020 10:47:27
0

Salut Coco,

j’ai exhumé un vieil article de 2008 sur lequel j’avais déjà fondé à l’époque ma conviction ( qui n’engage que moi ), que les prochaines victimes à l’échelle planétaire seraient, non plus dues à une guerre conventionnelle, mais à une, ou à des guerre ( s ) biologique (s ) ou bactériologique ( s ), selon le terme que l’on choisira.

De cet article exhaustif, j’ai extrait ci-dessous les 35 décès considérés comme suspects, ou tout au moins troublants, de chercheurs en microbiologie pendant un laps de temps assez court (6/11/2001 – 29/06/2008 ). L’article s’arrêtant en 2008, et cette épidémie de décès me suffisant à me faire mon idée, je n’ai pas cherché à savoir si des décès troublants ont eut lieu par la suite.

Quiconque voudra se faire une idée exhaustive, verra que la lecture attentive de l’article complet est pour le moins troublante.

Comme d’habitude, on va encore mettre en cause le sérieux du site non adoubé par l'intelligentsia. Mais les décès et les qualités des chercheurs sont bien réels et vérifiables, pour beaucoup d’entre eux, en ligne.

Beaucoup étaient notamment engagés dans l’emploi et le développement d’armes biologiques. Et l'assassinat des deux derniers avaient défrayé la chronique à l’époque.

Chacun se fera son opinion, la mienne est faite depuis longtemps.

Jean


Nécrologie :

1. Le 6 novembre 2001, Wall Jeffrey Paris, 41 ans, est retrouvé mort près d’un parking non loin de son bureau. Il était un expert biomédical, spécialisé dans le brevet et la propriété intellectuelle.

2. Le 12 novembre, Benito Que, 52 ans, est trouvé dans un état comateux dans une rue près du laboratoire où il travaillait. Il décède trois semaines plus tard. Il était biologiste cellulaire, mêlé aux recherches ontologiques du département d’hématologie de l’école de Médecine de l’université de Miami. Ses recherches reposaient en grande partie sur l’étude des séquences de l’ADN.

3. Le 10 décembre, David Schwartz, 57 ans, est poignardé dans sa maison de campagne en Virginie. Il était fort respecté en biophysique et considéré comme faisant autorité dans le domaine des séquences de l’ADN.

4. Le 14 décembre, Set Van Nguyen, 44 ans, meurt dans le sas d’entrée d’une chambre froide dans les installations pour maladies animalières de l’Organisation de recherches scientifiques et industrielles du Commonwealth, à Geelong, en Australie. … Les chercheurs étaient préoccupés qu’une manipulation similaire puisse être faite sur la variole, pouvant ainsi en faire une arme terrible.

5. Le 16 décembre, Don C. Wiley, 57 ans, disparaît pendant un voyage professionnel à Memphis. La police retrouve sa voiture de location vide sur un pont en dehors de Memphis. Son corps sera repêché plus tard dans le fleuve du Mississippi… Il avait remporté bon nombre des plus prestigieux prix pour ses travaux qui pouvaient permettre de réaliser les vaccins antiviraux. Il était impliqué de près dans la recherche sur les séquences de l’ADN.

6. Le 23 décembre, Vladimir Pasechnik, 64 ans, est retrouvé mort à Wiltshire en Angleterre, près de chez lui. Russe exilé en Grande-Bretagne, il était alors le plus important scientifique du programme de guerre biologique de l’URSS, lequel programme dépendait en grande partie des séquences de l’ADN. Il avait réussi le processus d’aérosolisation du microbe de la peste. …


Il y a, en outre, un lien entre trois des cinq scientifiques américains qui sont morts. Wiley, Schwartz et Benito Que, travaillaient pour des installations de recherche médicale qui recevaient des subventions de l’Institut Médical Howard Hughes - IMHH. Celui-ci finançait un nombre important de programmes de recherche dans des écoles, des hôpitaux et des installations de recherche, et l’on suppose depuis longtemps, des " opérations noires " de recherches biomédicales pour des agences de renseignement.

La physicienne Patricia Dole, qui enquête depuis longtemps dans le domaine de la guerre biologique, rapporte un récit de personnes reliées à l’IMHH qui ont été assassinées.


7. En 1994, José Trias rencontra un ami à Houston, au Texas, et planifiait de rendre public ce qu’il savait personnellement des subventions de " façade " de l’IMHH qui, par la « porte arrière », servaient aux opérations noires de la biorecherche. Le lendemain, Trias et son épouse furent trouvés morts dans leur demeure de Chevy Chase dans le Maryland. L’IMHH a son quartier général à Chevy Chase. La police décrivit le double meurtre comme le fait de professionnels.

8. Tsunao Saitoh, qui travaillait anciennement dans un laboratoire de l’Université Columbia subventionné par l’IMHH, a été fusillé à mort le 7 mai 1996, alors qu’il était au volant de sa voiture, dans la cour de sa maison à La Jolla en Californie. La police a également décrit ceci comme l’œuvre d’un professionnel.

9 et 10. En 2002, en l’espace de quelques semaines en janvier, Ivan Glebov et Alexi Brushlinski, deux membres de l’Académie des sciences de Moscou décèdent à la suite d’une agression. Glebov à St Pétersbourg et Brushlinski à Moscou.

11. Puis en février 2002, le chef de la microbiologie de l’université de Médecine de Moscou, Vladimir Victor Korshunov, 56 ans, meurt d’un traumatisme crânien dans l’entrée de sa maison. La Pravda rapporta à l’époque que ce dernier avait probablement inventé un vaccin contre une arme biologique.

12. David Wynn-Williams, 55 ans, est tué le 24 mars 2002, dans une collision entre deux voitures lors de son jogging près de sa maison à Cambridge en Angleterre. Il travaillait sur le projet antarctique d'Astrobiology et pour le Centre de recherches de la NASA Ames. Il y eut un appel à témoin pour retrouver les véhicules.

13. Steven Mostow, 63 ans, meurt le 25 mars 2002, près de Denver dans le Colorado dans l’accident de l’avion qu’il pilotait. Il était un des principaux experts en matière de maladie infectieuse et doyen associé à l'université du centre des Sciences de santé du Colorado. Mostow était un expert en menace de bio-terrorisme et était connu en tant que "Dr. Flu" pour son expertise dans le traitement de la grippe.

14. David R. Knibbs décède brutalement le 5 août 2002, à 49 ans, à la suite d’une syncope. C’était un pathobiologiste reconnu.

15. En 2003, le 24 juin, Leland Rickman, 47 ans, un expert de San Diego sur les maladies infectieuses et depuis le 11 Septembre, conseiller en bioterrorisme, décède lors d’un déplacement professionnel en Afrique. Il se plaint à un collègue de mal de tête et celui-ci le retrouve mort dans sa chambre d’hôtel. Les causes de sa mort n’ont pas été déterminées. Il était professeur et praticien multidisciplinaires, expert dans les maladies infectieuses, la médecine interne, l’épidémiologie, la microbiologie et les antibiotiques.

16. En Angleterre, David Kelly est retrouvé mort près de son domicile le 18 juillet 2003, il se serait suicidé en se tailladant un seul poignet. Il était un employé du ministère de la défense britannique et un expert en guerre biologique ainsi qu’inspecteur de l'ONU en Irak où il est allé 37 fois. Il est prouvé qu'il était le principal informateur de Andrew Gilligan, journaliste de la BBC au sujet de son enquête sur la falsification d'un rapport de septembre 2002, par le gouvernement britannique de Tony Blair concernant les armes de destruction massive irakiennes.

17. Michael Perich, 46 ans, meurt le 11 octobre 2003 dans un accident de voiture au cours duquel il se noie coincé par sa ceinture de sécurité. Il avait travaillé sur le virus du Nil.

18. Le 20 novembre 2003, Robert Leslie Burghoff, 45 ans, est percuté sur un trottoir par un chauffard qui prend la fuite. Il était stagiaire post-doctorat au Baylor College of Medecine de Houston au Texas, au département de la virologie moléculaire et de la microbiologie.

19. Le 23 janvier 2004, Robert Shope, 74 ans, meurt à l’hôpital des complications d’une greffe. Il était virologue au Département de pathologie du Centre de biodéfense et maladies infectieuses émergentes de l’université de Médecine du Texas. Il était l’auteur d’un rapport de 1992 avertissant de l’apparition de nouvelles maladies infectieuses dangereuses.

20. Le 24 janvier 2004, soit le lendemain de la mort du précédent, son collègue Michael Patrick Kiley, 62 ans, meurt d’une crise cardiaque foudroyante. Il travaillait avec le Dr Shope sur la mise à niveau du Centre de biodéfense pour abriter les microbes les plus pathogènes dans le cadre d’un programme d’armes biologiques.

21. Le 13 mars 2004, Vadake Srinivasan, microbiologiste, meurt dans l’accident de sa voiture qui a percuté le rail de sécurité. Originaire d’Inde, il était réputé dans le milieu universitaire.

22. Le 27 juin 2004, Paul Norman, 52 ans, de Salisbury en Grande-Bretagne, est tué dans le crash du mono-moteur qu'il pilotait dans le Devon. Il était considéré comme chef de file dans le domaine de l’expertise scientifique pour la détection et la protection au laboratoire du Ministère de la défense à Porton Down. Il était très investi dans la campagne contre l’usage d’armes biologiques et chimiques.

23. Larry Bustard, 53 ans, meurt dans des circonstances inconnues le 2 juillet 2004. Il était un scientifique du Sandia National Laboratories. En tant qu’expert en matière de bio-terrorisme, son équipe a développé une nouvelle formulation de produits à utiliser contre les agents biologiques et chimiques. Il est intervenu pendant les attaques à l’anthrax pour décontaminer le Capitol Hill exposé à la poudre.

24. John Badwey, 54 ans, était un biochimiste à la Harvard Medical School spécialisé dans les maladies infectieuses rares. Il est mort le 21 juillet 2004, il avait contracté deux semaines plus tôt une pneumonie.

25. Matthew Allison, 32 ans, scientifique en biologie moléculaire et biotechnologie, est tué dans l’explosion de sa voiture le 13 octobre 2004.

26. John R. La Montagne, 61 ans, microbiologiste, directeur-adjoint au National Institute of Allergy and Infectious Diseases - NIAID, du National Institutes of Health - NIH. Il décède le 2 novembre 2004 d’une embolie pulmonaire.

27. Le 7 janvier 2005, Jeong H. Im, 72 ans, est découvert poignardé dans le coffre d’un véhicule en feu dans le Maryland. Il avait été chimiste à l’université du Missouri, spécialisé dans les protéines.

28. Douglas James Passaro, 43 ans, est mort le 18 avril 2005 de causes inconnues à son domicile. Il était un épidémiologiste renommé et avait exécuté avec ses étudiants des exercices de bio-terrorisme.

29. Todd Kaupila décède le 8 mai 2005 à l’âge de 41 ans, d’une pancréatite hémorragique à l’hôpital de Los Alamos. Il s’était réjoui, la veille de sa mort, du renvoi du directeur qui l’avait impliqué dans un scandale sur la sécurité du laboratoire duquel il avait été renvoyé. Il avait toujours soutenu avoir été un bouc émissaire.

30. Leonid Strachunsky est décédé le 8 juin 2005, après avoir été frappé à la tête avec un objet lourd. Expert épidémiologiste pour l’OMS et directeur du Therapy Institut de la Fédération de Russie de lutte anti-microbe, spécialisé dans la création de microbes résistants aux armes biologiques. Strachunsky a été retrouvé mort dans sa chambre à Moscou à l’hôtel Slavyanka. Venu de Smolensk, il était en route vers les États-Unis.

31. Le 22 mai 2006, le Dr Lee Jong Wook, 61 ans, décède d’une AVC. Directeur de l’OMS depuis 2003, il avait mené les programmes de lutte contre la grippe aviaire, le sida et autres maladies infectieuses.

32. Le 10 octobre 2007, Mario Alberto Vargas Olvera, est assassiné à son domicile à Ensenada en Californie, de nombreux coups portés à la tête et au cou. Il était un biologiste de réputation internationale.

33. Le 29 juillet 2008, le Dr Bruce Ivins, 62 ans, brillant biologiste des laboratoires militaires américains et principal suspect dans l’enquête de l’anthrax, se suicide avant son inculpation, à son domicile en absorbant massivement de la codeïne et de l’acétaminophène.

34 et 35. Le 29 juin précédant, deux étudiants en génie biologique, Laurent Bonomo et Gabriel Ferez, en stage de fin d’études à l’Imperial College de Londres avaient été sauvagement assassinés. Ferez et Bonomo étaient considérés, à l’Impérial College, l’une des meilleures universités au monde, à la pointe de la recherche sur les pathologies infectieuses émergentes, ainsi que dans leur école d’ingénieurs « Polytech’Clermont-Ferrand » comme très brillants, et semblaient d'ores et déjà promis à un bel avenir professionnel. Il ne leur restait plus qu'une année d'étude avant de passer leur diplôme d'ingénieur et avaient été sélectionnés par le Département des Sciences de la vie de l'Imperial College, pour un projet de recherche dans les chaînes de protéines au sein de l'ADN.


Ci-dessous le lien : https://www.alterinfo.net/Guerre-biologique-partie-3-LA-GRIPPE-AVIAIRE-UNE-INTOXICATION-MONDIALE_a27329.html

L’article d’ou est extrait la liste ci-dessus est en milieu de déroulé de page. Titre : ‘’ Epidémie mortelle chez les microbiologistes ‘’

  
Répondre

Forum de discussion Général

202003241122 758040
logiciel chart 365 Suivez les marchés avec des outils de pros !

Chart365 par ABC Bourse, est une application pour suivre les marchés et vos valeurs favorites dans un environnement pensé pour vous.
Ma liste