Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Composition CAC 40 | Historiques | Forum |
Donc, pour rappel.
Répondre
|
Seuls les chiffres de l'INSEE sont à prendre en compte. Pas ceux de pôle emploi
Message complété le 25/11/2020 15:13:45 par son auteur.
INSEE = communication internationale et financière
Pôle emploi = communication interne et pour la plèbe
Répondre
|
Sur les 800000 emploi dans l'hôtellerie restauration qui sont pour en très grande partie en chômage partiel, combien vont finir par perdre leur emploi a la fin des confinement en 2021-2022 ?!?
Répondre
|
Un chômeur au sens du BIT est une personne de 15 ans ou plus, n'ayant pas eu d'activité rémunérée lors d'une semaine de référence, disponible pour occuper un emploi dans les 15 jours et qui a recherché activement un emploi dans le mois précédent (ou en a trouvé un commençant dans moins de trois mois)
« être sans travail », c’est-à-dire ne pas avoir d’activité, même minimale, pendant la semaine de référence ;
« être disponible pour travailler », c’est-à-dire être en mesure d’accepter toute opportunité d’emploi qui se présente dans les quinze jours, sans qu’une tierce obligation soit une entrave au retour à l’activité.
« rechercher activement un emploi, ou en avoir trouvé un qui commence ultérieurement ».
Message complété le 25/11/2020 14:01:53 par son auteur.
Il suffis de mètre tous les chômeur en formation et d’un coupe, c’est le plein emploi.
Le plein emploi (ou plein-emploi) est une situation dans laquelle le chômage d'un territoire est réduit au chômage frictionnel incompressible, soit à un taux inférieur à 5 % au sens de l'OIT. Il n'existe alors pas de difficulté particulière à trouver un emploi
Répondre
|
"La Dares n'observe pas encore de très forte hausse des entrées à Pôle emploi pour licenciement économique malgré la hausse des plans sociaux, du fait du décalage entre les annonces et la mise en œuvre effective d'un PSE"
C'est a la fin du balle que l'on paye les musiciens ?!?
Répondre
|
Et les chômeurs partiels massivement subventionnés par l'Etat, c'est à dire nous tous, les contribuables ?
Répondre
|
Le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A (sans activité) a de nouveau diminué (-1,6%) en octobre, soit 60.100 inscrits en moins, pour s'établir à 3,794 millions, selon les chiffres de la Dares publiés mercredi.
En dépit de cette sixième baisse mensuelle consécutive, le nombre de chômeurs reste supérieur de 10% à celui de fin février avant le début de la crise sanitaire. En incluant l'activité réduite (catégories B et C), le nombre de demandeurs d'emplois baisse de 0,7% (-40.800), pour le quatrième mois de suite, à 6,004 millions.
La baisse de la catégorie A concerne toutes les régions de France et toutes les tranches d'âge, même si elle est plus forte chez les jeunes (-2,4%).
Elle s'explique avant tout par des bascules de chômeurs qui ont repris une activité réduite courte (catégorie B, moins de 78 heures par mois) et surtout longue (catégorie C, plus de 78 heures par mois, en hausse de 23.600).
Avant la mise en place du confinement fin octobre, le nombre de demandeurs d'emploi ne semble pas avoir subi les conséquences du couvre-feu dans certains secteurs (spectacle, restauration...) qui ont pu recourir à l'activité partielle.
La Dares n'observe pas encore de très forte hausse des entrées à Pôle emploi pour licenciement économique malgré la hausse des plans sociaux, du fait du décalage entre les annonces et la mise en œuvre effective d'un PSE.
© 2020 AFP
Répondre
|