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Bonjour Mcm,
Bouddha souvent assimile au Poussah n'aurait jamais permis ca!
L'associer a Hollande, c'est l'insulter
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Encore une directive de l’ E.U. qui veut tout régenter.
Le Poussah Hollande a appliqué cette directive sur la « parité » , et a poussé la connerie jusqu’à l’imposer dans les associations 1901 . (fédérations nationales) .
J‘ai connu des élections au niveau national (fédérations ) impossibles à tenir, faute de trouver des binômes (féminines – chaque poste d’administrateur devant être en binôme. ). Il a fallu ruser en trouvant des « femmes de paille ».
Je trouve inadmissible que les politicons de tout poil se mêlent en toutes choses dans le fonctionnement de entreprises. Nécessaire pour certains points, mais Y’a des limites à ne pas dépasser.
Vu la compétence en gestion des politicons…..quand on voit dans quel état de décrépitudes sont la plupart des pays. (à la limite de la faillite).
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Message complété le 06/01/2021 17:19:29 par son auteur.
Stupide, chacun et chacune prend place naturellement et non par des lois.
- à ne pas confondre avec l'égalité de chacune et chacun
Que l'Allemagne ne copie pas nos erreurs qui sont autant de pertes de temps et dérives sociétales.
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L'Allemagne va imposer la présence de femmes dans les conseils d'administration de grandes entreprises cotées en Bourse, selon un projet de loi présenté mercredi par le gouvernement de la première économie européenne qui accuse un net retard sur la question.
Selon le texte, qui doit encore être adopté par les députés, au moins une femme devra siéger dans les instances dirigeantes des entreprises allemandes comptant plus de trois administrateurs. La nomination de femmes sera également obligatoire dans les conseils d'administration de sociétés où l’État est actionnaire et dans plusieurs organismes publics.
"Nous pouvons montrer que l'Allemagne est sur la voie pour devenir une société moderne, porteuse d'avenir", a déclaré à la presse la ministre de la Famille, sociale-démocrate, Franziska Giffey qui a porté le texte avec sa collège de la Justice.
Cette dernière, la sociale-démocrate Christine Lambrecht, a salué un "signal important pour les femmes hautement qualifiées" appelant les entreprises à "utiliser la chance" offerte par ce quota pour accroître la féminisation des postes de direction.
D'après une récente étude de la fondation germano-suédoise Allbright, les femmes ne représentent que 12,8% des membres des conseils d’administration des 30 sociétés cotées du Dax, l'indice vedette de la Bourse de Francfort.
Pour les trente plus grands groupes de chaque pays, cette proportion est de 28,6% aux Etats-Unis, 24,9% en Suède, 24,5% en Grande-Bretagne et 22,2% en France, indique cette étude.
Le projet de loi, qui devra être voté avant la fin de la mandature en septembre, était soutenu par la chancelière Angela Merkel mais a rencontré de nombreuses résistances au sein de son parti conservateur (CDU) qui gouverne avec les sociaux-démocrates du SPD.
Il est aussi critiqué par une partie du patronat qui dénonce une ingérence dans la gouvernance des entreprises.
L'avancée est jugée insuffisante par les défenseurs de la parité qui estiment que l'impact du quota ne concernera qu'un nombre limité d'entreprises privées.
Au total, 73 entreprises seraient concernées par le changement de règle, dont 32 n'ont actuellement pas de femme dans leur conseil d'administration, selon le groupe de réflexion FidAR, qui prône la représentation des femmes au sommet des entreprises.
Tout en saluant le projet de loi, l'institut de recherche économique allemand DIW a estimé que la participation des femmes aux instances dirigeantes des groupes du pays continue d'évoluer à un "rythme d’escargot".
© 2021 AFP
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