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ça s'appelle l'euphorie de la reprise, même les casseroles et les daubasses sont élus au rang de merveille boursière mondiale.
Il devrait comme à chaque fois y avoir des morts et de la perte nette : en général ça arrive avec le vent du boulot, idéal aux grosses chaleurs du printemps juste avant l'été...
Message complété le 19/02/2021 10:13:10 par son auteur.
En 2019, -21% de vente aurait été sanctionné par un -25%.
Mais c'était avant la livraison des imprimeries générales " Contribuables et associés, imprimeurs de billets en gros de père en fils"
Message complété le 19/02/2021 10:14:37 par son auteur.
Je note :
ALLIANZ :Bénéfice net par action de 16,48 euros, et un dividende stable à 9,60 euros
Et ça bouge même non plus...
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vente en baisse de 21% ça compte pas ??
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Et donc Ghosn était un guignol, vous aviez dit, messieurs les censeurs...
La critique était facile, mais on va s'apercevoir que l'art est difficile...
On a donc la mesure de l'étendue de la compétence des détracteurs ... Rappelez-moi, ça fait combien d'année que renault n'avait pas perdu d'argent ?
Euh, c'est le COVID ! Mais bien sûr et la marmotte violette plie les papiers des factures....
Une perte de cette ampleur démontre bien qu'on a voulu dézinguer Renault qui allait devenir le N°1 du marché. Et plus grande nouvelles des grosses magouilles nippons pour faire tomber le PDG grâce à des bidonnages...
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Carlos reviens ....................
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Message complété le 19/02/2021 08:58:21 par son auteur.
Souvenir : le cours avant résultats était à 39.80 euros
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Le constructeur automobile français Renault a enregistré une perte historique de 8 milliards d'euros au cours d'une année 2020 marquée par la crise du coronavirus, selon des résultats publiés vendredi.
Cette perte historique s'explique principalement par la contribution du partenaire japonais Nissan, détenu à 43% par Renault: il a pénalisé le groupe au losange à hauteur de 4,9 milliards d'euros.
Renault a vu de son côté ses ventes plonger de 21,3% sur l'année, avec moins de trois millions de véhicules vendus sur un marché automobile en chute libre.
Le groupe avait enregistré au premier semestre une perte de 7,3 milliards d'euros dans le contexte de la crise du Covid-19. Mais il a limité la casse au second semestre, avec une perte de seulement 660 millions d'euros et un chiffre d'affaires en recul de 8,9%.
"La priorité est donnée à la profitabilité et à la génération de cash, comme annoncé lors de notre plan stratégique Renaulution", présenté en janvier, a indiqué le directeur général, Luca de Meo, cité dans le communiqué. "L'année 2021 sera difficile, avec des incertitudes liées aux crises sanitaires ainsi qu'à l'approvisionnement de composants électroniques."
Le groupe n'a pas publié de prévisions pour l'année 2021. Il a accumulé des réserves de liquidités à hauteur de 16,4 milliards d'euros, dont 4 milliards tirés sur des prêts garantis par l'Etat.
Déjà mal en point avant la crise, Renault avait annoncé fin mai 2020 un plan d'économies de plus de 2 milliards d'euros sur trois ans, prévoyant quelque 15.000 suppressions de postes dans le monde.
Arrivé à l'été 2020, Luca de Meo a annoncé en janvier une nouvelle coupe dans les budgets, de recherche notamment, mais pas de nouveaux licenciements: l'objectif est désormais de parvenir à un total de 2,5 milliards d'euros d'économies d'ici 2023, et 3 milliards d'ici à 2025.
La feuille de route de M. De Meo, axée sur "la valeur" plus que que sur "les volumes", vise notamment à dégager plus de 3% de marge opérationnelle d'ici à 2023.
© 2021 AFP
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