Les moins values , vous les subissez seulement si vous vendez .
Actionnaires , c'est acquérir des parts d'une entreprise , avec les retours favorables lorsqu'il fait beau temps , des passages plus difficiles lorsque la conjoncture se dégrade .
Si vous achetez des actions uniquement pour le temps favorable , d'une part vous vous leurrez , d'autre part il s'agit plus de spéculation que d'actionnariat
En cette époque où les bourses sont devenus casino , la crise actuelle remet les choses en exergue et redonne au mot actionnaire tout son sens .
Rien n'interdit de renforcer sa détention avec deux vertus : entrer sur des cours très bas et anticiper les rendements futurs lorsque la crise sera passée
Pour info , la BCE a également fort logiquement demandé au secteur financier de ne pas distribuer de dividende pour conserver ses ressources bien utiles pour sauver les entreprises
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Bill17
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Déja diffusé dans une autre file paus vu que le dividende est un sujet qui plait...
On est d'accord que dans les actionnaires il y a les "gros" et les petits porteurs"..
Ma question: est ce que vous entendez parlé des "gros" actionnaires ????
Vous savez ces 2% les + riches, qui possèdent plus de 50% des richesses mondiales...ça a fait le buzz 24h et depuis plus rien....silence assourdissant!!!!
Alors quand , collectivement, on a une mémoire de poisson rouge on revient a ce qu'on sait faire le mieux...on s'etripe entre PP pour savoir si on aura les miettes (dividendes), ou pas
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À la demande du ministre des finances Bruno Lemaire qui n’est pas a priori un farouche gauchiste, les entreprises notamment du CAC40 vont très probablement supprimer les dividendes de l'année 2019 (pourtant prometteuse)
En laissant bien sûr aux actionnaires le soin de prendre en charge les moins values qu’ils auront subies depuis le 1er janvier...
Plus sérieusement la question qui se pose est de savoir quel est pour les actionnaires l’intérêt de conserver des actions dans ces conditions ?
Cette décision de Bruno Lemaire n’est-elle pas le signe d’une grande inquiétude pour ne pas dire panique sur l'évolution de l'économie ã venir ?
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