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Brexit: le ton monte entre Londres et Bruxelles avant la reprise des n

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mariusb mariusb
09/09/2020 09:33:07
1

@moicmoi

Ce n'est pas parce qu'il y a des choses que vous pensez être plus importantes (à juste titre ou pas) qu'on ne peut pas parler du Brexit... Ni parce qu'effectivement, on ne peut pas y changer grand chose à notre petit niveau. Sinon, on ne parle d'aucun sujet.

Le hic, c'est que la sortie de l'UE est la clé de pas mal de problème, dont celui de l'immigration qui semble vous être cher (et auquel nous ne pouvons pas grand chose à notre modeste niveau). Nous avons des milliers de clandestins qu'il faudrait soit expulser, soit régulariser pour qu'ils puissent prendre un boulot au lieu d'errer là en attendant le déluge. Ça ne sert à rien de s'étriper pour savoir si il faut faire l'un ou l'autre parce que tant que nous sommes englués dans le traité d'Amsterdam, on ne peut faire ni l'un ni l'autre. On ne sait pas qui ils sont et on ne sait pas si une procédure d'asile a été lancée ailleurs dans l'UE. Donc, on est obligé de rester là, entre deux eaux. Pour régler ce problème, il faudrait sortir de l'UE et avoir notre propre politique, sans s'occuper de ce que font Merkel, Orban ou Bojo.

Pour l'insécurité, il faudrait construire des prisons pour y mettre systématiquement les voyous qu'on attrappe. Ça ne sert à rien de mettre plus de caméras ou de flics, les voyous se font bien attrapper, mais ils ressortent avec un rappel à la loi faute de place pour les incarcérer. Le goulot d'étranglement, ce sont les places en taule. On ne peut pas en construire car l'UE nous oblige à faire des coupes sauvages dans les budgets.

Pour le budget, il faudrait supprimer les communautés de communes et les régions qui ne sont rien d'autre que de gigantesques gouffres à pognon. Manque de pot, l'UE en exige la création et le regroupement anarchique pour un découpage administratif uniforme inadapté à notre géographie.

Tous les problèmes que vous évoquez sont bien sûr importants, mais ils ne peuvent être réglés qu'en dehors de l'UE.

  
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moicmoi moicmoi
08/09/2020 23:07:57
1

mariusb (et tous les autres. Surtout tous les autres. )
« « Aussi, je ne comprends pas votre raisonnement.
» »

Je suis OK avec mariusb

A vrai dire, moi, ce que je ne comprend pas, c’est votre acharnement à pérorer à l’infini sur ce sujet.

Il me semble , mais peut-être me trompes-je, que ce problème est le problème de l’Angleterre. Et de l’ E.U.

Mais nous, moi ,vous, ne sommes concernés que de loin. Sauf qu’il nous faudra payer un peu plus pour compenser le manque à gagner de la contribution-racket au budget de l’ U.E.qui ne sera plus versée par l’Angleterre.

Sachant que, à notre petit niveau d’insignifiants quidams lambda , nous ne pouvons rien changer. Malgré nos prises de positions. Rien de rien !

L'Angleterre a choisi, et c'est son choix. point Barre.

Je veux bien comprendre et admettre que ce sujet (accord ou non accord U.E./R.U.) vous préoccupe au plus haut point.

Comme si, chez nous, à notre porte et au quotidien, des sujets comme l’insécurité croissante, la calamiteuse gestion économique de la maison France , (inimaginable pour la ménagère de 50 ans ou n’importe quelle entreprise sérieuse et responsable) , l’immigration massive ,incontrôlée, et « virale », les « incivilités » qui ne sont rien d’autre que des crimes, l’aberrante gestion de la pandémie, l’arlésienne des coupes à la hache dans le train de vie de l’état, les dysfonctionnements de la justice qui favorisent les délinquants , terroristes et occupants illégaux de logements, passeurs (individus et/ou organismes) de clandestins illégaux, les lois liberticides votées à tour de bras, …..que tous recouvrent du pudique voile de la bien-pensance, dont l’autre nom est : forfaiture. ….qui ne seraient que « que d’chique » à vos yeux. Problèmes ultra-mineurs , comparé au Brexit.
Non ! Pour vous, cela n’a aucune importance ? C’est de la broutille ?
Dans ce cas, continuez à vous chamailler sur le Brexit., qui, je vous le rappelle, ne vous touche que de très loin.

Tout va pour le mieux chez nous.

Bien que certains m’accusent d’être pro, ou machin, Brexit, (ils sont mieux placés que moi pour savoir ce que je pense, n’est-il pas ?….) , je vous avoue que j’en ai rien à foutre, ou presque, et que par contre, ce qui se passe chez nous, me préoccupe au plus haut point.

Quelle France allons-nous laisser à nos enfants et petits-enfants ?

Mais, cela n’est pas votre préoccupation, n’est-il pas ?
Vous avez raison. Ne changez rien.

A chacun son truc, à chacun ses préoccupations, à chacun ses priorités .

  
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mariusb mariusb
08/09/2020 21:37:27
1

@Tous

Sur le commerce extérieur, ce sont les règles de l'OMC qui s'appliqueraient. Ça ne signifierait pas un arrêt total des échanges entre l'UE et le UK. Il y aurait juste des taxes, comme sur les marchandises en provenance de Chine. Est-ce pour autant que nous n'importons rien de là-bas ?

L'ironie de l'histoire, c'est que l'UE appliquerait aux marchandises Britaniques le tarif extérieur commun tandis que le UK appliquerait ce qu'il voudrait. Les entreprises pourraient aussi décharger en Irlande du nord et passer au sud sans payer les taxes. Je ne vois vraiment pas comment l'UE pourrait empêcher ça.

Les questions ne sont pas vraiment ce que représente les exportations de l'autre côté de la manche, mais si on peut les remplacer par notre marché intérieur ou pas. Et est-ce qu'on peut facilement acheter les produits ailleurs.


  
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mariusb mariusb
08/09/2020 21:25:52
1

@Pedru

Mettons donc que Barnier suspende les négociations en disant que les Anglais ne veulent pas négocier ou font preuve de mauvaise volonté. Vous dîtes que Bojo n'attend que ça pour dire que l'UE ne veut pas négocier. Et donc ? Ça lui donne quoi ? Il a pas de deal et, dîtes vous, c'est une cata pour lui. Ce serait en revanche une victoire pour l'UE et Barnier qui auraient fait démonstration de la puissance de l'Europe unifiée en mettant le UK à genoux.

Celui qui peut menacer no deal est celui qui peut gérer le no deal, celui qui a le moins à perdre dans l'histoire.

Aussi, je ne comprends pas votre raisonnement.

  
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Pedru Pedru
08/09/2020 20:31:57
0

Drôle de calcul, c’est justement le contraire

8% vue la population totale de l’Europe c’est rien pour chacun de nous

Par contre 47% pour une population du RU cela va être douloureux

Enfin jipes un peu de sérieux, même pour toi 2+2 cela fait quatre


  
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jipes jipes
08/09/2020 20:00:06
1

Révise ton calcul Pedru,


L'UE = 8 % de commerce en moins, soit, mais sur une population environ 10 fois plus grande que celle du Royaume Uni, je te laisse calculer le désastre pour l'ensemble des pays de l'Union Européenne par rapport aux Britanniques qui eux auront les mains libres pour commercer avec l'ensemble de la planète.

  
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Pedru Pedru
08/09/2020 19:41:02
0

Mariusb

C’est justement ce qu’attend Bojo, il pourra dire c’est la faute de UE qui ne veut pas négocier , il faut justement éviter de claquer la porte

Jips

Toi aussi tu n’as pas changé , un peu de patience, dans quelques mois tu auras les résultats, mais les chiffres sont là, UE aura 8% de commerce en moins, et le RU 47% en moins, mais fait confiance a ton clown il ira jusqu’au bout du bluff


Message complété le 08/09/2020 19:42:36 par son auteur.

Aucun pays n'a suivi

  
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jipes jipes
08/09/2020 19:03:29
2

Pedru,


Toujours le même.


**d’autres pays allaient suivre** Certainement et pour la France, cela se fera quand on aura renversé la clique qui nous gouverne depuis Giscard d'Estaing.


**c’est le RU qui a le plus à perdre** Pas si sûr et tu le verras bientôt.



  
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mariusb mariusb
08/09/2020 18:31:32
1

Si ce raisonnement fonctionnait, Barnier se serait contenté de prendre acte du refus Anglais de négocier et aurait quitté la table, tout simplement. Pourquoi ne le font-ils pas ?

  
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Pedru Pedru
08/09/2020 14:15:55
3

Commerce UE vers RU 8%

Commerce RU vers UE 47%

Qui va le plus perdre ?


  
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mariusb mariusb
08/09/2020 14:06:00
1

@Pedru

Cette vision a l'avantage d'aller dans un sens pro-UE, mais l'immense inconvénient de ne pas expliquer pourquoi c'est Bojo qui menace no deal et pas Barnier. Si l'UE était si unie et si forte, elle aurait beau jeu à quitter la table des négociations.

  
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Invectus Invectus
08/09/2020 14:03:25
1

English people are kings of the World! (c'est de moi)

  
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Pedru Pedru
08/09/2020 11:27:26
1

Relisez l’histoire

Le RU a toujours eu comme politique de diviser l’Europe, diviser pour mieux régner

Après la seconde guerre mondiale, la décolonisation, et UE, les Britanniques ne pouvaient plus jouer le même jeu, ils sont entré dans UE pour pendant 40 ans freiner, critiquer, revendiquer, diffamer UE

Pourtant De Gaulle avait prévenu « Ne faite pas entrer la RU dans UE »

Et Churchill disait « Entre le continent et le grand large nous choisirons toujours le grand large »

En 2016 après 40 ans de critiques, et de mensonges, les Britanniques décident de quitter UE

Dans un premier temps ils ont pensé que d’autres pays allaient suivre, ou qu’ils allaient pouvoir passer des accords séparés, il n’en a rien été

Maintenant le Clown menteur Bojo menace de tout casser, sauf que c’est le RU qui a le plus à perdre

Le monde a changé les Britanniques ne sont plus les maitres du monde, et pour les pays d’Europe pour survivre une SEULE SOLUTION l’UNION

La fin du cinéma est pour bientôt, les résultats dans quelques mois, alors pour ceux qui hurlaient de joie en 2016, qui rêve de la fin de l’UE, un peu de patience, vous allez savoir


  
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michel1993 michel1993
07/09/2020 20:43:31
2

"Tout ce qui a été signé dans le passé doit être respecté. C'est le gage de la confiance pour l'avenir", a rappelé le négociateur européen Michel Barnier, sur la radio française France Inter."

Pourquoi signer et maintenir des traités fait dans un passé qui n'est plus d'actualité, qui nous entubent dans toutes les largeurs pour les beaux yeux des partenaires ? On les respecte par ailleurs, c'est juste qu'on les rompts.

  
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jipes jipes
07/09/2020 20:32:07
2

Dubaisan,


A ton tour, je te vois utiliser le terme "populiste", qui ne veut rien dire en l'occurrence.

**Attitude politique consistant à se réclamer du peuple**. Alors pourquoi dire que Boris Johnson est populiste. Non, il est de droite et il s'est opposé à l'Union Européenne et ça s'arrête là.

A moins que tu ne fasses que reporter ce terme que les Macron, Sarkozy et autre Hollande proclament à tort et à travers, histoire de faire de l'ombre à des partis autrement plus républicains que ne le sont les leurs.

Message complété le 07/09/2020 20:33:31 par son auteur.

plus républicains et plus démocrates.

  
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Dubaisan Dubaisan
07/09/2020 16:08:57
0

""Tout ce qui a été signé dans le passé doit être respecté. C'est le gage de la confiance pour l'avenir", a rappelé le négociateur européen Michel Barnier, sur la radio française France Inter."

Depuis Trump et de sa doctrine, ainsi que de nombreux populistes, cette position diplomatique n'est plus d'actualités.

Maintenant c'est comme dans les cités, le règne de la loi du plus fort.

  
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mariusb mariusb
07/09/2020 15:00:48
5

Qui panique ?
Les Anglais doivent bien respecter ce qu'ils ont signé, c'est-à-dire pour l'instant un accord provisoire qui ne tient que jusque fin 2020. Ensuite, soit il y a un autre accord, soit il n'y en a pas, au quel cas ils feront ce qu'ils voudront donc à mon avis pas respecter les normes UE, toutes plus stupides les unes que les autres.
C'est ce qui commence à faire baliser la comission.

D'ailleurs, on ne comprend pas bien pourquoi c'est Boris Johnson, supposé trembler comme une feuille face à la puissante Europe unie, qui doit menacer de quitter la table des négociations. Normalement, c'est plutôt celui qui est en position de force qui quitte la table. Michel Barnier devrait avoir beau jeu, face à la mauvaise volonté évidente des rosbeefs, de leur rétorquer : "écoutez les gars, vous ne voulez pas négocier, eh bah, no deal, que voulez-vous que je vous dise ? La porte est ouverte jusqu'en Octobre, revenez si vous changez d'avis"

Manifestement, c'est Bojo qui prépare tranquilement son no deal.

  
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mariusb mariusb
07/09/2020 15:00:48
0


Le Premier ministre britannique Boris Johnson, le 3 septembre 2020 à Londres (AFP/Tolga AKMEN)

La tension monte entre Londres et Bruxelles: les Européens ont mis en garde Londres contre toute tentation de revenir sur ses engagements pris lors du Brexit lundi, à la veille de négociations déjà difficiles sur leur future relation.

A l'approche de la fin de la période de transition pendant laquelle les règles européennes s'appliquent sur le sol britannique, fin décembre, les discussions visant à arriver à un accord de libre-échange restent dans l'impasse.

Le Premier ministre Boris Johnson s'est dit prêt à claquer la porte mi-octobre faute de compromis, renforçant la crainte d'un "no deal" potentiellement destructeur économiquement, dans une période de crise historique en raison de la pandémie de nouveau coronavirus, et faisant par ricochet décrocher la livre sterling sur les marchés.

Et l'ambiance déjà orageuse s'est encore assombrie avec des informations du Financial Times. Selon le quotidien économique, le gouvernement britannique va présenter un texte de loi mercredi revenant sur certaines parties de l'accord encadrant la sortie de l'UE le 31 janvier dernier, dont les règlementations douanières en Irlande du Nord.

Les dispositions en question prévoient le maintien de certaines règles de l'UE dans la province britannique afin de garantir l'absence de frontière physique et éviter la résurgence de tensions dans cette région, ensanglantée par trois décennies de "Troubles".

Downing Street a confirmé des mesures "limitées" visant à "clarifier" ce protocole, afin de "lever toute ambiguïté" et d'éviter des "conséquences imprévues" du texte pour le processus de paix ou le marché interne britannique.

Mais les Européens ont vu rouge. "Je fais confiance au gouvernement britannique pour mettre en œuvre l'accord de retrait, une obligation en vertu du droit international et une condition préalable à tout futur partenariat", a averti la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.


Le négociateur de l'UE pour le Brexit Michel Barnier, le 26 août 2020 à Paris (AFP/Archives/ERIC PIERMONT)

"Tout ce qui a été signé dans le passé doit être respecté. C'est le gage de la confiance pour l'avenir", a rappelé le négociateur européen Michel Barnier, sur la radio française France Inter.

- "Passer à autre chose" -

Qualifiant le respect de l'accord de sortie de "question de confiance", un porte-parole de la Commission a indiqué que le sujet serait abordé par Michel Barnier auprès de son homologue britannique David Frost lors des négociations à Londres sur la relation post-Brexit.

Le Royaume-Uni a formellement quitté l'UE le 31 janvier, près de quatre ans après un référendum historique marquant la fin de presque 50 ans d'appartenance à l'Union européenne. Mais il reste régi par la réglementation européenne jusqu'à fin décembre, tandis que les deux parties tentent de conclure un accord de libre-échange.

Les négociations butent notamment sur la pêche et les conditions de concurrence équitable.


Brexit : dates clés (AFP/)

Les jours sont comptés. Bruxelles avait évoqué la nécessité d'un accord d'ici à la fin octobre pour permettre une ratification européenne dans les temps et Boris Johnson a fait monter la pression lundi.

"L'UE a été très claire au sujet du calendrier. Moi aussi. Il doit y avoir un accord avec nos amis européens d'ici au Conseil européen le 15 octobre pour qu'il entre en vigueur d'ici la fin de l'année", a souligné le dirigeant conservateur.

Si ce n'est pas le cas, "nous devons l'accepter et passer à autre chose", a averti M. Johnson, assurant qu'une absence d'accord serait "une bonne issue" permettant au Royaume-Uni de "prospérer" avec "la liberté de conclure des accords commerciaux avec tous les pays du monde".

"Même à ce stade tardif, si l'UE est prête à repenser sa position (...) j'en serais ravi", a-t-il cependant assuré.

Faute d'accord, les seules règles de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), avec leurs droits de douane élevés et leurs contrôles douaniers poussés, s'appliqueraient, causant des coûts supplémentaires pour les entreprises et risquant de perturber certains approvisionnements.

"Si Downing Street veut vraiment se jeter de la falaise du Brexit pour des raisons idéologiques, l'UE n'aura absolument aucun moyen d'empêcher ça", a estimé une source diplomatique européenne à Bruxelles.

© 2020 AFP

  
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