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Récession massive pour l'économie française en 2020, mais moins forte

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cosmo2 cosmo2
29/01/2021 14:52:59
0

Evitons quand même de les relancer trop loin

Message complété le 29/01/2021 14:56:50 par son auteur.


... hors de portée de ceux qui a les plans

Message complété le 29/01/2021 14:57:22 par son auteur.


... qui ONT les plans... pfff

  
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JCROIPLU JCROIPLU
29/01/2021 14:49:55
2

Les robots ont lus nos posts et le CAC remonte sur nos annonces de relance des plans de relances.

  
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JCROIPLU JCROIPLU
29/01/2021 14:48:56
2

C'est pas bête du tout, et puis après, un plan de relance du plan de relance des plans de relance.

  
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gars d1 gars d1
29/01/2021 14:41:27
2

Dans les milieux autorisés, on s'autorise à penser qu'il faudrait songer à lancer un plan de relance des plans de relances...


(petit extrait du précis de la pensé jupiterrienne - Editions du prolétaire con(in)finé)

  
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JCROIPLU JCROIPLU
29/01/2021 14:30:18
2

Les plans de relance? où sont-ils?


  
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DVH DVH
29/01/2021 14:18:32
1

C'est la plus grande crainte à avoir: que nos sociétés soient désormais otages de fonctionnaires zélés!...

quand on voit que nos gvts se tournent systématiqmt vers cette technocratie pléthorique, non-productive et devenue parasitaire et semble avoir tous les pouvoirs, on peut se dire que nous sommes en 'soviétisation' de l'UE et des pays qui la composent...

pour en être sortie, la Russie fait mieux que l'UE!

  
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cosmo2 cosmo2
29/01/2021 14:07:28
4

Il faut bien qu'ils essayent de camoufler l'état de décrépitude avancée dans lequel ils ont mis l'hôpital public depuis des années.

A présent, les moindres pathologies hivernales submergent les services hospitaliers. Ce n'est que ça qu'on paye et rien d'autre. Si au passage ils peuvent tester la résistance psychologique du peuple, et mettre les gilets jaunes et autres contestataires gentiment à la niche, ils vont pas s'en priver.

Au passage n'oublions pas de dire merci aux dictateurs technocratiques bruxellois qui imposent les récessions budgétaires... enfin pas pour tout le monde. Le haut du panier de crabes continue à bouffer du homard

  
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Luncyan Luncyan
29/01/2021 13:53:17
1

suede ? dubai, espagne, russie, taiwan, coree du sud, japon, thailande, nouvelle zelande, bielorussie

  
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DVH DVH
29/01/2021 13:43:05
2
Incroyable de voir comment certains se rassurent comme ils peuvent y allant chacun de leur pt commentaire et continuant à préférer le déni aux réalités d'une économie brisée par des mesures absurdes prises en ht lieu... allez donc voir en Suède comment ça se passe et vous aurez tte la mesure de l'imposture des autorités françaises! https://reseauinternational.net/stockholm-la-vie-secoule-paisiblement-loin-du-covid-de-la-distanciation-et-du-confinement/
  
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DVH DVH
29/01/2021 13:43:04
0

Des personnes admirent les vitrines de Noël des Galeries Lafayette, le jour de la réouverture des commerces non essentiels, le 28 novembre 2020 à Paris (AFP/GEOFFROY VAN DER HASSELT)

L'économie française a connu une récession historique en 2020, mise à terre par l'épidémie de Covid-19 et l'arrêt forcé de nombreuses activités durant l'année, même si la chute est un peu moins forte que prévu grâce à une résistance surprise au dernier trimestre.

Le produit intérieur brut (PIB) a plongé de 8,3% en 2020, après une croissance de 1,5% en 2019, selon une première estimation publiée vendredi par l'Insee.

C'est un peu mieux que les -9% qu'anticipaient jusqu'ici l'institut et la Banque de France. Et bien moins mauvais que les -11% prévus par le gouvernement, qui jugeait toutefois cette prévision prudente.

"La France a connu un choc économique sans précédent mais elle a montré aussi une vraie capacité de rebond en fin d'année", a réagi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire.

L'économie a en effet mieux résisté au deuxième confinement de novembre, avec un PIB en recul de 1,3% au quatrième trimestre, quand le consensus des économistes se situait plutôt autour de -4%.

"C'est une surprise, alors qu'on a eu au dernier trimestre six semaines de confinement et trois semaines de couvre-feu", réagit Selin Ozyurt, économiste chez Euler Hermes, dans un entretien avec l'AFP.


Croissance française (AFP/)

Et cela tient, selon elle, "d'une part à la résilience de l'investissement privé mais surtout public qui a notamment soutenu la construction, et d'autre part au fait que les écoles sont restées ouvertes".

Le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt a aussi salué sur Twitter l'"efficacité des aides mises en place" par le gouvernement.

Malgré tout, la France a subi une récession jamais vue depuis la Seconde Guerre mondiale, même si le pays ne fait pas exception, l'épidémie ayant fait dérailler l'ensemble des économies développées.

- "mise sous cloche" -

"L'économie française a connu un choc tout a fait inédit, avec une mise en hibernation d'un certain nombre de secteurs d'activité et la mise sous cloche de la production et de la consommation", résume à l'AFP Emmanuel Jessua, économiste à l'institut Rexecode.

Sur l'ensemble de l'année, la consommation des ménages a ainsi reculé de 7,1%, et la production de 8,6%. L'investissement a lui chuté de 9,8%, mais a progressé au dernier trimestre, quand les exportations ont plongé de 16,7% et les importations de 11,6%, la crise qui ayant fortement perturbé les échanges commerciaux.

Ces chiffres masquent toutefois une année "en accordéon", selon Emmanuel Jessua, avec une économie rythmée par les restrictions sanitaires imposées par le gouvernement.


L'aéronautique, avec le site Airbus de Toulouse, en Haute-Garonne, le 13 mai 2020, fait partie des industries qui ont souffert (AFP/Archives/Lionel BONAVENTURE)

Le premier confinement a ainsi fait chuter le PIB de 5,9% au premier trimestre, et encore de 13,7% au deuxième. Puis il a rebondi de 18,5% au troisième trimestre (un chiffre légèrement révisé à la baisse par l'Insee) à la faveur du déconfinement, avant la rechute du dernier trimestre.

Ces chiffres globaux cachent aussi le fait que la crise a été très diversement ressentie selon les secteurs d'activité. Certaines branches de l'industrie, ou encore la construction se sont plutôt bien reprises après le premier confinement.

En revanche, l'industrie aéronautique, et les activités reposant sur les interactions sociales, comme l'hébergement-restauration, les loisirs, ou encore les services de transports, ont beaucoup souffert, et souffrent encore de la persistance de l'épidémie.

"Le choc devient de plus en plus concentré", note Mathieu Plane, économiste à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), qui souligne qu'"au dernier trimestre, la moitié de la perte d'activité se concentre dans des secteurs qui représentent 11% du PIB".

- inquiétudes pour début 2021 -

Pour tenter de contenir les effets de la crise sur les faillites et l'emploi, le gouvernement a déployé un arsenal d'aides de plus de 300 milliards d'euros en 2020.

Cette mobilisation va se poursuivre cette année, a assuré le gouvernement, car malgré l'arrivée des vaccins, l'aggravation de l'épidémie avec des variants menaçants devrait contraindre l'exécutif à durcir les restrictions.

Pour l'économie, "l'enjeu sera l'ouverture ou non des écoles", juge Selin Ozyurt.

"Le premier semestre 2021 sera encore un peu plombé par le durcissement probable des mesures sanitaires", prévoit Emmanuel Jessua, qui estime peu probable que la France atteigne les 6% de croissance prévus par le gouvernement.

"Il y a des motifs d'espoir", nuance toutefois Mathieu Plane, pour qui la fin d'année 2020 montre qu'"il y a un apprentissage très fort de la gestion de la crise sanitaire d'un point de vue économique".

© 2021 AFP

  
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