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Dans ces cas là personne est responsable même ceux qui ont traîné la savate pour prendre des décisions ; on a simplement eu de la chance que c’était une pandémie et non une guerre car nous serions tous morts.
Message complété le 13/04/2020 17:45:40 par son auteur.
Les décisions à prendre sur des sujets aussi importants c’est instantané mais pas trois mois après.
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Favoriser !e télétravail, circuler en ville a l'électrique. Et partager travail et revenus. Au dia ble les milliardaires
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En principe pays riches ou pauvres confinés généralisés ou light probabilité décès dû au coronavirus inférieure à 5% avant la fin Avril 2020.
Restera à faire pour la France l'analyse coût/bénéfice sur la santé physique et mentale des confinés rescapés et financière et de trouver les responsables de cette catastrophe majeure qui aurait pu être grandement allégée.
Attendons fin Avril 2020 pour voir.
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« Beaucoup de gens vont sortir fracassés de cette crise parce qu'ils auront beaucoup souffert, il leur faudra un temps de repos avant de repartir"
Travailleurs et travaillatrices, restez chez vous !
Quand cet épisode de confinement sera terminé, il vous faudra bien sûr vous reposer.
Vous pourrez alors rester chez vous pour de bonnes siestes réparatrices.
Les syndicats veilleront sur vous.
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Keep dreaming !
Le monde sera encore juste un peu plus dur qu'avant, c-a-d peut-être un peu plus réaliste : avant de consommer il faudra produire et SANS DETTE !
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Tout à fait d accord on peu pas reprendre le travail plus fort comme si de rien n était. Une réflexion profonde de notre modèle de société doit être mis en place à défaut nous irons tous dans le mur...
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De plus en plus de Français, notamment les étudiants et intérimaires, privés de leurs compléments de revenus habituels depuis le début du confinement, risquent de basculer dans la "grande précarité", a alerté lundi la présidente du Secours Catholique.
"Beaucoup de gens se trouvent en grande précarité du fait de cette crise, des étudiants qui n'ont plus les petits boulots qui permettaient de compléter leur bourse et de vivre correctement, mais aussi les travailleurs, des gens qui avaient un peu d’intérim, un CDD, des petits boulots à droite à gauche déclarés ou non", a indiqué sur FranceInfo,Véronique Fayet, présidente de l'organisation caritative.
Dans cette période de ralentissement de la plupart des activités économiques, "tous ceux qui étaient un peu sur la corde raide passent malheureusement en dessous de la corde", estime-t-elle.
Interrogée sur les appels formulés par le Medef et au sein du gouvernement à travailler plus pour compenser les effets du confinement sur l'économie, la présidente du Secours Catholique a appelé à prendre également en compte la situation de détresse sociale et morale créée par cette crise.
"Beaucoup de gens vont sortir fracassés de cette crise parce qu'ils auront beaucoup souffert, il leur faudra un temps de repos avant de repartir", a-t-elle averti.
"Pendant cette période nous avons goûté à autre chose, à la sobriété, à la solidarité, nous avons vu que nous pouvions vivre sans se déplacer de manière frénétique, moins de pollution, peut-être le moment est-il venu de se poser tous ensemble, citoyens, gouvernement, entreprises pour se demander quelle société nous voulons ?", s'est aussi interrogée la présidente de l'association aux 70.000 bénévoles.
© 2020 AFP
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