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A Perpignan, des centaines de commerçants réunis pour une "matinée fun

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era era
16/11/2020 18:13:13
0

Ils feront moins les couillons quand ils seront en réa.
Ils préfèrent voir les gens décimés par l'épidémie : c'est la solidarité du petit commerce.

  
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ALEZE ALEZE
16/11/2020 17:49:46
0

AMAZON CARREFOUR IKEA AUCHAN etc..... va finir par leurs offrir un logis sous les ponts.

  
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TZ PEUCH TZ PEUCH
16/11/2020 17:40:53
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ah , ces Catalans , ils nous tuent!!!!

  
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TZ PEUCH TZ PEUCH
16/11/2020 17:40:52
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Des manifestants vêtus de noir gisent sur le sol pour représenter la "mort" de leur entreprise lors d'une manifestation réclamant la réouverture des commerces "non essentiels" à Perpignan, le 16 novembre 2020 (AFP/RAYMOND ROIG)

Plusieurs centaines de commerçants, artisans et chefs d'entreprise des Pyrénées-Orientales, dont les activités sont à l'arrêt depuis le début du confinement, se sont rassemblés lundi dans le centre de Perpignan pour une "matinée funèbre".

Vêtus de noir, debout sur une toile rectangulaire noire symbolisant leur tombe et respectant la distanciation, les manifestants -400 selon la préfecture, plus de 1.000 selon les organisateurs- ont écouté le glas résonner sur la place de la République.

Comme il y a dix jours à Toulouse lors d'un flashmob similaire, un animateur a égrené les noms des corps de métiers affectés, qui se sont affalés les uns après les autres sur la toile sombre.

Un cercueil noir a ensuite été extrait d'un corbillard puis porté et déposé au milieu de la place. "Un symbole de la mort des commerces, des artisans, des TPE non essentielles", a expliqué Jean-Jacques Planes, l'un des organisateurs de ce rassemblement.

"Nous sommes en voie d'extension, nous les non essentiels", a confié Bernard Massas, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) des Pyrénées-Orientales.


Des manifestants vêtus de noir gisent sur le sol pour représenter la "mort" de leur entreprise lors d'une manifestation réclamant la réouverture des commerces "non essentiels" à Perpignan, le 16 novembre 2020 (AFP/RAYMOND ROIG)

Le président de l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (Umih) départementale, Hervé Montoyo, ne cache pas sa colère face aux mesures affectant les métiers du tourisme qui, "dès le début, ont mis en place des protocoles de sécurité".

"On nous a fait fermer, puis on a réduit nos capacités d'accueil, ensuite on est passé sous couvre-feu", se désole-t-il.

Et depuis le début du confinement le 30 novembre, tous les commerces dits "non essentiels" sont fermés.

M. Montoyo accuse le chef de l'Etat de n'avoir pas tenu ses promesses.

"Il avait dit +quoi qu'il en coûte+. Mais les aides ne sont pas à la hauteur des pertes. On attends qu'elles soient réévaluées. Nos entreprises ne sont pas délocalisables comme Bridgestone", lance-t-il.

La manifestation était organisée par plusieurs syndicats et organismes professionnels locaux, dont la CPME, l'Umih ou la fédération des commerçants (FDAC).

La colère des commerçants ne cesse de monter, beaucoup se posant la question de leur survie à plus ou moins long terme, lors de manifestations dans plusieurs villes de l'Hexagone.

Jeudi, le Premier ministre Jean Castex a annoncé le maintien du confinement au moins jusqu'au 1er décembre, tout en évoquant une possible réouverture des commerces non essentiels à compter de cette date si la situation sanitaire s'améliore.

© 2020 AFP

  
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