Ecotaxe sur le transport aérien: des "conséquences absolument délétère

Houlala… . Depuis que la guillotine n’a pas servi, elle doit être rouillée, et le type risque , en plus, de se payer une mauvaise infection.

Mettre une écotaxe sur le transport aérien, c'est envoyer un malade du Covid a la guillotine.

Les écolos ont interdit la fabrication de bateau en bois, vous n’avez pas écouté la parole, le dieu de la mer, sainte écolo, fallait pas montée à bord. Fallais rester au sec

Era,

Pour le Montenegro, je ne sais pas; Mais pour la Birmanie, je ne suis pas du tout d'accord...

Le bateau coule: le mécanicien au fond de la cale s'est noyé depuis longtemps, et le capitaine sur la passerelle a les pieds dans l'eau. Que fait-on? On plonge pour ouvrir une brèche supplémentaire!!!

Dans certains ministères, ils prévoient l’élevage de sanglier, ça a commencé dans les régions.

https://www.youtube.com/watch?v=M761zndzxVI

Largement insuffisant mini 50 € par billet

Je sais certains vont considérer que ce n'est pas bon pour l'économie ou pour le progrès

Au choix vous avez

il faut que tu restes pire

ou

https://www.youtube.com/watch?v=Iwb6u1Jo1Mc

Avec toutes les conneries, chaque jours, effectivement, elles sont bien à l’ordre du jour, les conneries.
Et pour longtemps, disons 2022, après, c'est selon les ambitions de chaque citoyen.

Supprimer la 5G, l'avion, la voiture, le tourisme, les voyages, etc, etc
voilà es idées qui nous projette dans un monde merveilleux ... du niveau du Montenegro ou de la Birmanie.

Le ministre délégué aux Transports Jean-Baptiste Djebbari, à l'Elysée le 27 juillet 2020 (AFP/Archives/GEOFFROY VAN DER HASSELT)

L'instauration d'une écotaxe telle que proposée par la convention citoyenne aurait des "conséquences absolument délétères" sur le plan social pour le transport aérien déjà sinistré, a jugé lundi le ministre délégué aux Transports Jean-Baptiste Djebbari.

"Les conséquences, notamment sociales, c'est la destruction à terme d'environ 120.000 à 150.000 emplois, ce qui paraît quand même un peu baroque dans la situation que nous connaissons", a affirmé M. Djebbari sur LCI.

"En tant que responsable politique, il faut dire toutes les conséquences. Et les conséquences en termes d'emploi dans un moment où la France vit une crise majeure, elles seraient massives si cette taxe était imposée de façon autoritaire", a-t-il ajouté.

Pour le ministre, "il ne faut pas moins voyager, mais faire en sorte que l'aviation soit moins émissive, moins polluante".

La convention citoyenne a adopté le principe d'une "écocontribution kilométrique renforcée" de 30 euros par billet pour les vols de moins de 2.000 kilomètres, 60 euros pour les vols de plus de 2.000 kilomètres en classe éco (180 et 400 euros en classe affaires).

Selon une étude d'impact réalisée par la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), le coût de cette taxe serait de 4,2 milliards d'euros pour le secteur.

Cette proposition de la convention citoyenne fera l'objet d'un "projet de loi débattu démocratiquement qu'en début d'année prochaine", selon le ministre.

© 2020 AFP